L'amour, la politique, la rivalité. Voilà trois mots qui obnubile la vie déjà bien mouvementé de Mary Stuart.
Reine d'Écosse de naissance, de France par alliance et héritière d'Angleterre par droit, comment va t-elle s'en sortir ?
De plus, elle vie...
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Mary-
Je me réveille par les carrosse de Frnacois et le son de sa voix.
- Comment tu vas ? Lui dis-je.
- C'est à moi de te poser cet question, c'est toi qui porte le bébé me dit-il.
- C'est vrai tu as intérêt à bien prendre soin de moi pour que le bébé se porte bien dis-je en souriant.
- C'est bien ce que je compte faire me répond t'il. Il se met sur moi rentre sous la couverture, relève ma robe et place sa tête à mon intimité.
- Tu fait quoi ? Demande-je.
- Je prend soin de toi dit-il. J'aime bien sa façon de prendre soin de moi.
Il continue à faire des gestes à sa langue durant quelques minutes. J'était sur le point de jouir quand la porte s'ouvra brusquement sur Catherine accompagné de Sebastien et Kenna.
- Oh mon dieu dit Kenna en fesant une pause après chaque mot. Francois quand à lui sort de sous la couverture des qu'il entend le son de sa voix.
- Que faitent vous dans nos appartement si tôt ? Demande François sans recevoir de réponse. Ils était trop occupé à baisser les yeux.
- Vous avez tout gâcher dis-je à voix basse.
Francois lâche un rire discret et se remet derrière moi.
- Que voulez vous ? Demande François.
- J'ai besoin de l'héritière légitime d'Angleterre dit Catherine qui elle n'avait pas bouger.
- Moi ? Pour quoi ? Demande-je à mon tour.
- Vous avez reçu une lettre 100 % confidentiel que seul vous pouvez lire dit-elle.
- Bien dis-je en marquant une pause. Vous pouvez disposer nous serons là très bientôt. Ils hochent de la tête à ma réponse et s'en vont.
- On reprend où on en était ? Me demande François.
- J'aimerai tellement mais ta mère dit que c'est important.
- Très bien je me rachèterai ce soir. Je rie à sa détermination et me lève me dirigent vers ma garde robe.
- Je ne sais plus quoi porter.
- Comment ça ? Ta garde-robe est remplie Mary.
- Vrai mais je suis enceinte maintenant et mon ventre commence à grandir, dis-je et je peux le sentir rouler des yeux et lâcher un faible "pourquoi cela doit être autant compliqué" avant de ce mettre à côté de moi.
- Met cet robe dorée m'annonce t'il.
- Elle est moulante Francois. J'était assez maigre avant que je ne sois enceinte donc ce soir quand les nobles verront le changement...
- C'est le but, ce soir je ferai l'annonce officielle il dit cela mais il savait que cela ne me tentai pas mais après tout, rien ne peux mal se passer.
- Comme tu veux.
- Merci dit-il en m'embrassent dans le cou.
Environ une heure plus tard, François et moi étions en dehors de notre chambre. Des nobles et serviteurs se trouver vers le chemin du bureau et malgré moi nous ne passions pas inaperçu. Mon ventre n'est pas gros mais si on y fait attention on remarque qu'il y a je changement.
- Je suis avec toi Mary ma chuchote Frnacois.
- Je sais.
Il m'offre un baiser sur la tête alors que les garde nous ouvrer la porte. Catherine était déjà là et elle aussi a remarqué ma tenue.
- Plutôt osé dit-elle.
- C'est de famille rétorqué je alors que nos regard se porter sur François.
- De toute les manières c'est mon enfant et l'annonce ce fera ce soir dit ce dernier.
- Ca se voit que ce n'ai pas vous de qui on parle après dans les couloirs du château lâche Catherine. Francois reste silencieux ne comprenant pas ce qu'elle vien de dire.
- Où est la lettre ? Demande-je pour changer de sujet.
- Ici, tener. Je vais vous laissez seul à présent, vos nouvelle robes vienne d'arriver et quelqu'un doit les vérifiés dit elle, je lui sourie et répond.
- Encore merci Catherine.
- Ce n'ai rien tout le monde a besoin d'aide dans la vie, même une reine. Elle me sourie à son tour avant de quitter la pièce.
- Vos liens avec ma mère son devenu beaucoup plus fort dit François.
- C'est vrai affirme-je.
- Veux tu que je la lisent avec toi ? Dit-il en désignant la lettre.
- Oui, si tu veux dis-je en l'ouvrant.
Chère Mary,
Un de mes espions ma informer que le prince Louis a essayer de vous aggressez en mon nom et avec mon approbation. Je tien à vous préciser qu'il en n'ai aucunement le cas, jamais je ne permettrai qu'une femmes ce fassent violer sous mon nom encore moin si c'est ma cousine. On ma aussi rapporter que je séria soi-disant sa fiancée, ceci est et restera faux.
Je compte te rendre une petitevisite, il faut dire que notre confrontation est basé sur les rumeurs que rapporte nos espions et nous ne pouvons pas toujours en être sur, je viendrai donc en parler.
À très bientôt, ta cousine Elizabeth Tudors.
Je replie la lettre et me retourne vers Francois.
- Elle va donc venir ici à la cour de France.
- C'est pour la bonne cause m'informe t'il.
- Mais si c'était un piège ? Je ne peux plus risquer ma vie étant orner que ce n'est plus que de la mienne qu'il s'agit.
- Je serai là pour te protéger toi et notre enfant me dit-il.
