Alexiotte

Chapitre 14: Mardi après-midi (les révélations)

Pdv Alex:

Après avoir mangé et nous être occupé de la vaisselle, on sait mis dans le canapé devant le voyage de Chihiro. J'ai dit à Eliotte que je lui expliquerais pourquoi je m'inflige c'est souffrance et qu'es ce qui m'est arrivé.

Je ne sais pas comment lui expliquer que pendant des jours voir des semaines, je me sens vide à la limite de l'agonie sans raison particulier. J'ai vécu des choses compliqués comme tout être vivant c'est normal d'avoir des problèmes.

Alex : Parler de moi à quelqu'un est très compliqué car j'ai l'impression de me plaindre et non de me confier. Plus je m'ouvre au gens et plus ma façon de me voir descends, j'ai une estime de moi-même moi très dure et surtout pessimiste.

Et souvent après avoir parlé de mon vécue et de mon passé, il arrive que je me renferme, arrête de parler ou de faire toute interaction avec les gens. Je me sens plus faible sans protection. La carapace que je m'efforce à garder et se masque que je porte à longueur de temps c'est effondré en me révèlent.

J'aurais besoins de ton aide pour ne pas m'effondrer ou même sombrer dans mes pensées et retranchement.

Il faut dire que pour moi le collège a été une délivrance car on change d'endroit, de fonctionner, ce n'est pas les mêmes règles et surtout pour les mêmes gens qu'on a côtoyé. C'est année de maternelle et de primaire n'ont pas était simple entre la solitude et la bêtise humaine comme tu me le dis si bien.

La maternelle, j'étais un enfant insouciant, gentils, je jouais avec tout le monde sans vraiment avoir d'amis. Je passé la plus par de mes récré tout seule à me parler à moi-même comme un fou.

Dès le plus jeune âge mes parent mon appris que la religion était importante et l'une des soi-disant clés de la vie, que c'était la bonne façon de voir les choses et qu'il fallait si soumettre. J'ai toujours été à la messe et autre pratique chrétienne existante.

La primaire a été un moment long et pénible. Mon parcours scolaire est quasiment irréprochable mes notes étaient excellentes mais mon absence était nombreuse.

J'étais souvent malade on n'a jamais trouvé la raison, j'avais la malchance d'être plus fragile. Dès qu'il avait un changement de température ou quelqu'un est malade, tu peux être certain que c'est pour ma pomme.

J'ai souvent été l'obligé de moquerie ou de violence. Pour je ne sais qu'elle raison j'étais la bête noire peu importe la classe dans laquelle j'étais. Pour mon jeune âge pour moi, se faire frapper ou même était normale car personne n'a réagi que ce soit les professeurs qui regardés sans rien dire ou les moniteurs de cantine qui eut au contraire.

Ils ont réagi, sont partis voir la directrice. Plusieurs fois ils lui ont expliqué que chaque midi je finissais en pleur face à leur insulte ou provocation mais cela n'a rien changer ce n'est que des gamineries entre enfant.

Sauf qu'en CM2 suite à des coups que j'ai reçus, je ne pouvais plus marcher. Mes camarades ont dit que j'étais tombé dans les escaliers. Ma maitresse a appelé mes parents et nous sommes parti aux urgences mais quand je leur ai dit que j'étais simplement tombé.

Le médecin m'a dit que ce n'était pas possible que seul des coups pouvait crée des hématomes pareils et qu'il était à un endroit précis. J'ai donc avoué que c'était mes camarades qui m'avaient infligé ces coups.

Mes parents on dit que je l'ai avis surement bien cherché et ne mon pas cru. Selon mes parent l'humain n'est pas capable de faire une chose pareille que j'ai dû les énervé ou les provoquer.

A partir de cette année je ne dis plus rien à mes parents que ce soit sentimentale ou simplement ce qui je vis, pense car ils n'en ont rien à faire. La seule personne à qui je parle de moi est ma grand-mère. Je lui dis tout même mes plus grands secrets comme mon orientation sexuelle et malgré le fait qu'elle soit aussi chrétienne elle m'a accepté comme je suis.