Les imperceptibles

Chapitre 6

À l'aube de notre seconde journée nous étions tous sur le front, Lincoln et moi même habillés noir, afin de pourvoir nous camoufler dans l'atmosphère morbide qui régnait à la surface, étions prêts à faire irruption en ville. Quant aux autres, ils dormaient encore mais je leur faisait confiance. J'étais sûre que quand je reviendrai le tunnel aurait grandement avancer, mais pour l'instant il n'étais pas question d'imaginer ou de rêver mais bien d'agir.

Lincoln était devant, dès lors où il poussa la trappe qui menait vers la rue, les nuages noirs donnaient déjà le ton : sombre et sinistre. Mais ce n'était la simple météo qui allait nous décourager, alors on avançaient vers le premier lieu sur la liste qui en s'en doutait bien serait sûrement surveiller.

Notre première destination était notre appartement familial, par chance il n'était pas en centre ville. Après quelques minutes seulement de marche, on était devant chez moi. Lincoln et moi s'étions séparé la petite rue dans laquelle se trouvait l'appartement avait deux accès principaux, deux petites ruelles qui entouraient l'immeuble de mon enfance. Lui c'était cacher à dans la ruelle de droite et moi celle de gauche, afin s'observer si même à cette heure matinale un garde était poster devant l'immeuble. Et c'était bien le cas, un homme grand et musclé gardait l'entrée de l'immeuble, à ma droite, tout près de là où se trouvait Lincoln j'arrivai à distinguer une silhouette. Une jeune femme habillée de noire se cachait, de là où j'étais, j'arrivai à la distinguer mais pour Lincoln lui il était impossible qu'il puisse l'apercevoir. Je le savait le moindre faux pas lui coûterai cher, le moindre bruit pourrait lui coûter la vie, j'avais trop peur de prendre une décision, je m'apprêtais donc à partir quand soudain, un craquement. Les deux gardes courraient vers la ruelle de droite, j'étais tétaniser je n'arrivai plus à bouger. Je devais reprendre mes esprits, c'était sûrement la seule occasion que j'aurai de rentrer chez moi. J'y arrivai pas. Je restai là figer dans ma ruelle à penser à la mort douloureuse que réservai Tymar au traître qu'était Lincoln à ses yeux.

Je ne pourrai pas dire combien de temps je suis rester les pieds coller par terre, cet instant me paru une éternité mais une éternité n'est apparement pas suffisante pour m'arrêter. J'ai repris mes esprits, quelle amie indigne j'aurai été si je l'avais laisser donner sa vie pour rien. Je courrai vers mon appartement, jamais j'ai monter les marches qui y menait aussi rapidement. Enfin je poussai la porte d'un appartement qui avait déjà été retourner par les hommes du tyran.

Finalement ils m'avaient juste inconsciemment facilité la tâche. Pas besoin de retourner le salon ni la chambre. Non juste une latte à soulever et j'avais en main une partie des plans. Mes parents n'avaient pas mis tous les plans au même endroit évidement. Je pensai que le plus compliqué avait été fait... Jusqu'à ce que j'entende des bruits de pas dans les escaliers, d'un immeuble pourtant désert. J'avais aucune issue, j'étais obliger de me cacher, encore.

Derrière mon pauvre matelas j'arrivai à entendre des bribes de conversation. Une voix d'homme, sûrement le garde et une voix de femme sûrement la femme qui se cachais dans le coincé hurlai dessus dans l'appartement.
Garde : "COMMENT TU AS PU PERDRE SA TRACE?!"
Femme : "SI TU L'AVAIS PIÉGER AUSSI, SI TU L'AVAIS PRIS PAR L'AUTRE RUELLE AU LIEU D'OBSERVER"
Il était sain et sauf.

Animer par l'espoir de le retrouver, j'ai pris mon courage et j'ai sauter par la fenêtre du 3e étage. Le bruit sourd de ma chute les attira, quand j'ai ouvert les yeux, je les ai vu ils étaient là au bord de la fenêtre, ils n'ont même pas eu le courage de sauter. Le temps qu'ils se traînent dans les escaliers j'étais déjà partie.

J'avais rejoins Lincoln à notre prochain lieu, la taverne dans laquelle se réunissait souvent la résistance, à l'époque de mes parents. Après avoir trouver une seconde partie on est partit voir dans la cave d'un vielle ami de mes parents qui servait lui aussi de lieu de réunion.

Ainsi avec les trois parties nous avons pu reconstitué le plan. Cette journée nous avait épuisé,  nous mangions notre ration du soir et la journée deux se terminais. Demain nous étudieront tous ensemble les plans durant la mâtiné afin que tous puisse donner son avis et l'après midi nous creuserons tous ensemble.