Notre prochain rendez-vous arrive enfin.
Je rencontre Thomas, et lui rend sa tenue de foot propre.Thomas : c'est bien, donne moi ton portefeuille et téléphone puis retourne dans ton petit casier, dépêche toi !
J'obéis rapidement, et une fois installé et à l'étroit, Thomas, juste avant de fermer le casier, jette quelque chose à l'intérieur.
Thomas : t'a l'air d'aimer ça, alors ne me remercie pas.
J'entends le clic du cadenas puis les pas de Thomas qui s'éloigne.
Je cherche dans le noir ce qu'il a jeté dans le casier, et même si j'ai du mal, je comprends rapidement ce que c'est, je sens une forte odeur de transpiration et effectivement, je trouve enfin une paire de chaussettes en sueur.
Le casier étant à peine aéré, l'odeur stagne autour de moi, et bientôt je ne sens plus que cette transpiration.
Rapidement je rentre dans un état second, je me sens tellement humilier de ma position, la sueur de Thomas qui se grave dans mon esprit, et ma cage de chasteté qui me frustre au plus haut point.Dans mon excitation je n'ai même pas entendu les camarades de Thomas qui arrivent, mais je m'en suis rendu compte lorsqu'ils sont revenus.
Au bout d'un certain temps il n'y avait plus aucun bruit, j'attendais impatiemment que Thomas me libére, et peut-être même me retire ma cage quelques instants.Mais le temps passe et toujours rien, il m'a déjà fait le coup, me faire attendre, sachant que je suis enfermé, à sa disposition.
Il assoit encore sa domination sur moi, mais j'espère qu'il ne sera plus trop long à venir.Je me réveille en sursaut, avec des coups de pieds dans le visage.
Thomas : aller sors, j'espère que t'as bien dormi.
Je suis un peu étourdi, je sors lentement du casier, tout endolori, et j'ai du mal à comprendre. Je me suis endormi ? Combien de temps ?
Je n'ai pas passé la nuit ici quand même ?Je suis à genoux devant Thomas, je le regarde comme un chien apeuré, je suis pitoyable. Je remarque qu'il fait à peine jour, donc Thomas m'a bien fait passer la nuit dans le casier.
Pourtant je n'ose pas un seul instant m'énerver ou lui demander pourquoi il m'a fait ça, j'attends là bien sagement qu'il m'adresse la parole.Il s'assoit sur un banc.
Thomas : viens me masser les pieds on va discuter un peu. Tu fait quoi dans la vie ?
Lucas : je...pas grand chose... en ce moment...
Thomas : intéressant, t'as de la chance, mon père a un restaurant et il cherche justement un serveur. Tu vas pouvoir postuler, ça te dit ?
Lucas : bien...bien sûr, c'est très gentil de ta part...
Thomas : pas de problème, justement je suis vraiment sympa, tu pourras garder la moitié de ton salaire pour toi, l'autre moitié et tes pourboires seront pour moi, ça me fera un peu d'argent de poches.
Quand tu iras te présenter, tu diras bien que tu es entièrement disponible, pour travailler n'importe quand et faire n'importe quoi, sauf pour notre rendez-vous de la semaine, tu feras en sorte d'être toujours libre pour venir me servir de paillasson, compris ?Lucas : oui aucun problème c'est tout à fait normal...
Thomas : ok tu vas aller à cette adresse, et tu seras le plus soumis possible envers les clients pour avoir des pourboires. Et lave toi avant bien sûr, tu pue les pieds, on dirait que t'as passé la nuit dans un sac de linge sale XD.
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Une Soumission de foot (pieds)
Ficción GeneralFiction Un garçon de 18 ans est soumis par 3 garçons de 15 ans en tenue de football