le sens de la vie (en réecriture)

chapitre 14 :

- Mathias : c'est peu être un peu de ma faute, je ne sais pas si tu est prête à entendre toute la vérité mais si tu ne veux rien savoir dit le moi, il est temps que tu sache tout, toute l'histoire, le début de mon histoire, la tienne..

mais de quoi parlais t'il donc ? Je ne comprenais rien..

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*flash back de Mathias

narration externe :

Un enfant, âgés de seulement quelque heures avait été déposé à l'accueil de l'hôpital, aucune personne n'avait reconnu la personne cacher d'une cape et d'une écharpe lui cachant le visage, personne ne savait sont identité, les infirmière c'était alors empressé vers la petite corbeille pour pouvoir sauvé cette enfant, afin qu'il ne tombe pas malade ou quoi que se soit.

Dans la corbeille ou se tennais l'enfants, les infirmières avait trouvé une petite lettre déposé sur le rebord : "Je vous confie mon enfant, je n'ai jamais voulu être mère, c'était un accident, je ne peux pas le garder, je ne veux pas qu'ils soit malheureux car il le sera avec moi, il s'appelle Mathias, occupée vous de lui, je vous en supplie, il a le droit d'avoir une vie normal lui aussi."

Une seule infirmière avait voulu prendre ça garde, elle ne pouvais pas avoir d'enfant, elle ne comprenais pas comment de telle chose pouvais arrivé, refuse d'être mère alors que c'était un cadeau du ciel, elle elle ne pourrais jamais avoir un enfant, elle apprenait sans cesse au informations que des femmes tuer leurs enfant, comment de telle chose pouvait être possible ? c'était inimaginable pour cette jeune femme. Avoir quelqu'un à aimer plus que sa propre personne alors sans aucune esitation elle fut de cette enfant le sien.

Elle l'avait cherrit de tout son coeur, lui disant sans cesse combien elle l'aimais.

Dès la première seconde elle était tombé sous le charme fou de se petit bébé née il y a quelque jour par son petit sourire, ses yeux déjà d'un vert magnifique et ses cheveux d'un brun charbonneux, il était tellement petit mais ils avait déjà se charisme énorme.

Voyant les autres infirmières ne lui trouvant aucun charme, presque repoussant, il n'avait pour tant rien de moche, juste un corp un peu trop petit par apport à ça tête et des oreille assez grandes et décollé mais pourquoi le jugé, ce n'était qu'un petit bébé après tout, voyant que peux à peux les autres infirmières les rejetait, l'abandonnais presque, elle s'empara du berceau dans lequel il n'avait pas bougé depuis sont arrivé, remplis tout les papiers d'adoption.

Oui cette jeune infirmière de seulement 21 ans ne voulais pas qu'il subisse le même cauchemar quelle. Cette infirmière ayant herrer dans les rues pendant 1 année entière, elle avait eu de la chance de tomber sur ce vieux monsieur qui l'avait aidé à s'en sortir et l'avait aider à poursuivre son rêve celui de devenir infirmière afin d'aider les gens et de peux être même plus, les sauvés.

Elle savait que ça vie serait courte, car elle avait un cancer qui petite à petit la rongeait.

Elle avait fait le maximum pour ce petit enfant jusqu'à ces 6ans. Elle avait tout fait pour qu'il ne manque de rien, pour que sa vie soit parfaite.

Mathias avait donc eu tout l'amour possible jusqu'à ces 6ans, jusqu'à la mort de ça deuxième maman..

Mathias, jeune garçon de 6ans désormais avait peu à peu montrer des habtitudes hors norme, il arrivait à encaisser des chocs que personne ne pouvais supporter, casser des objets juste en les touchant à peine, de telle habitudes ne peuvent pas exister, quelle est donc cette créature ?

Mathias du haut de ces 6ans savait déjà que ça vie n'aurait rien des plus faciles, des plus banales,ayant récupéré l'appartement de sa mère mais ne pouvant pas vivre seule à cause de son jeune âge, sa mère lui avait donc payé une nourice jusqu'à c'est 12ans, jusqu'à qu'il soit assez mature pour comprendre cette vie aussi dur qu'il allait mené, il était très jeune mais ils savait déjà que personne ne devait être au courant pour son don, rien ne devait jamais être révéler..

Pendant des année, il avait du retenir sa force au fond de lui, pourtant son envie de tout casser lui prenait sans cesse, c'était un exercice tellement dur pour lui, d'avoir un don et de ne jamais pouvoir s'en servir. Savoir que l'on peux réussir des choses extraordinaires mais ne pouvoir les montrer à personne, ni même pouvoir se confier..

jusqu'à c'est 12 ans il avait réussi à se cacher de tous, à l'école, chez lui de la nourice, les autres enfants se moquait souvent de lui, il disait qu'il était bête à ne parler à personne, qu'il n'était pas très intelligent, sans cesse on c'était moqué de lui, il ne pouvais rien faire et pourtant ce n'était pas l'envie qui lui en manquait mais il avait fait une promesse à sa mère celle de ne jamais se montrer, jamais montrer ça vrai nature jusqu'à qu'il trouve une personne comme lui.

Alors il ne parlait plus, non, il en avait marre de cette vie.

Peu à peu il avait apris que l'indifférence envers des gens sans intérêt était la meilleur des solution. Il avait donc continuer son chemin seul, mener ça vie tant bien que mal, poursuit ces études.

Lors de ces 17 ans, en cour, il apperçut cette jeune fille timide mais qui paraissait tellement attachante et étrange, elle était nouvelle, il ne voulais pas qu'elle mène la même vie solitude que lui au lycée, il ne la connaissait pas, il me savait rien sur ça vie, rien sur son passé, certe mais il avait une étrange impression de déjà vue, il la connaissait il en était certain.

Il la vue seule le visage remplis de larme, cette image lui avait transpercé le coeur, il lui avait donc parlé, tenté de l'approcher, il voulais la connaître, mais il avait peur, peur que le seul fait de lui parler lui apporte des ennuis..

À peine lui avait t'il parlé 3 minutes qu'un ballon lui arrivait violament en pleine tête, il pensais que c'était de ça faute, il en était presque sur, il apportait toujours les ennui autour de lui. Mais il ne voulais pas la laisser, seule, une seule raison lui poussait à lui parler mais celle-ci lui était encore inconnue.

Il avait essayer de lui reparler, avait tenter quelques approches mais la vrai manière dont il c'est rendu compte qu'il tenait à elle et que plus jamais il ne faudrait la laissé était le fait de la voir par terre en sang, presque morte, sans sourires, sans rien, presque sans vie..