La dame de cœur [Hisoka x OC (Lecteur)]

20-⭐️𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑟𝑚𝑖𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑚𝑒̀𝑟𝑒𝑠💧

Le lendemain c'est Hisoka qui me réveilla. Il se pencha au dessus de moi et me secoua.

Moi : Salut.
Hisoka : Bonjour.

Je me relevai, j'allai m'habiller, je sortis de la salle de bain, Hisoka me détaillait du regard. J'étais maquillée, coiffée et bien habillée.

Moi : Je suis comment ?
Hisoka : Impressionnante.

Je lui adressai un grand sourire. Nous quittâmes Yorkshin dans la matinée, nous prîmes plusieurs dirigeable pour arriver jusqu'au continent où se trouvait la ville de l'étoile filante. Pour atteindre l'étoile filante il nous fallait encore un peu de marche. Nous sentions déjà l'odeur de la décharge malgré la distance. Nous marchâmes de longues minutes, nous finîmes par atteindre le ville de l'étoile filante. Nous retrouvâmes la brigade fantôme au milieu d'une rue. Je courus me serrer dans les bras de Phinks.

Phinks : Salut Aku.
Moi : Vous m'avez manqués !
Feitan : Hisoka, tient donc.
Moi : Fais pas ton rabat-joie Fei ! Hisoka est avec moi.

Feitan me lança un regard assassin. Je lui répondis un grand sourire. La brigade n'était pas au complet, il n'y avait que Karuto, Phinks, Feitan, Sharnalk, Shizuku et Bonorenov.

Moi : Allez allons battre cette fausse reine.
Feitan : Non, tu ne viens pas avec nous.
Moi : T'es bien gentil Fei mais tu n'as pas à décider pour moi.
Feitan : Je suis le chef de la brigade en l'absence de Kuroro, alors tu dois m'obéir.
Moi : Justement, non. Tu sais que je n'ai jamais obéis à personne et même pas à mon frère.
Sharnalk : Elle a du caractère la petite Akuma !
Moi : Tu me connais Sharnalk !

Je passai ma main dans ses cheveux blonds, je les ébouriffai. Hisoka me regardait faire mon petit numéro d'attendrissement avec attention. Je me tournai vers lui.

Moi : On y va ?

Hisoka hocha la tête. Nous prîmes le chemin du palais de la reine. Nous entrâmes, le palais paraissait vide. Tout était recouvert de genres de toiles d'araignée.

Feitan : On se sépare, le premier qui trouve la reine gagne.
Moi : Je vais à gauche avec Hisoka.

Nous tournâmes à gauche, nous marchâmes dans les couloirs du palais, il n'y avait personne. Hisoka avait posé sa main dans le bas de mon dos. Nous marchions tranquillement en cherchant des fourmis-chimères. Nous tombâmes nez à nez avec une fourmi-chimère. Elle avait une allume étrange, elle avait les ailes d'un papillon et un corps de crabe. Je fis signe à Hisoka de me laisser y aller. Il retira sa main de mon dos et me laissa y aller. Alors que je m'avançais vers ce monstre une deuxième fourmi-chimère arriva dans notre dos, Hisoka se tourna face à elle. Nous avions maintenant tous les deux un adversaire. Je jetai mon sac à dos au sol. J'attachai mes cheveux, activai mon aura et fis apparaître mes lames de Nen. Malgré la douleur à mon épaule et mon corps courbaturé j'étais prête à me battre et à tuer cette fourmi-chimère qui visiblement n'était pas la reine. Je me jetai sur la fourmi chimère et en un coup de lame lui trancha une patte. La fourmi-chimère recula d'un bond. Je fis tournoyer les lames dans mes deux mains en m'approchant de mon adversaire. Je n'avais même pas le temps de voir ce que faisait Hisoka, j'étais trop concentrée sur mon propre combat. Mais j'entendais le bruit des coups qu'ils s'échangeaient.

Moi : A nous deux sale monstre.

Mon aura s'enflamma, je me jetai sur la fourmi-chimère, une de mes lames s'enfonça dans sa carapace. Grâce à ma parfaite maîtrise de la matérialisation mes lames de Nen étaient plus solides que de réelles lames en acier. Le crabe me donna un coup de pince, j'évitai le coup mais il me balaya avec un autre de ses pattes. Je retombai violemment au sol, Hisoka tourna la tête vers moi, inquiet. Je me relevai immédiatement, mon aura avait disparue, je la fis réapparaître. La chimère n'avait pas l'air d'être éveillée au Nen, elle ne pouvait donc voir ni mes lames de Nen ni mon aura enflammée, ce qui était à mon avantage. Je retournai au combat, la douleur à mon épaule ralentissait grandement mes mouvements. Je manquai de me faire couper en deux par un coup de pince, mais quelque chose m'attira violemment en arrière. C'était le Bungee-gum d'Hisoka.