L'amour, la politique, la rivalité. Voilà trois mots qui obnubile la vie déjà bien mouvementé de Mary Stuart.
Reine d'Écosse de naissance, de France par alliance et héritière d'Angleterre par droit, comment va t-elle s'en sortir ?
De plus, elle vie...
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Mary-
- Mary et Francois, malgre votre désaccord, vous allez devoir dormir dans la même chambre. C'est une question de sécurité nous ne savons pas ce qu'il pourrait faire dit Catherine.
- Ce n'ai pas un problème pour ma part mais je ne voudrai rien t'imposer dit-il en me regardant. Je pourrai dormir sur le canapé.
- Ça ne me dérange pas plutot ce pervert partira mieu sa sera dis-je.
- Bien nous sommes d'accord dit Catherine. Sebastien hoche de la tête suivant Francois pour une réunion.
- Venez Mary nous devons vous préparer pour le bal costumé.
Je me dirige vers mes appartement et attend que Greer me rammene la robe.
- La robe est trop serrer dis-je paniqué.
- Pas de panique ma chère, dès que j'ai appris que vous etes enceinte j'ai pris des dispositions pour une nouvel robe.
- Merci dis-je sincèrement.
Elle me sourie et part s'asseoir regardant les domestique me changer. Une fois prête je me dirige vers le mirroir pour observer la robe. Elle est blanche, un blanc magnifique et mes cheveux son ranger en chignon.
Greer et Kenna pénétre dans la chambre un sourire décorant leurs lèvres.
- Prête ? Me demande Greer.
- Prête lui annonce je.
- Allons-y ils doivent tous t'attendre nous dit Kenna.
Nous sortons toutes de la chambre et marchons en direction de la salle de bal où à l'entrée nous attendez un page.
- La reine d'Écosse et de France Mary Stuart ainsi que ces dames de compagnies et la reine mère.
Nous pénétrons dans la salle bonder et découvrons une centaine paires de yeux nous fixer avec idolation ou peut être est-ce de la jalousie. Je descend les marches et me dirige vers Francois qui a côté de lui se trouver Condé.
- Ma chérie comment vas tu ? Demande François.
- Très bien et toi ? Il s'avance et me donne un baisers sur le front.
- Bien maintenant que tu est là dit-il, ces mots doux me manque tellement.
Je lui sourie et me retourne vers Condé qui me déshabille du regard, il me donne en vie de vomir et comme si il liser dans mes pensées il dit.
- Un bébé en approche ?
Francois me fixa, j'allais lui répondre quand Kenna intervient.
