Mes pupilles grandissent
Quand le ciel s'obscurcit,
La courbe céleste me tisse
Depuis toujours mes supplices.Et la lune ne coule plus
Mais je n'en ai plus besoin,
J'accueille une nuit absolue
Dans le creu de ma main.Rien de plus étrange
Que l'obscurité
Qui me mange.Un appétit - rien de burlesque
Car je ne ressens plus,
Ce que j'avais jadis retenu
Et qui me tenais en laisse.
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Une Lune Ingénue
PuisiRimes et vers parfois nonchalants Texte en prose quand l'envie me prend Je m'inspire de ma mélancolie Voici mes poèmes, soyez gentils 🙂