Arrive enfin le moment que j'attendais toute la semaine. Je me rend donc au stade, 1h plus tôt que d'habitude comme le voulait Thomas.
J'arrive et le vois tout de suite, d'ailleurs pour une fois il n'est pas dégoulinant de sueur, puisque qu'il n'a sûrement pas encore joué.
Il me demande de le suivre dans le vestiaire et me dit:
- ok je t'ai demander de venir plutôt parce que j'avais envie d'essayer un truc, tu veux bien entrer dans ce casier ?-quoi?
- en fait, c'est pour que tu soit disponible dès que j'aurai fini, et je ne veux pas que mon équipe te vois, d'ailleurs ils arrivent dépêche toi!!
Je suis plutôt surpris, je ne réfléchis pas trop et entre dans le casier en urgence, entendant des bruits de pas. Je me tasse du mieux que je peux, je rentre mais je ne peux plus trop bouger à l'intérieur. Tout a coup Thomas ferme la porte et j'entends le "clic" d'un cadenas, qui me confirme que je suis bien prisonnier de Thomas à présent. Je l'entends même dire à travers la porte :
- j'aime vraiment l'idée que tu sois complètement disponible pour moi, je pourrais revenir seulement demain matin, si je voulais, et tu serais toujours là à m'attendre, maintenant pas un bruit !!
En repensant à la situation je deviens vraiment excité, ce n'est vraiment pas normal de ma part d'avoir accepté, mais j'aime tellement la façon dont il me domine que je préfère obéir à tout ce qu'il me demande pour ne pas risquer qu'il me jette.
J'entends tout un groupe de jeunes entrés dans le vestiaire, chacun se met en tenue, j'imagine, j'essaie même de retenir mon souffle pour ne pas risquer d'être repérés.
Après quelques minutes le silence s'installe, je suis toujours dans le noir et je perd la notion du temps.
Je suppose qu'une heure va s'écouler puisque je suis venu seulement 1h plus tôt, donc j'attends, et je souffre de mon excitation à l'entrejambe que je ne peux bien sûr pas soulager tout de suite. Thomas peut arriver n'importe quand, et puis j'ai à peine la place de bouger.
J'entends enfin l'équipe de Thomas revenir au vestiaire et après un bon quart d'heure de discussion, le calme se fait dans le vestiaire j'imagine donc que Thomas ne va pas tarder à m'ouvrir.Pourtant il ne se pas rien. Je n'entends rien et le temps passe.
Il plaisantait quand il parler de revenir demain quand même...
C'est impossible qu'il m'ai vraiment enfermé pour la nuit...
En plus, personne n'est au courant que je suis allée au stade aujourd'hui et personne à part Thomas ne pourrait se douter que je suis dans un casier...
Je ne suis vraiment pas serein en imaginant ce qui pourrait m'attendre.
Mais tout a coup, j'entends qu'on donne un coup dans le casier ou je suis. Un bruit assez puissant résonne dans ma petite prison, cependant ça ne peut être que Thomas, je suis donc rassuré.- ça va c'est pas trop inconfortable ?
- ben un peu quand même, c'est bon tu peux m'ouvrir ?
- je sais pas trop...t'aimerais pas passer la nuit ici pour me faire plaisir ?
- vraiment Thomas c'est pas drôle ouvre stp
- qu'est-ce que tu serais prêt à faire pour que j'ouvre ?
- tout ce que tu veux, j'ai toujours obéi quand tu me demandais de faire quelque chose t'as pas besoin de faire tout ça...
J'étais plutôt étonné qu'il cherche à me forcer, jusque-là il ordonnait simplement et j'obéissais, je ne sais pas où il veut en venir, mais de toute façons je ferai tout ce qu'il veut, mon érection est bien trop intense pour réfléchir. Thomas reprit :
-en faite, j'aime vraiment notre relation, et j'ai pas envie que tu te lasse de m'obéir. Donc j'aimerais que tu porte quelque chose qui te rappelle que tu doit m'obéir, tu serais d'accord ?
Il veut faire de moi sont esclave personnel... j'en bave presque...
J'essaie de garder une vois neutre mais je sent vraiment l'excitation dans ma voix:
- da...d'accord tout ce que tu veux...je t'obéirai aussi longtemps que tu le voudra...- très bonne réponse, ça me fait tellement plaisir que tu connaisse ta place
Thomas déverrouille la porte du casier, ouvre et me laisse sortir.
Il me tend un petit sac et me dit:- ok maintenant va dans une douche et met ce qu'il y a à l'intérieur rapidement !
- oui j'y vais tout de suite
Une fois dans la douche j'ouvre le sac, et j'essaie d'étouffer un gémissement d'excitation.
C'est une cage de chasteté...
Plutôt petite en plus, dans mon état actuel je ne pourrai jamais la mettre.
J'ai vraiment du mal à croire ce qui m'arrive...un jeune de 15 ans veut vraiment faire de moi son esclave et m'enfermer dans une cage de chasteté...
J'entends Thomas qui me répète de me dépêcher. Je me reprends et commence à faire couler de l'eau, pour me détendre et débander. Je me concentre également pour me calmer et j'arrive enfin à placer la cage, et je la scelle avec un cadenas à clés.En entendant le "clic" du cadenas, mon imagination et excitation reviennent à la charge, et je ne peux m'empêcher de redevenir immédiatement dur à nouveau.
Cette fois par contre je n'ai absolument aucune place, et la frustration lié à mon excitation me fait tomber à genoux, tant le sentiment que j'éprouve est puissant.Je sers des dent, et me force à me r'habiller pour rejoindre Thomas.
Thomas, a qui j'appartiens entièrement à partir de maintenant puisque je n'ai pas les clés du cadenas.Thomas vérifie que tout est en place en passant sa main sur mon pantalon et me dit:
- très bien, t'as vraiment fait le bon choix, je verrais si j'ai envie de te laisser te soulager quelques fois, pour l'instant tu vas garder ça jusqu'à la semaine prochaine, même heure. D'ailleurs tiens (Il me tend un sac ) je t'avait dit que je lavais ma tenue de foot 1 fois par mois, tu va pouvoir t'en occuper a partir de maintenant. Tout est dans le sac, tu lave tout a la main c'est compris ?
Allez à la semaine prochaineJ'ai du mal à décrire comment je me sentais...le bonheur ultime peut-être...j'ai passer la semaine dans la frustration, avec la possibilité de me plongé dans les chaussettes de Thomas...j'ai bien sûr laver tout son équipement à la main, mais j'ai préféré attendre le dernier jour pour ses chaussettes.
Maintenant ma vie va peut-être pas mal changer. Parfois je me sentais un peu lucide après que je me sois soulagé, mais maintenant je suis constamment excité, et je sais que je ferais absolument n'importent quoi pour satisfaire Thomas.
J'attends donc avec impatience notre prochain rendez-vous.
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Une Soumission de foot (pieds)
Aktuelle LiteraturFiction Un garçon de 18 ans est soumis par 3 garçons de 15 ans en tenue de football