Les nœuds se tordent comme des trombones, l'air me brûle l'entièreté du corps, les épines blessent une âme encore, mes mots s'emmêlent comme des oxymores. Quand je regarde mes pensées, que le voile ne s'est pas baissé... la haine monte et me colle le corps, je ne peux que te dire : "désolé" encore. Mon amour invraisemblable je le tiraille moi seule, et quand le verre se brise je ne peux que m'en vouloir, ma haine ne peut se retrouver dans un linceul, que si j'avance sans te décevoir. Alors je baume les pensées dévoilées, et quand je me déteste je ne peux que te dire : "Désolé".
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Une Lune Ingénue
ŞiirRimes et vers parfois nonchalants Texte en prose quand l'envie me prend Je m'inspire de ma mélancolie Voici mes poèmes, soyez gentils 🙂