L'amour, la politique, la rivalité. Voilà trois mots qui obnubile la vie déjà bien mouvementé de Mary Stuart.
Reine d'Écosse de naissance, de France par alliance et héritière d'Angleterre par droit, comment va t-elle s'en sortir ?
De plus, elle vie...
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•𝓔𝓷𝓯𝓪𝓷𝓽 •
Francois-
Je cours derrière Mary pour atteindre la sortie du château. Une fois à destination nous trouvons ma mère et Kenna derrière Sebastien et Leith ainsi que Lola tenu par Condé. Elle lâche des gémissement de douleur.
- Lacher là crie Mary.
- Pourquoi donc ? Je m'amuse bien dit Condé avec un sourire malsain.
- Jai dit lâcher là répète Mary du même ton.
- Tout ceci est pour vous Mary et voilà comment vous me remerciez dit-il fesant semblant d'être blesser.
- Pour moi demande Mary, nous sommes tous confus.
- Oui pour vous, des rumeurs cour qu'il y a eu une aventure entre votre dame de compagnie et votre Mary. Vous ne vous êtes pas venger alors je de ferai à votre place.
- Pas de cette manière rétorque Mary.
- Mais je veux ressentir du plaisirs dit-il, il est forcément saoul. Cela ne me plai pas.
- Vous êtes saoul Condé vous ne savais pas ce que vous voulais dis-je.
- Vous avez raison ce n'ai pas elle que je veux, mais votre femme, je veux baiser votre femme dit-il. Il me répugne.
- Soigner votre langage Condé, rappellez vous que c'est votre reine à qui vous vous adressez dis-je en avançant devant Mary. Il lache Lola la poussant par terre. Mon premiers réflexe et de rattraper Lola mais cela coûte la protection de Mary. A peine est je le temps de me relever avec Lola que Condé tener déjà Mary. Je m'approche en colère pour la libéré mais il sort un couteau de sa poche.
- Ne la toucher pas dis-je en serrant les dents.
- Ne vous inquiétez pas votre majesté je ne vais pas blesser votre magnifique femme seulement la baiser. Je veux qu'elle crie mon nom encore et encore.
- Ne faitent pas ça Condé dit ma mère en marquant une pause. C'est une femme enceinte finit elle.
Je manque de m'étouffer. Je me retourne vers ma mère pour voir si j'ai bien entendu. Kenna et Greer ne semble pas confuse. Mary est donc vraiment enceinte, mon enfant.
- Enceinte ? Demande-je à voix haute. Mary ne répond pas elle se contente seulement de verser une larme puis une autre et ainsi de suite. Elle est donc enceinte.
- Voilà qui tombe bien. Vous ai-je dit que j'était fiancé à votre cousine Elizabeth ? Je pourrai vous baiser et ensuite réclamer l'enfant.
- Cet enfant n'ai pas de vous dit Mary.
- Cela mes égale ! Vous serai juger pour adultaire et tout le monde pensera que l'enfant est de moi. Il enchère les phrases comme si il les avait appris, comme si il avait prévu cela depuis longtemps.
- Vous serai ma maîtresse. Je serai roi d'Écosse, d'Angleterre et un jour de France. Et vous ne pourrez pas réclamer le trône. Alors qu'il parle j'essaye de trouver un moyen de liberté Mary.
- Il y a un problème dans votre histoire dit Mary.
- Vraiment ? Dit-il en promenant ces main sur son corp. Je vais le tuer.
- Cet enfant sera probablement blond ou blonde comme son père dit-elle et il la gifle.
- Ce sera mon enfant crie t'il.
J'en ai plus que marre, il a baisser sa garde c'est maintenant ou jamais. J'attrape son col et le balance par terre. Je commence à lui donner des coups.
Ca c'est pour avoir essayé de violer Mary.
Ca c'est pour l'avoir touché.
Ca pour l'avoir gifler.
Et ça pour avoir voulu voler mon enfant.
- Francois arrête, tu va le tuer me dit Mary. Je m'arrête donc à sa demande et me retourne vers elle, elle pleurait. Je m'avance vers elle lui essuie ces larmes et la prend dans mes bras.
- J'allais te le dire me murmure t-elle.
- Nous réglerons ça dans la chambre. Je continue à faire des cercle sur son dos. Elle tremble. Je ne pzux pas savoir si ces de froid ou de peur alors j'opte pour la solution la plus simple qui est de rentrer à l'intérieur du château.
Arriver à l'intérieur de la chambre la première chose que fait Mary est de se tenir le visage.
- Désolé lache t'elle doucement.
- Pourquoi ne pas me l'avoir dit ?
- Nous étions fâché, je veux dire j'était facher contre toi, après tout ta couché avec ma meilleure amie et je l'ai appris officiellement que apres notre dispute et j'ai essayer de te le dire le soir du bal d'hiver mais Greer nous a interrompt parce que Condé a essayer de violer Lola et après c'était moi qu'il a essayé de violer et-
- C'est bon Mary calme toi ce n'est pas bon pour le bébé dis-je en l'arrêtant. Elle me sourie sans répondre.
- C'est rien je comprends Mary, tu ne peux pas toujours tout gérer dis-je. Un silence se plaça avant qu'elle ne parle.
- Je taime.
- Je taime aussi.
Je pose mes lèvres sur les sienne. C'est tellement bon, sentir ces lèvres chaude sur les mienne. Je ne réalisa mon erreur que quelques seconde plus tard.
- Je ne voulais pas, ce n'ai pas bien de ma part d'utiliser ce moment de faiblesse.
- J'ai adorer, ça fesait beaucoup trop longtemps que je ne t'ai pas embrasser dit-elle en prenant mes main. Je sourie à sa réponse et sans plus attendre je recolle nos lèvre emsemble. Après quelques minutes nous nous séparons à bout de souffle.
- Tu ma manquer lui dis-je.
- Moi aussi me répond t'elle. Je la porte et l'emmène jusqu'au lit, la déposant doucement. Je commence à l'embrasser jusqu'à qu'une pensée m'arrête encore une fois.
- De combien de mois est tu enceinte ?
- Trois.
- Ce qui veut dire que dans six mois nous serons parents.
- Oui, c'est bien tu sais calculer dit-elle en rigolant.
Je lui sourie et reprend où j'en était. Je l'embrasse sur le visage, la bouche et descend à son cou où je m'éternise, je veux laisser les traces de gens venue, marquer mon territoire.
- Francois, dit-elle en gémissant. Je sourie et revien à sa bouche.
- Pas ce soir lui demande-je. Elle hoche de la tête. Je l'embrasse sur le front, la prend dans mes bras alors que nous partagions des mots doux.
