le sens de la vie (en réecriture)

chapitre 16 :

Chapitre 16 :

- Bon et bien alors, depuis tout petit, j'ai eu une vie particulière, je suis même une personne hors du commun, j'ai une force intérieur en moi, on ne peux pas me tuer, je suis dur comme le beton, même plus, tu vois quand tu me giflai, je ne sentait rien, je voyais juste que dans ton regard, il y avait tellement de haine..  Et puis quand tu était dans le comas sur ce lit d'hôpital, j'ai eu une idée, j'ai essayer de faire passer ma force intérieur en toi pour t'aider à revenir, et quand j'ai vu que a avait fonctionné, j'était tellement content. Le problème, c'est que je ne savais pas quelle serait les effets secondaires. Visiblement, je crois que toi aussi tu est devenu une personne hors du commun, je suis vraiment désolé, je ne sais pas si pour toi c'est un poids ou alors quelque chose d'extraordinaire..

- Je comprend d'où est venu cette force quand je me suis réveillé, je t'en suis tellement reconnaissante. Mais c'est impossible, je connais déjà quelqu'un de comme toi, comment ce fait t'il que cela existe.. Mais quelle est mon don alors?

-Je vais te prouver se que j'affirme alors, et nous allons essayer de découvrir par la même occasion de quoi est tu capable!

Il me prit dans les bras, me serra fort contre lui, me chuchota lentement à l'oreille "n'ai plus peur, je suis la ne t'inquiète pas, je t'aime"

Et au moment même ou j'allai répondre, au bout de une demi-seconde, nous nous retrouvions propulsés au dessus des nuages, c'était juste magnifique, j'étais comme dans un rêve, le vent me souflait au visage, je sentait l'odeur du doux parfum de Mathias, ce parfum à la fois frais et sucré. Je ferme alors les yeux afin de profiter de ce miment si exceptionnel.

"-Émilie, Émilie, Émilie! Regarde tu vole!

- Arrête Mathias, tu n'est pas drôle! ne dit pas de conneries!

-Je te jure Émilie, ouvre les yeux!

-J'ai peur Mathias, tiens moi s'il te plait!

-À toi de venir vers moi!"

Je pris mon courage à deux mains, ouvrit très lentement mes petits yeux brillants.

Je regarde sous moi, autour de moi, rien, personne, juste ce ciel éclatent.

Prise de panique, je me mis à hurler, je me vis tomber tomber vite, de plus en plus vite, je sentait mon coeur battre, ma vie défiler, ma pauvre vie défiler.

-AAAAAA Mathiaaaas! au secouuuuur!

je hurlais, hurlais, je n'arrêtait plus, je voyais le sol se rapprocher, de plus en plus près, il est juste la, c'est la fin...

Je snetais mon corps se décomposer, la douleur avait du être tellement violent que je ne ressentait plus rien, plus aucune sensation, plus rien non.

-Emilie , Émilie? réveille toi, tu m'entend ?

-Ou..Ou..Ou suis-je?

- c'est lundi ma chérie, nous allons chez mamie, allez lève toi o' va encore être en retard!

-Oh....

Je me lève, difficilement, mon dos me fait atrocement mal, et ma tête, ma tête...

J'ouvre mon dressing, prend les deux trois vêtements mal rangés, une grand T-shirt rouge, un leggings noir et une veste.

Je descend les escalier en le brossant le cheveux et rejoint ma mère dans le salon, mais une question persiste dans ma tête: Tous ça n'avais donc été qu'un rêve?

-------------------------------------------------------------------

ps: désolé pour ce retard et ce très court chapitre, je le rattrape le plus vite possible! :*