Une aventure au pays des fées

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L'aube versa sa lumière comme un liquide d'albâtre blanche sur le paysage divin

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L'aube versa sa lumière comme un liquide d'albâtre blanche sur le paysage divin.Cet immense rideau de tendresse par le matin, vrillait contre les montagnes. Les montagnes s'étendent comme des océans d'aiguilles rouillées. Cela faisait sept jours que je sillonnais les collines mystérieuses d' Esdaile, pour avoir une chance d'y retourner. Ses collines étaient des monstrueux labyrinthes, conçus pour protéger les fées contre les créatures indignes du grand déluge de sang.

Or juste, pour sauvegarder les mensonges des hommes. Mais elles étaient les plus belles formes architecturales que j'avais osé observer, un brouillon de formes circulaires qui serpentait contre la terre marron. Cette terre magique qui est émulée par la sétacée des plantes gracieuses, une multitude de couleurs ; rose, violet, une foule de la blancheur de la lune. Des pétales de sang bleuissant dansaient pour le premier survol des oiseaux miniatures de l'été.

Ses collines étaient si étrangères, elles qui sont les créations des dieux primordiaux des fées. Les fées qui étaient des êtres bien contrairement à des créatures gentilles et angéliques, des histoires que ma grand-mère me racontait. Si je pense maintenant, les lèvres minces de ma nana étaient toujours penchées, pour broder la vérité de ses mensonges futiles derrière sa langue . Ses fées étaient des organismes qui parurent bien loin d'être la définition d'une beauté sainte. Alors que ses créatures avaient plusieurs yeux qui scintillent avec la lueur d'une rivière vivante, la verse des forêts mortes et le falbala d'une douzaine d'ailes.

Leur corps contre l'effervescence de l'eau tiède à l'image des pierres précieuses, leur nez inclinés et une petite bouche ensevelie sous des dents pointes à la courbe des katanas aiguisés des samurais, la rage des guerriers qui trahit tout dans leur sang. Ce trouve ici des cadavres et dans ses cadavres, il ya le mensonge des luttes et des guerres ; il n'y a pas de vainqueur dans la gourmandise du pouvoir, juste la folie des rois et des reines.

Mon visage était clouté par les sueurs de peur, un délire supérieur à tous les cauchemars que j'avais déjà eu dans mes vingt ans. Mon sang se broyait avec la force d'un gros rocher contre mon cœur emprisonné sous le froid gelant des entourages. Mais cette cadence de violence et de beauté mystique me faisaient hummer une air tiède qui me coupait le souffle. Les châteaux paraissaient si loin mais si proches avec ma vue bigleuse. Ses bâtiments gigantesques étaient recouverts avec une poussière dorée.

Des plantes bizarres en forme d'hibiscus et de champignons calquent les gémissements des vents oranges. Ses plantes ; des bêtes carnivores attendaient pour leurs proies, laissant derrière une brume bleu. Cette brume imitait l'obscurité triste de la crépuscule impitoyable qui venait de croquer le soleil avec ses étoiles frisés. Ses étoiles, ironiquement , ressemblaient aux fleurs et à leurs ramilles.

Alors, j'ai compris que même la douceur de mille feu pouvait être un prédateur dangereux, orné par une faim infinie. 

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