Marcher aux esclaves.

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Le capitaine Kutchuki était un homme rigide et sévère. Il inspirait le respect et la crainte.
Il était papa d'une petite fille de 10 ans , Aïko, née un peu avant le décès de sa femme. Il adorait sa fille.

Le capitaine s'était rendu au marcher aux esclaves afin de trouver une femme de ménage et de cuisine. Il était en manque de personnel.
À la base il ne voulait pas d'esclave mais son intendant aimait travailler avec eux.
De plus, beaucoup de quincy étaient esclaves et ils les détestaient. Ils étaient responsables du décès de nombreux amis. Alors pourquoi ne pas passer sa colère sur cet esclave.

Son attention fut attiré par des cris de femme. Ils provenaient de l'arrière de l'estrade où se déroulait la vente.
Son intendant qui l'accompagnait lui dit: une esclave qui a voulu fuir sans doute. Elle passe un sale quart d'heure.
Trois hommes étaient en train de la tabasser. Coups de pieds, gifles, insultes... en observant mieux la scène je vis du sang entre ses jambes, sa culotte était sur le sol. Elle venait d'être violé.
Mon intendant me confirma et me dit que la pauvre fille allait encore subir le même sort. Cinq autres hommes arrivaient en riant. L'un d'eux détachait déjà sa ceinture, un autre faisait des gestes obscènes.

En une seconde, je me décida. Je veux cette fille.
Mon intendant voulu me dissuader. Elle ne correspond pas à mes besoins...que des problèmes... bla bla bla

Il stoppa et sourit. A moins que vous la vouliez pour l'utiliser après son service.
J'étais assez proche de mon intendant et je lui fis remarquer que j'avais moi aussi des besoins.

Mon intendant négocia et on m'amena la fille.

Elle était dans un piteux état. Son visage avait des griffures. Ses cheveux longs étaient sales et en bataille, des larmes séchées maculaient son visage. , ils étaient sale . Mais néanmoins malgré son état, son regard était noir. Elle me toisa.
Je me senti amusé.
Mon intendant lui envoya un coup de pied. Baisse les yeux, hurla-t-il !
Que des problèmes monseigneur, par pitié ne la prenons pas.

Je pris alors mon épée et commença à lui entailler doucement le bras. Elle hurla de douleur et pleura.
Je plongea mon regard dans le sien .

«  elle va obéir n'est ce pas? »
Sans réponse de sa part,  je continuais à entailler sa cuisse. «  je continue lui dis je ? »

En larme elle s'inclina et me dit: «  oui maître  je vais obéir » . ( je me sentais pitoyable, je n'avais pas tenu plus de 3 minutes)🥺

L 'esclave des shinigamis ( fanfiction bleach) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant