le sens de la vie (en réecriture)

chapitre 8 :

chapitre 8 :

Que m'arrive t'il ?

Me voilà coincée entre deux garçons que je ne connais à peine, pourtant je me sens tellement bien avec eux que se soit l'un ou l'autre..

Que se passe t'il en moi ?

Je ne suis jamais tombé amoureuse de qui que se soit. Jamais ça ne m'était arrivé.

Pourquoi maintenant ?

Pourquoi deux personnes en même temps ?

Je ne comprend plus rien à la vie, je croyais pourtant comprendre un minimum son sens mais non, il fait encore que j'apprenne beaucoup apparement.

Je suis complètement perdu.

Je n'en pouvais plus de pleurer sans cesse à force de me poser des questions sue tout et rien, auparavant jamais je n'aurais pleuré pour un garçon et voilà que maintenant je pleure pour deux garçons.

Quelques minutes après quelqu'un sonna à la porte, je ne voulais pas ouvrir de peur de tomber nez à nez avec Nathan, alors je ne bouge pas mais cette personne insiste, frappe, refrappe encore une fois, je commençais à avoir peur mais j'ouvrit finalement là porte.

Contre toute attente je tomba nez à nez avec mon père, je le reconnaissait à peine, sa faisait presque 1 ans et demi que je ne l'avais pas vu. Il venait de temps à autre tout les deux ans environ. Je ne l'ai jamais vraiment considéré comme mon père, c'est une être cruel et dans pitié! Il faisait vivre un cauchemars à ma mère depuis des années, avant n'était trop petite pour opposer à lui, je ne comprenait même ce qu'il faisait. Je voulais que ça change, ma mère m'a toujours protégée depuis que je suis gamine maintenant c'était à mon tour de l'aider!

Je lui en voulais tellement! De quel droit revenait t'il comme ça ?

Lui qui n'a jamais été la pour moi, qui n'a jamais aidé ma mère lors ce qu'elle n'avait limite plus d'argent pour se nourrir, à quoi il s'attend à se que je lui saute dan les bras ou quoi ?

Après quelques instant de silence, il voulu me faire la bise mais je me recula sans le lâcher du regard alors il prit la parole d'un air menaçant :

- Tu crois vraiment que je vais m'excuser face à toi ? Tu représente rien pour moi, tu ne ne tiendra pas tête longtemps crois-moi !

- Jamais je te permettrais de faire du mal à qui que se soit !

- Et tu crois que c'est toi qui va m'empêcher de faire ce que je veux ? Laisse moi rire !

Il avança et me poussa violemment ce qui me projeta sur la table basse et me fit terriblement mal. Tout ça pour accédez à son ancien bureau, j'étais écroulé sur le sol puis je pris mon portable pour envoyer un message d'urgence à nathan et mathias même si je devais m'attendre à aucune réponse ni aucune aide mais j'avais tellement peur. Cette sensation d'impuissance face à cette bête, je ne savais pas quoi faire, je n'allait pas le laisser partir comme ça tout de même.

" S.O.S vient chez moi maintenant je t'en supplie "

J'avais écris ceci à toute alure pour ne pas que mon père vois ce que je venais de faire, mais j'ai à peine le temps d'appuyer sur envoie qu'il mis un coup de pied dans mon bras, ce qui me le brisa en quelques secondes, le craquement de mon os avait fait un bruit énorme, je me sentait encore plus faible, je commence à pleurer, des larmes chaudes viennent inonder mon visage.

- Qu'est ce que tu fait avec ce téléphone encore?

Il lu le dernier message envoyé puis ajouta:

-Alors comme sa tu appelle au secours ! ça ne va pas se passer comme sa crois moi jeune fille! Et de toute façon tu crois vraiment qu'un jeune de 16-17 ans va réussir à faire quelque chose!? Ce que tu de bête!

Il me saisit en me relevant, il me plaqua contre le mur, mes pieds ne touchait plus le sol de nouveau.

Il continuais à me crier dessus :

- Tu va faire quoi la? hein? Mais répond moi quand je te parle!

-Tu veux que je te dise quoi? que tu est un père horrible? Non que tu n'es même pas un père, que j'aurai préféré que tu te casse à ma naissance et que tu ne revienne jamais! Que j'aurais préférer jamais te connaître!

Je n'avais pus retenir mes paroles, il pris sont poing frappa sur ma joue ce qui me fit saigné de la bouche,  mais je continuais malgré la violence du choque et le sang qui m'etouffait:

- moi : tu me dégoûte! Frappe de toute façon tu ne sais faire que ça!

J'avais usé mes derniers souffle pour dire sa et lui cracher en pleine face.

Puis il me re frappa 1 fois, 2 fois, 3 fois, les coups ne cessait plus, je ne sentait plus rien, j'étais comme absente dans ce corps.

J'étais désormais au sol mais il continuais, je voyais le sang coulé, mais il ne cessait pas.

Ma vue se brouilla de plus en plus, j'eu à peine le temps d'entre des pas que je n'était......