On lache les fauves

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Je me réveille brusquement. Tirée par le cou.
Le capitaine Kutchuki me hurle dessus. Il me conduit rapidement en shumpo à la division 11 et me jette dans la chambre du capitaine. Zaraki.
Sa voix claque : amusez vous bien.

Je me retourne et vois le capitaine Zaraki. Il est énorme et effrayant.
Il me sourit de son sourire carnassier.
Capitaine Zaraki : « alors comme cela tu as besoin d'une fessée. ».
Il me saisit et me jette à plat ventre sur ses genoux. Il  soulève ma chemise de nuit et commence à m'administrer une fessée magistrale.

Je crie, mes fesse me brûle. Je ne vais pas pouvoir m,assoir pendant des jours.

Il me laisse enfin me dégager.
Dans ma frayeur, je rassemble le peu de force et de technique qu'il me reste et brandi un arc de lumière. ( je suis une quincy ne l'oublions pas).
Mais ma vaine tentative se solde par un échec.
Il m'envoie une boule d'énergie qui me sonne.

Ikkaku Madarame entre à son tour.

Capitaine Zaraki : « tiens cette petite pute ».

Ikkaku me plaque dos au sol. Le capitaine sort son épée ( je hurle, il va se venger et me découper en apericubes ). Il commence à découper ma chemise de nuit d'hôpital.
Ikkaku me retourne et me met à quatre pattes.

Le capitaine Zaraki me pénètre alors brutalement. Je hurle de douleur. Il me susurre à l'oreille, t'es bonne petite salope.
Il commence des vas et viens.

Ikkaku me saisit par les cheveux et me force à ouvrir la bouche. Son sexe tape au fond de ma gorge m'arrachant des hauts le cœur. Il finit par m'imposer le rythme.  Je suis comme une poupée de chiffon secouée rudement entre les coups de reins du capitaine Zaraki et les mouvements de hanche d'Ikkaku. Les deux hommes éjaculent au même moment.
Avale salope me dit Ikkaku.
Ma bouche est pleine de spermes, je finis par cracher et éclabousser l'uniforme d'Ikkaku.
Le capitaine Zaraki se fou alors de lui.
Ikkaku me regarde l'air meurtrier. Et m'administre deux grands coups de pieds dans le ventre. Je me tords de douleur.

A ce moment Renji Abarai entre à son tour. 
Alors je peux avoir le tour maintenant.
Il s'avance vers moi. Je recule.
Vous devez savoir que je connais Renji . Cela remonte à notre adolescence au Rukongai. Nous étions dans des clans ou bandes ennemies.
Néanmoins, je voulais penser que cette époque allait nous rapprocher. J'avais tort.

Renji, pitié dis je le regard implorant.
Il me retourna une gifle magistral.
Vice-capitaine Abarai petite garce.
Renji : « tu te prends pour qui? Toi et tes potes, vous nous avez pourrit la vie à l'époque. A moi et Rukia ».

Moi: pardon , pardon, on était parfois solidaire, parfois ( d'une voix implorante ).

Il me saisit par le cou et me plaqua ventre et face contre le mur.

Répète après moi: je suis une petite pute et j'aime me faire défoncé le cul .

Moi: nonnn non.

Il me frappe brutalement contre le mur.
La mort dans l'âme. Je répète .

Renji : bien, petite chienne.

Maintenant, demande moi de te baisser.

Il me serre le cou et se montre menaçant.

Moi: baise moi dis je dans un souffle . ( je pleure, je me sent si humilié).

Il me courbe légèrement et me cambre  avant de me sodomiser avec violence. 

Va y crie sale chienne. Vouloir balancer mon capitaine. Salope. Tu vas déguster. Toute la division 11 va te passer dessus.  Au dernier moment, il me retourne et m'oblige à accueillir sa semence dans ma bouche. J'avale pour ne pas décupler sa rage.

Je hurle me débat. Calmes toi. Chuuuut, doucement...
J'ouvre les yeux. Je suis dans mon lit d'hôpital.

Un songe !! le capitaine Unohana a voulu me dissuader et me monter le résultat si j'osais attaquer un des leurs.

Je pleure dans ses bras. J'ai compris. Je vais me soumettre et accepter ma condition.

L 'esclave des shinigamis ( fanfiction bleach) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant