La Liseuse De Sorciers

•••CHAPITRE 12•••

Avant que le chapitre ne commence je voulais vous prévenir que les trois à venir seront plutôt particuliers car je compte enchaîner les sauts dans le temps. Je viens de terminer une lecture qui m'a inspirée pour cela et je trouve que c'est un bon moyen de maintenir le suspens. Puis je veux que la fin de cette partie soit digne de ce nom. C'est quand même la seule partie de l'histoire inventée de toute pièce et qui ne reprend que très peu de détails de l'histoire de J.K Rowling. Enfin bref je ne vous embête pas plus, bonne lecture !!!

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> MISSION SPÉCIALE <

|DANGER|10+|IMPORTANCE EXTRÊME|

| PARTICIPANTS |

|AURELIO FERROCE|JULIANO NOTTI|
|NICO DI FABELA|
|MINA LOZINO|ANTHELM COPRAH|
|LORENZO NOTTI|

>> INFILTRATION <<

[TROUVEZ ET TUEZ CE SORCIER]

||NESTOR SOULGREY|44 ANS|À LA TÊTE DE < SOMBREBRUME >| MALFAITEUR||

[INFILTREZ < SOMBREBRUME >]

||UNION DE SORCIERS > DÉTRUIRE LES MOLDUS||

|HEURE|08 : 01 : 48|
|DÉBUT|00 : 03 : 12|

> TEMPS DONNÉ <

|7 JOURS|
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Mission terminée, + 3 jours :

Je me réveillai en sursaut.
Sueurs froides.
Mon coeur battait à tout rompre. Dans mes tempes le sang résonnait tandis que la panique ne s'évanouissait. Je m'assis. Mon corps tremblait encore. Il faisait encore nuit. J'étais dehors, abritée devant une entrée d'un garage en plein Naples. Il pleuvait. Il faisait froid. Les lumières de la ville dansait dans mes yeux. Des lampadaires. Un feu rouge devenant vert et coupé par du orange. Le bruit des voitures, rares à cette heure. Les bus vides glissant sur l'asphalte. Je m'étais endormie contre le portail glacé sur un carton imbibé de l'eau de pluie. J'étais trempée sous mon sweat noir, épuisée par les évènements et impuissante. Je me recroquevillai en attrapant mes genoux. Fermai les yeux. Et me rendormis sous la pluie battante, une ombre parmis les lumières d'une ville fantôme.

Jour 4 :

- Anthelm éteint cette putain de lumière tu me la fous dans les yeux !

- Ta bouche Nico on va se faire repérer sinon

Je lui plaquai ma main sur sa bouche. Il me mordit.
Enfin essaya.
Nous venions d'atteindre une entrée plus ou moins secrète qui nous permettrait de nous infiltrer dans l'étrange hangar en ruine en plein centre de Naples. Un grand tunnel d'évacuation. Les pieds dans l'eau sale des égouts, on se déplaçait laborieusement. Être sept dans un endroit aussi étroit pour rester discret on pouvait faire mieux.

Anthelm ouvrait la marche avec sa lampe frontale (l'unique lampe que nous possédions) faisant clapoter l'eau sous ses pieds. Nico et Sander étaient à sa suite, puis venaient Lorenzo et moi et pour finir Aurelio et Juliano qui traînaient derrière. J'eus un frisson. Un pressentiment. Un mauvais pressentiment.