Pris au Piège.

Chapitre 1

21 Aout 1455

C'était le jour de mes 16 ans, ma gouvernante et moi regardions les domestiques préparer la salle du château qui accueillerai ce jour-là, des centaines d'invité, venant de toute la France ! Oui, c'était beaucoup de personnes mais il y avait bien une raison à ça : pour mes 16 ans mes parents avait décidé qu'il me fallait trouver un bon partit pour me marier. A cette époque-là, je ne m'intéressais pas trop à l'amour, pour moi être heureuse c'était courir dans les champs, observer la nature, respirer l'air frais, faire de la couture,... Mais malheureusement mes parents en avait décidé autrement, d'ailleurs il n'était pas au courant de toutes mes sorties dans la nature.

Il était environ 16h quand tout fut finis, j'alla m'apprêter, enfin c'était plutôt ma gouvernante qui m'apprêtait. Il fallait ce soir-là que je sois la plus belle des invitées pour attirer l'attention des gentils hommes. Moi je n'en avait que faire d'eux, je voulais juste porter la magnifique robe que père et mère m'avait offert pour l'occasion ; une magnifique robe blanche ou perlait de magnifiques diamants.

A 18h, les invités commencèrent à arriver, on me baisa la main des centaines de fois, je m'ennuyais car il fallait que je reste assise sur une maudites chaise jusqu'à ce que tous les invités arrivent.

19h30, tout le monde était là, le bal pouvait enfin commencer !

Plusieurs hommes demandèrent pour danser avec moi j'acceptais à chaque demande mais malheureusement aucune de ses personnes ne m'intéressait, il était soit trop ennuyeux, soit n'avait pas un physique facile. J'alla m'asseoir sur la maudites chaise qui m'avait retenue pendant 1h30. Voyant mon ennui, ma mère pris les chose en main et déclara que le buffet était ouvert. J'allai me lever et me précipiter dessus, lorsque un magnifique jeune homme arriva et me demanda :

- Voulez-vous m'accordez cette danse ?

Je ne lui répondis pas mais lui tandis ma main avec le plus beau des sourires.

Notre valse fut merveilleuse, nous ne nous parlâmes pas mais je savais que lui aussi l'avait apprécié. A la fin, il se dirigea vers le buffet, allant rejoindre les autres, me laissant pleine d'espoir et d'attirance.