Chapitre 4: Lui

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Je me suis installé à table à côté de lui et sa mère ma servit. Elle avait fait une quiche au saumon et aux épinards. C'est parent sont d'une extrêmement gentillesses.

On discute de tout et ils me disent qu'ils sont contents que leur fils se soit fait un amis le premier jour de son arrivé. Ils me disent aussi qu'ils sont étonnés car leur fils est plutôt du genre solitaire et froid. Ils ont pour professions d'être des cuisiniers pour la cantine de notre lycée. Je comprenais mieux l'excellente cuisine de cette bonne femme ainsi que sa connaissance à ce niveau.

A la fin du repas je remercie sa mère pour ce dîner. On sort de table et il me demande si ça me dérange s'il me raccompagne. Je lui répondis que "non vient pas de problème, il devait y avoir 20 minutes à pied pour rentrer chez moi.".

Je le senti gêné et compris vite pourquoi en repensant à ce qu'il s'était passé dans sa chambre. Et comme bien entendu il en parla.

Eliotte : Tu sais tout à l'heure ... je ne sais pas ce que j'ai fait. Dit-il en baissant la tête.

Alex : Ci ça ta dérangé.

Eliotte : Non, je voulais juste savoir comment tu l'avais pris. Je t'avoue que j'avais peur que tu l'ai pris malle et que tu ne veuille plus mes parlais etc...

Alex : Ne t'inquiète pas je ne l'ai pas pris malle comme tu dis, mais si ça ta dérangé, j'en suis désolé. Si tu veux on peut rester de simples amis ?

Eliotte : Non c'était pour savoir car c'est la première fois que je ressens sa. Je ne savais pas comment te le dire et en plus c'est mon premier jour. Fit-il tout gêné en bougeant ses pieds comme un enfant.

Alex : Moi aussi je ressens quelque chose sans savoir qu'elle est ce sentiment. Ça te dit qu'on apprenne à se connaitre un peu plus. En le regardant droit dans les yeux.

Eliotte : Ok, faisons sa après on a tout notre temps. On est quand seconde à moins que tu ne changes pas de lycée. Avec ce sourire que seul lui avait et qui me faisait fondre.

On a continué de se parler, il a fait le premier pas. Il a pris ma main et je l'ai regardé en souriant et je me suis rapproché de lui.

On a parlé tout le long du trajet est se fus le moment où nous sommes arrivés devant chez moi. Il m'a demandé mon téléphone. Intérieurement je me suis demandé pourquoi et en voyant ma tête, il m'a dit " c'est pour que tu es mon numéro" en rigolant.

Je lui ai donnais et il a écrit son numéro dedans. Quand j'allais ouvrir ma porte, il a tiré ma main. Je suis arrivé en face de lui. On sais regarde dans les yeux, on se rapproche, l'un en face de l'autre. On se regarde pendant une fraction de second.

On s'est embrassé, ses lèvres était douces comme le tissu le plus chère du monde. Ce sentiment que j'éprouvais depuis peux. Je peut le décrire c'est comme une boule de chaleur qui a exploser dans ton mon corps, c'est un sentiment rassurant, je me sens en sécurité.

Je le pris dans mes bras et on s'enlacer. J'aime sentir son odeur et pourvoir mettre ma tête dans son coup. J'étais si bien, cette sensation de bien-être me dit de ne plus bouger. Après de longues minutes, on se sépare le sourire aux lèvres.

Alex : Je dois y aller, le temps est passé si vite. La prochaine fois préviens-moi ou tu retrouveras ton copain par terre en train de faire un arrêt cardiaque, compris. Dis-je avec un air faussement sérieux. J'avais aussi remarqué qu'a l'entend de ce fameux mot qui définissait notre relation, il rougi.

Eliotte : Oui, oui j'ai très bien compris Monsieur, et moi aussi je t'aime. En faisant un bisou volant.

Mon dieu comment ma vie ci tranquille de lycéen a pu basculer en si peu de temps avec ce nouveau. La vie à jamais fini de nous faire des surprendre.


AlexiotteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant