Chapitre 12: La vérité

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Pdv d'Alex :

Ma mère était venue me chercher chez Eliotte, elle a aussi remercié les parents d'Eliotte de m'avoir récupéré au lycée. On est dans la voiture avec ma mère quand ma mère commence a me parler.

Mère : Ça va mieux ta tête ?

Alex : Oui je pense que c'est la fatigue. A ce moment-là, j'en pouvait plus de mentir et je décide de dire la vérité a ma mère. Enfaite maman cette après-midi je n'étais pas malade, Eliotte et moi on est parti du lycée.

Mère : Ah bon pourquoi ?

Alex : Avant que de parler laisse-moi parler jusqu'aux bout. Déjà Eliotte n'est pas mon ami mais mon petite-ami ses parents ont déjà au courant. Samedi quand je suis sorti, je suis sortie avec lui à la fête foraine. Pendant cette sortie, on s'est embrassé mais quelqu'un de notre classe nous a pris en photo et la posté sur tous les réseaux sociaux et l'à imprimer. Il l'a collé sur nos casier et écrit toute sorte d'insulte comme "sale pd" ect. Tout le monde se fout de nous, rigole quand on passe à côté d'eux ou chuchote des choses dans notre dos. J'ai fait de crise d'angoisse et Eliotte ma calmé et aidé. C'est Ana qui a pris nos devoir et en sortant de la cantine quelqu'un est venue nous agresser mais Eliotte la frappé et on est parti dans un coin de la cour. J'étais tellement paniqué à l'idée de retourner en cours que j'ai demandé à Eliotte si on pouvait rentre chez lui.

Mère : Je ne veux plus t'entendre parler quand on rentrera à la maison tu monteras dans ta chambre, j'en parlerai à ton père.

Ma mère réagit très mal, elle me hurle dessus de me taire. Je commence à pleurer, j'ai peur de ce qui vas se passer. Ma mère ne me parle pas, elle roule plus vite. Je l'ai vraiment énervé, j'en ai marre. Je fais tout de travers, je gâche la vie des autres. Mes parents ne vont plus me parler, je vais blesser Eliotte, tout ça parce-que je suis vivant.

Le trajet me parut si long alors qu''il ne dura que 5 minutes. Je suis rentré chez moi en pleurant. Je n'ai pas dit bonjour à mon père, j'ai directement couru dans ma chambre.

J'entends mes parents criés pendant une dizaine de minutes quant à un moment ils montent dans ma chambre.

Père : Sache que tu as le choix soie tu quittes Eliotte, on ira à l'église t'enlever ce démon, tu changeras d'école et on te soignera. Il est hors de question que tu restes comme sa ou tu sors de chez moi et tu ne seras plus jamais notre fils.

J'étais outtré des paroles de mon père. la colère est mon en flèche et je lui répond en hurlant « IL EST HORS DE QUESTION QUE JE QUITTE ELIOTTE POUR VOTRE OPINION DE MERDE CI C'EST COMME SA. J'AI L'HONORE DE VOUS ANNONCEZ QUE VOUS N'AVEZ PLUS DE FILS. Je fais mon sac prends le maximum d'affaire que je pue et part de cette maison de malheur.

Je pars de ma maison en pleure, je cour sous cette pluie torrentielle sans jamais regarder ou je vais. Au bout d'un moment je suis perdue, je ne sais pas où je suis. Pourquoi la vie me veux autant de mal ? Je ne lui ai rien demandé. Je m'effondre dans une ruelle bien à tomber, je suis trempé et j'ai froid.

En dernier recours j'appelle Eliotte, je t'en supplie répond-moi, il me reste que toi.

Eliotte : Allo ?

Alex : Eliotte. Dis-je en pleurant

Eliotte : Alex calme toi qu'es ce qui se passe ?

Alex : je n'ai pas réussi à mentir à mes parents et leur ai dit la vérité pour rapport à nous. Et ils m'ont mis dehors, là je suis dehors j'ai tellement couru que je ne sais pas où je suis, je suis trempé. Tout ça en hoquetant, en pleurant toutes les larmes de mon corps.

Eliotte : D'accord calme toi, respire, essai de me décrire ou tu es, ce qui t'entoure au pire envoie mon ta localisation snap.

Alex : d'accord attend ... voilà normalement tu l'as reçues.

Eliotte : Oui ses bon surtout tu ne bouges pas j'arrive.

Pdv d'Eliotte:

Alex m'a appelé en pleure, ses parents l'on mit à la porte tout ça parce qu'il a fait son coming-out. Pour l'instant ce n'est pas le problème, là il est tout seul dehors dans un endroit qu'il ne connaît pas. je descend les escaliers en courant. Je cris après ma mère.

Eliotte : MAMAN J'AI BESOINS DE TOI !!!!

Mère : Qu'es ce qu'il y a ?

Eliotte : les parents d'Alex l'on foutu dehors, là il est perdu dehors sous la pluie. Il m'a envoyé sa localisation, tu peux m'y conduire stp.

Mère : Oui dépêche-toi, il va être malade. Fabrice (le père d'Eliotte) on s'en vas, je t'expliquerai plus tard, prépare une serviette et de quoi réchauffer quelqu'un et gonfle le matelas gonflable dans la chambre d'Eliotte.

Père : Ok pas de problème, je le fais tout de suite.

Ma mère et moi ont coure jusqu'à la voiture, ma mère roule plus vite que les limites autorisées et au bout de 10 minute. Je vois quelqu'un part terre trempée de la tête aux pieds, je comprends en une seconde que c'est Alex. Je crie à ma mère de s'arrêter, je sors de la voiture en courant.

Je m'avance et voie Alex recroquevillée sur lui-même les lèvres bleues. Quand il me voie, il éclate en sanglots et se jette sur moi. Il est complètement trempé, frigorifié, il tremble, il est apeuré. Ma mère nous rejoint et sans un mot on se dirige vers la voiture.

Des larmes de rage coules sur mes joues, Alex est dans un état pitoyable tout ça à cause de ses parents qui non pas les yeux en face des trous et leur cerveau dans le bon sens. Dans la voiture Alex est coller à moi, il tremble. Pour réchauffer, j'ai mets mon manteau sur lui. Il est complètement épuisé

Quand on arrive chez moi, j'essaye le porter mais il me dit qu'il peut marcher. En rentrant mon père à comprit sans qu'on lui explique quand il a vue Alex trempé et tremblant.

On s'assoit dans le canapé, je mets une serviette toute autour de lui et le prend dans mes bras et lui fait un baiser sur le front. Ma mère s'assoit un coté de nous et donne un chocolat chaud à Alex.

Mère : Tu es le bienvenu chez nous Alex d'accord. Ceci et ta nouvelle maison, tu peux rester ici le temps qu'il te faudra.

Père : Et ne t'inquiète pas pour t'es affaire pour l'instant Eliotte t'en passera pour la nuit. Demain je t'amènerais chez toi en voiture avec Eliotte et tu iras chercher t'es affaires scolaire, t'es habit ainsi que d'autres chose aux qu'elles tu tiens. Tout cela quand tes géniteurs seront partis.

Alex : d'accords, merci Monsieur

Père : Ne m'appelle pas Monsieur appelle moi Fabrice

Alex : d'accords Fabrice

Mère : Demain vous n'irez pas en cours, il faut que vous vous reposiez. J'enverrai un message expliquant la situation a vos professeurs. Je parle des insultes ainsi que le fait qu'Alex habite à la maison et Alex tu peux m'appeler Sabrina.

Alex : Encore merci, Sabrina

Père : Bon aller les garçons on passe à table, j'ai commandé des pizzas pendant que vous étiez parti.

Eliotte : Merci papa, tu gères

Père : je sais, je sais arrêter de me flatter. En prenant une aire de roi et en rigolant.

Mère : Tu vas arrêter de dire des conneries, oui. En lui mettant une tape derrière la tête.

Après ce sketch de mes parents, on est passé à table. Alex n'a quasiment pas mangé mais je ne l'ai pas forcé ça ne s'aire à rien et je comprends qu'il n'est pas faim. Mon père, nous dit d'aller de coucher. Je monte avec Alex, je lui prête un de mes t-Shirt.

Après qu'on se soit changer, je voie mon Alex avec mon t-shirt qui lui arrive jusqu'aux genoux. Je m'avance vers lui et l'embrasse à pleine bouche. Sur le moment, il a un petit sursaut de surprise mais se laisse vite emporter par ce baiser langoureux. On se regarde droit dans les yens et il me dit.

Eliotte : Tu sais que je t'aime

Alex : Oui et moi aussi je t'aime

Après cet échange, on s'est mis dans mon lit et on s'est endormi ensemble l'un dans les bras de l'autre. Au finale le matelas gonflable n'a servi à rien.

AlexiotteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant