le sens de la vie (en réecriture)

chapitre 5 :

chapitre 5 :

Ce matin, je me réveille en sursaut car j'avais fait un cauchemar vraiment bizarre..

Dans celui-ci, tout était très sombre, j'étais dans une petite ruelle quand je fus pris d'un coup par les hanches, j'avais ensuite ressenti comme un sensation de soulèvement, j'avais peur donc je fermais les yeux quand je sentis mes pied toucher le sol ferme, je les réouvrit et la, tout était comme magnifique, il y avait un levé de soleil rose, qui me rechaufait le visage.

Oui, ici c'était vraiment beau mais comment avais-je fais pour me retrouver ici ?

Je cherchais sans relâche quelqu'un pour lui demander des explications quand tout d'un coup, je vis une personne se rapprocher de plus en plus de moi..

- moi : Mais... mais tu ne touche pas le sol..

la personne était maintenant en face de moi mais ne répondait pas, de plus sont visage était comme flouter, oui c'est sa comme à la télé.

Je sentis un bras me bousculer juste derrière moi mais cette fois il y avait le grand vide, puis la personne devant moi me poussa et je tombais d'un coup.

Et maintenant je suis réveiller.

Tout ce rêve me faisait beaucoup réfléchir si bien que je ne pus me rendormir alors je regardais les minutes passer jusqu'à ce que mon réveille sonne enfin.

- 4h02... 4h03... 4h05...

6h30 ! À enfin !

j'entends à ce moment même la porte claquer, j'avais peur, très peur et pour une fois je décide d'affronter ma peur alors d'un un geste j'ouvris ma porte et dévala les escalier, je ne pus m'empêcher d'éclater de rire quand je vus ma mère.

- maman : Euh tu va bien Émilie ?

- moi : oui oui ! je n'ai juste pas beaucoup dormi cette nuit.

- maman : à bon. À oui et d'ailleurs j'ai à te parler ce soir !

- moi : d'accord..

Je savais au fond de moi quelle voulais me parler de mes absences en cour, des remarques que je m'était pris ces derniers jours...

Aujourd'hui, pour une fois je n'ai d'ailleurs pas loupé mon bus mais aujourd'hui, bizarrement aucune nouvelle de Nathan ni même en cour, ni par message ce matin pourtant j'étais même allée voir dans ça classe mais personne.

Le soir, je décide de passer chez lui mais personne alors je commence à rentrer chez moi, je lui envoie un message pour prendre de ces nouvelle mais encore une fois aucune réponse, à croire qu'il ne voulais plus me parler.

Finalement arriver chez moi, je redoutait un peu la discussion avec ma mère.

J'attends patiemment devant la télé.

Une fois celle-ci rentrer, elle entra dans ma chambre sans frapper

- Émilie ! Dit moi tout de suite pourvoi tu sèche les cours, avant, tu était toujours contente de voir tes amis quand tu allais à l'école, je ne comprend pas se qui t'arrive depuis que tu es dans ce lycée!

Je ne pouvais même pas répondre, mes larmes se mirent à couler toute seule. Mais même continua donc :

- Ma chérie, je sais que c'est dur de déménager, de tout perdre, tu crois que tu est seule mais non regarde je suis la, et il y as sûrement des personnes dans ton lycée que tu ne vois pas qui eux te vois et voudrais te parler mais n'ose pas, je sais que ton père est pas celui dont un enfant peut rêver, mais je fait le plus possible pour nous protéger, pour te protéger, pour que tu ne reste pas seule, tu sais j'essaie...

D'un coup ma mère s'effondre en larme dans mes bras, je ne savais pas quoi faire, nous étions la, toute les deux, à pleurer pour essayer de la consoler je lui chuchota doucement dans l'oreille :

- maman ne pleure pas, ne t'en fais pas, j'ai commencé à faire des rencontre, je commence à avoir quelque amis, mon père ne représente rien tu le sais, mais tu n'y est pour rien, ne t'en fais pas pour moi, je sais que tu fais tout pour moi, je t'aime maman.

Nous nous endormirent de fatigue l'une contre l'autre.