le sens de la vie (en réecriture)

chapitre 13:

* narration interne Emilie

Je ne me souvient plus de rien, je n'ais plus aucun souvenir de ce qui c'est passé hier juste après que j'ai saisi Mathias pas le bras et jusqu'à mon réveil aujourd'hui, je suis dans mon salon, je dormais sur ma table à manger visiblement, j'ai le bras remplis de sang mais je n'ai aucune cicatrices, était-ce le miens ?

Ou celui de quelqu'un d'autre, qu'est ce que j'avais fait cette nuit ?

Et Mathias, que lui était-il arrivé ?

Je courrus jusqu'à l'église qui était à quelques kilomètres de chez moi, je montis sur le toit, je n'en pouvais plus, je me sentait tellement bizarre, j'était comme sous l'emprise de quelqu'un d'autre, je ne me reconnaissait pas moi même..

J'envoyis un message " d'alerte " à Mathias, peu être que j'aurait des réponses.

mon message : Mathias, j'ai besoin de toi, je t'en supplie, dit moi la vérité, viens en haut de l'église, sur le toit, je t'y attendrais toute la journée si il le faut mais viens je t'en supplie, j'ai peur, je ne sais pas se qu'il m'arrive, je ne me reconnais pas, je t'en supplie vient..

J'attendis 1heure, 2heure, 3heure, 4heure, il commençais à faire nuit.

Ne voyant que personne arrivait, mes larmes commençait à couler, je m'approchis du bord du toit, je vis une ombre passer, mais personne, j'avais peur et en même temps j'avais envie de tout arrêter, si sa se trouvais, j'avais tuer une personne, comment savoir si je n'avais aucune réponses ?

Je m'avachit sur le toit, essayant de trouver une solution, je cherchais, mais ne trouvais rien..

Je m'était assoupi, extenuer par toute cette colère que j'avais en moi, je me réveille car j'avais très froid, mais la nuit était noir, je ne voyais pas autour de moi, j'avais peur, des bruits de branchées craquais autour de moi, toute sorte de petit bruit qui te donne une peur épouvantable, je me lève, tente de trouver l'échelle pour redescendre mais ne trouve rien, je marche ne sachant pas ou aller, mon pied glisse, je tombe mais je réussi à m'accrocher à rebord de la goutiere, il fallait que je trouve une solution car sinon j'allais tomber et donc mourir..

J'appelle au secours de toute mes forces personnes ne me répond..

Je n'en peu plus, je ne tient plus, mes mains peu à peu glisse, je sens que c'est la fin..

Je percuta très violament le sol, je me sentais respirer, j'avais sentis mes os se briser par le choc mais je ne ressenti aucune douleur atroce, non un tout petit pincement.

Je toussi,

Non je ne rêve pas, j'ai bien tousser..

Mais qu'est ce qui se passe ?

je ne prélève, ne comprenant toujours pas, comment était-ce possible que je sois tomber et que je n'ai pratiquement rien ?

Je ne comprenais rien à rien depuis quelques temps que m'arrivait t'il ?

Je me relevait pour rentrer chez moi quand je sentis un souffle chaud près de mon épaule, j'était tetaniser.

Puis une voix : je suis la ne t'inquiète pas..

Je ne pus m'empêcher de le gifler.

Mais il ne bougea pas, enfin je n'entendis aucune chute d'une personne sir le sol vu qu'il faisait nuit, j'y avait pourtant mis toute mes forces !

Je ne comprenais pas..

- moi : Tu te fou de moi la !? Tu sais que j'ai fahit mourir en tombant du toit la, je ne sais pas comment j'ai fait pour m'en sortir d'ailleurs...

Sans que je ne puisse rien dire, il me dépose un doux baiser tendre et envouteux.

Je n'en pouvais plus, je voulais qu'il m'explique ce jeux auquel il jouais, moi aussi je veux jouer pour qu'il commprenne à quelle point j'ai mal..

Il me carressa tendrement l'épaule, me dit c'est paroles qui me provoquait un sentiment inconnu :

- Je ne sais pas si tu dois savoir maintenant.. Mais je sais se que tu as, pourquoi et commente c'est arrivé..

- moi : Mais je n'ai rien, tout va très bien, je ne suis pas bizarre en ce moment !