chapitre 17: Vendredi

14 2 3
                                    

Pdv d'Alex :

Eliotte ne m'avait rien dit, j'avais tellement peur de sa réaction. Peur qu'il m'abandonne, qu'il me trouve écœurant.

Il m'a soigné, ma calmé avec sa fibre maternelle. Je veux revoir ma grand-mère elle me manque. Je la voie très peux car elle habite loin à environ une heure de chez moi. Elle ne doit pas être au courant que mes parents mon virée de chez moi aussi non elle va s'énervé. Mais ce n'est pas bon pour son âge.

En ce moment, je suis dans le lit d'Eliotte donc dans sa chambre et malgré l'heure je n'arrive pas à dormir. Mon sommeil s'était largement amélioré avec Eliotte mais là la nuit blanche est d'ordre.

Il est 2h du matin. Aujourd'hui, une nouvelle journée où je vais me lever, aller en cours, rentré dans une maison qui n'est pas la mienne et me couchers. J'aimerais tant rester dans mon lit, rentrer chez moi que mes parents m'acceptent mais tout cela n'est qu'un rêve qui ne se produira jamais vue la situation.

De multiple bride de ma vie me vienne en tête : les weekends ou je dors chez ma grand-mère, les sorti avec notre bande quand on dormait tous ensemble et que Maya.... Maya dieux que tu me manques, j'ai besoins de toi, de ta maladresse, de nos fou rire. Je veux simplement te revoir même si je sais que cela est impossible.

Je ne veux pas retourner en cours me faire dévisager pour ce qui je suis. J'en ai marre d'être stresser d'aller apprendre des choses la plus pars du temps inutile ou pour mon avenir même si je ne sais pas si je serais toujours vivant à ce jour.

La vie me fait peur, peur d'apprendre la mort de ma grand-mère ainsi que c'elle de mon homme mais vous voyez c'elle de Maya est déjà arrivé. La mort elle ne toque pas à ta porte pour te prévenir quand elle va arriver non quand tu la voie, il est déjà trop tard.

Mon cœur a épongé tout c'est événement mais ne les a pas encore essorés ni digérés. Comment moi je peux passer à un garçon normal au collège, hétéro avec des amis, de bonnes notes en fait une vie de rêves à un ado au lycée, gay, fragile, sensible, addicte à l'automutilation avec des amis est une morte par un con ivre au volant, sans maison et avec seul point positif est d'avoir un copain extraordinaire qui vous sauve la vie car vous n'êtes rien qu'un enfant perdu dans un monde d'adulte plus irresponsables les uns que les autres.

De grand homme dise que les événements qui tu as vécue te forges et te rende plus fort. Souvent les gens se permette de parler sur quelque chose qui ne connaissent.

Vous voyez je ne fais que sa penser, penser et penser. Fin bref là c'est mission ne pas réveiller Eliotte qui dort paisiblement pour récupérer mes écouteurs et mon téléphone. Je me retourne, prend mon cellulaire et mes écouteurs qui sont posé sur la table de nuit à côté du lit.

Mission accomplie mon homme est dans un sommeil profond et moi j'ai mes écouteurs avec mon téléphone. Je vais sur YouTube et regard les dernières vidéos que nos vidéastes français nous on sortis. Perso, je suis abonné à Squeezie, Amixem, mastu, joyca .....

Les heures passent et pas l'ombre d'un signe du sommeil, il est 5 heures. Je dois me lever dans une heure pour aujourd'hui la nuit blanche est réalisée.

Bon, je pense que je vais lire un livre pour les connaisseurs en écoutant ma meilleure playlist de Kpop (BTS, Ateez, Taemin, Stray Kids, Enhypen, BlackPink ...)

Le réveil de mon chéri vient de sonner, je m'approche de lui et l'embrasse sur le front.

Alex : Mon chéri, il faut que tu te réveilles il est 6h.

Eliotte : Mmmh

Alex : Allez debout

Eliotte : Ok, Ok, je vais me lever mais tu as dormi parce que vers deux heures le lit à bouger ?

Alex : Non je viens de faire nuit blanche mais t'inquiète j'ai l'habitude.

Eliotte : D'acc, tu viens je vais me laver.

Alex : Oui, je te suis.

On se lève, on s'embrasse et nous partons dans la salle de bain. On se lave en intervalle et s'habille on se marre car on fait exprès de mettre les mêmes couleurs dans nos tenues. Aujourd'hui c'est haut bleu avec bas gris et basket.

On descend, on déjeune et on part vers notre bahut qu'on peut considérer comme une prison d'apprentissage.

La matinée se passe bien, les cours était plutôt intéressant pour une fois, je n'ai pas manqué de m'endormir pendant. Aucun de nos amis était absent.

Ce midi, je n'ai pas mangé à la cantine je n'avais pas faim. La cantine nous fait l'honneur de manger couscous se midi et sa bah ce n'est pas pour moi. Je n'aime pas le couscous à pars la semoule le reste je n'aime pas.

On a bien ri car Léo ces renversé son verre d'eau sur lui car Monsieur voulu boire en mordant son verre et non en le tenant avec ses mains. Oui, il est con mais ça ne date pas de maintenant et c'est aussi pour ça qu'on l'aime, il enchaine connerie sur connerie.

On sort du réfectoire après avoir finis de manger nous nous dirigeons vers notre endroit au fond de la cours. On discute, pars chercher nos sacs et quand vient l'heure où la sonnerie se fit entendre. On se dirige vers notre classe en plus cette après-midi Eliotte fini après moi à 15 heures.

Pour mon plus grand bonheur on a Math noté mon ironie et si je dis que je déteste cette matière c'est bien un euphémisme.

Après une heure de calvaire, moi j'ai fini mais Eliotte à Art c'est une option qu'il a pris. Mon homme est vraiment doué en dessin, il peut dessiner tout ce qu'il vue à l'aide de photo ou sans rien fin bref un mini Picasso.

Je descends nos deux étages qui nous sépare des portes de la liberté avec Ana, on sort et se dit aurevoir car on ne prend pas le même chemin pour rentrer chez nous.

Je commence à marcher vers mon lieu de résidence avec mes écouteurs. Au bout d'un moment j'arrive dans des rues sombre pas loin de là où j'habite quand je sens une pression sur mon épaule. Je me retourne et me trouve faces à des gens que je ne connais pas. J'enlève mes écouteurs et l'un deux me dit.

Je me retourne et me retrouve en face de deux personnes. Celui de droite fait une réflexion a voix haute « C'est bien l'un des deux pd de notre bahut ».

Je comprends directement qu'ils ne sont pas la pour mon souhaite de bonne vacances vus la réflexion qu'il vient de dire. Je n'ai pas le temps de parler qu'il intervient « Je prends sa pour un oui. Sache je n'aime pas de ton espèce donc on va être très rapide ».

Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui se passe que je reçois un coup dans le ventre que se suit d'une série d'autre coup plus fort les uns que les autres et pas au même endroit. J'atterrie contre un mur, mon cartable au côté de moi ouvert avec toute mes affaires éparpiller tout autour. J'ai de la chance car il n'a pas plu donc mes cahiers ou autres ne seront pas mouillés.

Celui de gauche parle pour la première fois et dit « Alors on fait moins le malin par terre, tu vois, tu devrais mourir. Tu as peut être comprise maintenant tout vos attention l'un en vers l'autre pas en public.vous ne respecter rien même pas les gens autour de vous pour vous donner en spectacle comme sa ».

Puis il continue de me frapper de m'insulter et cette fois ci ma tête est claquée dans le mur. Cela doit bien durer 10 minutes ou il alterner entre mon ventre, ma tête ou mes jambes. Mes forces diminuer au fur et à mesure des coups donnés.

Ils partent satisfait de leur action, sans regrets en me laissant pour mort contre se murs. Avec les dernières forces qui me reste, j'envoie ma localisation à Eliotte car de base je devais revenir le chercher quand il avait fini.

Je pense qui vas s'inquiété que je ne sois pas là. Je suis vraiment fatigué et j'ai froi. Mon corps me fait mal, je n'arrive pas à le bouger. Je n'arrive pas a garde mes yens ouvert. Le vent froid me foutais le visage et cela sera la dernière chose dont je me souviendrais.

AlexiotteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant