Chapitre 8: La fête foraine

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Au bout de 10 minute je suis arrivé devant le lycée et à ma plus grande surprise Eliotte était déjà là. Mon petit cœur se mit à battre si vite dès que je l'ai vue. Dans ces moments-là, je me dis que j'ai vraiment de la chance en l'avoir rencontré, ce mec que je connais que depuis une semaine qui à tout bousculé dans ma vie, mes habitudes. Je suis aussi reconnaissant envers la vie pour une fois de m'avoir fait un cadeau d'une-t-elle bonté.

Je m'avance vers lui, je pense qu'il m'a entendu car il se retourne et s'avance vers moi. Sans même parler, on arrive l'un en face de l'autre. Je vais directement dans ses bras, l'endroit où je me sens en sécurité. Malgré le fait qu'on s'en fait tous les matins et tous les soirs pendant les jours de cours, le manque ou besoins comme vous le voulez est toujours présent.

Il est plus grand que moi avec ces 1m75 et sais que j'aime quand il met ses mains autour de ma taille qui me permet de mettre ma tête dans son cou. Se câlin devrait durer une éternité mais ce baisé si doux était l'une des sensations que j'apprécie le plus au monde. Je me répète mes ces lèvres sont une appelle inévitable à la luxure. Nous sommes obligés d'arrêter ce moment incroyable par manque d'aire.

Ces moments, je les aime plus que tout au monde. On se prend la main et on se dirige faire la fête foraine qui se trouve sur la place du village à une dizaine de minute à pied de notre lycée.

Pendant notre chemin, on se raconte ce qu'on a fait ce matin. Je n'ai pas encore dit à Eliotte tous mes problèmes de sommeil ou ceux moraux. La carapace que j'ai créée vas être dure à transpercer pour qu'il sache tout ce qui se passe chez moi.

Pendant le reste du chemin nous sommes silencieux en regardant le paysage qui s'offre à nous toujours là mais dans la main.

Au bout de 10 minute on arrive devant cet endroit où un plein de personnes crient avec la sensation que procure les manèges et d'autres qui se goinfre de barba à papa ou de toute confiserie en tout genre.

Nous avançons vers cet endroit magique où plein d'amoureux et de famille se sont réunis.

Eliotte : Tu aimes les manèges à sensation ?

Alex : Oui sa passe. Dis-je en lui répondant avec un sourire rectangulaire comme je sais les faire.

Cette après-midi nous n'avons pas fait attention aux regards des gens sur nous. Nous avions assumé pleinement notre relation en se tenant la main tout le long.

En premier, le premier manège qu'on fait c'est la maison hanter. Sauf que ma super sensibilité à décider de pointer le bout d son nez . Dès le début, j'ai eu tellement peur que je n'arrête pas de crier comme un enfant de 10 ans se qui fit bien rire Eliotte.

Celui-ci me prend dans ses bras et je me retrouver complètement enfermé dans les bras protecteur d'Eliotte. J'avais u peux moins peur grâce a ça. On sort du manège et je baisse la tête automatiquement ayant honte de moi mais Eliotte me la releva tout de suite en prenant mon menton.

il accompagne son mouvement de cette phrase « Ne baisse pas la tête tout le monde a le droit d'avoir peur cela n'est pas interdit. Pas besoins de te cacher avec moi. » Tout ça en m'embrassant.

Je me détendis petit à petit, sans me regarder il a compris ma réaction, m'a réconforté sans se poser de question. Cette façon d'agir me faisait comprendre pourquoi je l'aimais.

Malgré les réflexions non discrètes à l'égard de notre contacte en public, nous nous sommes dirigés vers une autre activité.

Au bout d'un certain nombre de manège, Eliotte me propose d'aller manger quelque chose. On se dirige vers un stand de pomme d'amour et de sucreries. Je doute énormément, j'ai faim mais j'ai pas envie de manger à cause de la quantité de sucre qu'il y a des les pommes d'amour malgré le faite que j'adore sa.

Eliotte remarque que je suis dans mes pensées et me pose une question toute simple.

Eliotte: Qu'elle manège as tu préféré ?

Alex: Je dirai celui avec les miroir, c'était marrant de te voir te les prendre en pleine face. En rigolant

Eliotte: T'es pas gêné de te moquer de moi mais j'avoue que je l'ai bien aimée celui là.

Nous arrivons dans la fille d'attente du stand et je n'arrive toujours pas à me décidé.

Eliotte: Tu vas prendre quoi ?

Alex : Euh je ne sais pas, tu vas prendre quoi toi ?

Eliotte: Une pomme d'amour et toi

Alex: Comme toi, les pommes d'amours sont l'unes des sucreries qu'il existe.

Eliotte : C'est bon a savoir.

Viens le moment ou c'est un autre tour de commande, je n'ose pas parler. Eliotte prend le relais commande deux pommes. Je n'ai pas le temps de lui tendre mon argent, qu'il paye a ma place. J'ai horreur qu'o me paye des choses car j'ai peur d'être redevable envers quelqu'un. Cette idiot me regarde en souriant, il le sait que je n'aime pas ça.

Eliotte : ne me regarde pas comme ça. C'est normal que je te payent des choses tu es mon copain avec un sourire jusqu'au oreille.

Moi, je me mets a rougir et me cachets dans son épaules. La dames du stand, nous appelle, on récupère les pommes d'amour et allons se pose sur une table mises a disposition à coté de la grand roue.

On se dépêche de la mangeais à cause de froid qui nous glace les mains. J'adore toutes les lumières qui scintille dans le noir, elle sont de toute les couleurs et de toutes les formes. j'aime observer le monde qui m'entour, je me dit aussi que cela ferrait des photos incroyable.

Eliotte : Tu veux faire un tour de grande roue ?

Je lui réponds oui avec des étoiles dans les yeux. La grand roue est vraiment un lieux très clichée mais je m'en fou, moi j'aime bien. Grace a la chance, il y avait personnes dans le queue et nous sommes directement rentrée dans une cabine. Cette grand roue est vraiment très grande je suis sur que vue sa grandeur je pourrais voir tout la ville s'illuminer. Ce cadre est vraiment idyllique.

Je sens le regard d'Eliotte sur moi pendant je regarde autour de notre cabine, j'enlace ma main dans la sienne. Je tourne le regarde vers lui et il vient m'embrasser. C'est un baiser doue replie de douceur. On se sépare , je colle mon front sur le sien et me reproche de lui en même temps.

Ce moment fus magique, et je pense qu'il restera gravé dans ma mémoire. On sort de la cabine et je commence sérieusement a avoir froid. Je claque des dents et je grelotte malgré les couche de vêtement que je porte.

Eliotte le remarque et me demande si je veux rentrer chez moi. Je suis gêné, j'ai pas envie d'être la raisons pour laquelle le rendez-vous se fini.

Eliotte: Ne t'inquiète pas moi aussi j'ai froid, viens je te ramène chez toi.

C'est comme ça qu'il ma raccompagné chez moi et qu'il chez lui.Il ma envoye un message en me disant qu'il avait pensées une excellente après-midi.







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