𝐔𝐧 𝐀𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐑𝐞𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 | 𝒦𝒶𝓇𝓂𝒶 x 𝒪.𝒞 |

- Sᴇ́ǫᴜᴇɴᴄᴇ ᴛʀᴏɪs -

Karma : Moi aussi..

Les yeux d'Akane s'écarquillèrent à leur tour, accélérant son rythme cardiaque qui pompait deux fois plus de sang que d'habitude.

Karma : ..je me suis manqué.

Après tout elle devait s'y attendre, c'était Karma Bakabane.

Elle s'extirpa donc de ses bras et se mit à le pourchasser en l'insultant.

Mais au fond d'elle elle l'avait compris. Elle était contente, contente que ce soit réciproque.

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𝐒𝐞́𝐪𝐮𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐭𝐫𝐨𝐢𝐬 :
𝑻𝒓𝒂𝒗𝒂𝒊𝒍 𝒅𝒆 𝒈𝒓𝒐𝒖𝒑𝒆

𖦹 𝐓𝐫𝐨𝐢𝐬𝐢𝐞𝐦𝐞 𝐡𝐞𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𖦹

Maehara : On a quoi là déjà ?

Meg : Je sais pas, je crois que c'est un cours particulier.

Fuwa : Oui, Koro sen-sei l'avait dit tout à l'heure.

Takebayashi : Il paraît que c'est un travail collectif. Avait-il dit en remettant en place ses lunettes.

Koro sen-sei n'était pas encore arrivé, alors en attendant, une partie de la classe discutait du prochain cours, et nous retrouvons au fond de celle-ci un certain Terasaka qui semble chercher des noises à la nouvelle élève.

***

Terasaka : Maintenant que j'y pense, tu vas pouvoir nous être utile pour tuer ce poulpe de mes deux.

Ce regard méprisant avec lequel il me regardait, et ce sourire qui l'était tout autant, je savais pertinemment que je ne les méritais pas. Mais à qui la faute ?

Je pensais qu'il me causerait plus après ce que je lui ai dit. Mais apparemment, je me suis trompée.

Terasaka : Tu n'auras qu'à le pousser à se suicider, lui aussi.

Je ne le regardais même pas, mais il savait que je l'écoutais. Il avait qu'à parler dans le vent.

Pour lui montrer que je m'en foutais totalement, je sorti un cahier de dessin et mon couteau.

Je plaça mon couteau dans ma main gauche, et de mon autre main je pris un crayon et commençai à le dessiner.

Terasaka : Hé tu m'écoutes ?! Tu sais, les gens comme toi m'écœure.

Son ton lui-même me méprisait. C'est comme s'il me crachait ses mots à la face. De plus, je venais à peine de pleurer dans les bra- hum, je venais à peine de pleurer et j'avais pas besoin qu'on m'en rajoute une couche.

Ce n'était pas ses mots qui me blessaient, mais le fait que ceux-ci me rappelaient le jour de mon renvoi. Tous les collégiens des autres classes portaient un regard mauvais sur moi, croyant que j'étais dans le rôle de la méchante, lorsque ce n'était pas le cas.