Ma décision. 

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PDV Sanji :

J'ai le gueule de bois putain qu'est-ce que j'ai foutu...

À mon réveille, je me suis aperçu que je n'étais pas à mon dortoir, mais bien dans un hôtel. Je ne sais pas quel heure il est, tout ce que je sais, c'est que je me souviens pratiquement plus de cette soirée. J'étais avec Franky, j'ai énormément bu et puis paf plus rien.

Il fait encore noir dans la chambre, je ne distingue rien. En bougeant vers la gauche, je ressens étrangement quelques choses de chaud. Je place ma main vers cette endroit, visant un visage, je sursaute en arrière, tombant comme une grosse merde.

- Q-Q-Qui est là ! Je cri.

Lentement, cette personne bouge en marmonnant quelques mots incompréhensibles. Vu que personne ne répond, je cours vers la fenêtre pour l'ouvrir rapidement.

- Sanji... ? Cette voix. C'est pas possible ! Je me tourne, découvrant que c'est bien Zoro, allongé dans-dans le même lit que moi !

- Zoro !?

On est tout les deux surpris du moins, moi plus que lui. Ne me dites pas que j'ai fais ce que je ne devrais pas faire, pitié. Pourquoi nous sommes en caleçons et... et mon postérieur ?!

- M-Mais qu'est-ce que tu fiches dans le lit avec moi ?! Je le pointe du doigt, affolé.

- Je... Je ne sais pas, je me rappelle de rien. Bordel de merde. Aucun de nous deux a le moindre souvenir de cette soirée.

Comment malgré moi j'ai pu dormir aussi bien en sa compagnie ?!

- Bon ce n'est pas grave... grattant nerveusement mon crâne. je vais aller me doucher en premier. Prenant mes affaires.

Dès que je referme la porte de la salle de bain. Je m'effondre contre celle-ci, mes mains sur mon visage, rouge pivoine. Il doit sûrement avoir une explication à tous ça. Mes vêtements et ceux de Zoro balancés sur le sol, mes douleurs à mon bassin, nous deux en caleçons, dans le même lit... je dois encore rêvé.

Et puis c'est pas son genre de couché avec n'importe qui. D'ailleurs je n'avais aucune idée qu'il aimait les hommes. Je ne dois pas me faire des préjugés.

*

Après cette douche qui m'a rafraîchi, je me rhabille en me brossant les dents. Oui, j'étais moi-même surpris qu'il en offre dans les hôtels, même si c'est pas la meilleure.

Dès que j'ouvre la porte. Je ne le vis plus. Où est-ce qu'il est encore passé ? Et ses vêtements ? Ne me dis pas qu'il m'a laissé en plan à c-

- Je suis de retour. Arrivant avec deux petites poches. Euh... se frottant la nuque, gêné. je me suis dis que tu voulais peut-être un déjeuner après la cuite d'y hier.

Il m'a certainement vu dans un sale état. J'ai honte...

- Je devais être pitoyable... ricanant faiblement. mais merci pour le petit dej'.

Je commence à boire mon café tranquillement, m'asseyant sur le lit l'air de rien. Peu importe à quel point je réfléchis, je n'arrive pas à me souvenir de ce qu'il s'est passé pour qu'on en arrive là.

- Pas plus que moi... j'étais complètement ivre. Dès l'instant où il dit ça, je recrache mon café latte, entrain de m'étouffer. T-Tu as dit quoi ?!

- Je sais que j'ai bu toute la bouteille que tu avais commandé. J'avais pas envie de te voir comme ça... c'est tous ce que je vois dans mes souvenirs.

Depuis le début... ( Partie 1 ) Terminée. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant