- 𝔫.𝔬.𝔰, Yova et Nabil
« 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐧𝐞, 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬𝐬𝐞. »
YOVA août 2020 / ÂMES TORDUES mars 2021.
cette histoire n'est pas une chronique.
[terminée]
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
☽ 𝐘𝐎𝐕𝐀 𝐒𝐎𝐁𝐑𝐈𝐍𝐇𝐎 𝐒𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞𝟐𝟎𝟏𝟖 - 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬
C'est aujourd'hui qu'avec Nabil nous allons annoncer à tous le monde pour nous deux. J'avoue que j'ai un peu peur de leur réaction, je sais qu'ils s'opposeront jamais à nous deux, ce n'est pas leurs genres mais quand même. Avec Nabil nous avons quand même une petite différence d'âge et je sais pas, j'ai peur de leur réaction, peut-être qu'ils seront pas d'accord. Je me fais un tas de film, je stresse comme jamais alors que Nabil lui, j'ai l'impression que rien ne va se passer pour lui aujourd'hui tellement qu'il est détendu. Je me tourne vers lui après avoir vérifié une dernière fois mes cheveux, il a le dos allongé contre mon matelas, ses bras derrière sa tête et sa tête légèrement relevée pour me regarder. Je m'approche de lui.
Yova - T'es pas stressé toi ?
Nabil - Pourquoi j'le serais ? Il se relève et attrape ma main, je viens m'asseoir sur ses genoux.
Yova - Bah je sais pas, c'est quand même quelque chose d'important que l'on va dire tous les deux aujourd'hui, à tout le monde. Je mets un bras autour de sa nuque, il dépose un petit bisou dans le creux de mon cou.
Nabil - J'crois qu'il s'en doute depuis un moment p'tit cœur. Je le regarde et je fais une petite moue.
Yova - Tu crois ?
Nabil - Bah oui, on s'est toujours comporter comme un p'tit couple devant eux ou même entre nous, tu viens souvent dormir à la maison, j'me suis déjà battu pour toi. Je frappe son torse et il ricane. J'te protège comme un ouf depuis que l'on est p'tit, encore plus aujourd'hui. Imagine, on rend jaloux les gens. Je sais qu'il fait référence à Manelle.
Yova - Oui peut-être... j'espère juste que Nayel va bien réagir. Je lui ai jamais présenté de copain moi et le premier, c'est toi.
Nabil - J'espère être le dernier wesh. Je souris et ses lèvres se perdent dans mon cou, je pousse un petit cri quand il nous bascule en arrière.
Yova - Arrête Nabou, on a pas de temps à perdre. Je ronchonne et il continue d'embraser mon cou. Mais tu arrêtes ! Il grogne contre la peau de mon cou et il se relève avec moi. T'es pire qu'un gosse.
Nabil - C'est pas vrai wesh. Tu vas où là ? Il retient ma main quand je me relève de ses jambes.
Yova - On doit partir. Il souffle. Allez Nabou. Je l'aide à se relever et il remets ses bras autour de mes hanches, il embrasse une première fois mes lèvres.
