l'odeur de juillet
se fait sentir.
elle frappe
et cogne
le destin VESPÉRAL
d'un soleil écorché.
vos lèvres sont violettes
comme une pluie
bercée D'ILLUSIONS.
leur immobilité pleure
la salive des anges
immortelsle corps est figé
dans votre bière
et son odeur d'épicéa.
il ne simule plus
les LÉTHARGIES
il les avale goulûment
vous êtes DÉMUNI
de tendresse.
elle a dérobé
la beauté du c
o
r
p
sles épines se meurent.
elles se laissent entraîner
dans la chute
de vos sens
engourdis
par le repos.
vous noyez
l'absinthe des nuits
PASSIONNELLESl'amour danse sur la tombe. il laisse ses membres alourdis par la chaleur entraîner vos pleurs, comme une étincelle dévorée par le corps
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tombe et parterres
Poetryvous étiez dressé face au soleil, appellant le vide et ses espaces sous marins. il défiait la route et embrassait la vitesse, en omettant bien sûr la présence du corps et de ses désirs clandestins plouf tombé par terre - février 2021