La cuisine

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Un de mes taches est de nettoyer la cuisine mais aussi de faire le pain le matin pour toute la maison.
Je ne suis pas très douée et la gouvernante remarqua vite que mon aide ne sera pas très utile.
La gouvernante s'appelait Yoko. Elle avait été la nourrice de biyakuya kutchuki quand il était enfant . Elle s'occupait aujourd'hui de la cuisine car Aïko, la fille du capitaine était en pension. Elle ne rentrait que pour les vacances.

Yoko était une femme forte et autoritaire. Elle dégageait néanmoins beaucoup de douceur et bonté.

Mes premiers jours furent difficiles. Le cuisiner était méchant avec moi. Il me frappait à chaque erreur. Les carottes n'étaient pas assez bien coupées ( une gifle). La casserole trop petite ( un coup de cuillère en bois, le sol ne brillait pas assez ( j'étais privé de nourriture). Une fois, il m'avais même brûlé avec sa cigarette. Un enfer. A cela s'ajoutais mon viol journalier par le capitaine.
Ils étaient moins douloureux physiquement car je me soumettais à ses désirs. Mais psychologiquement, j'étais très affaiblie. Détruite.

Je savais que le cuisinier était intolérant aux lactose. Je pris un grand plaisir à inverser la crème de soja avec la crème de lait de vache. Il fut super malade 🤢. ( hihihi)
Il se douta que se subterfuge était de moi et redoubla de méchancetés. Néanmoins, 'j 'étais heureuse de ma victoire.
Je  dû m'expliquer auprès du capitaine. Il me condamna à être fouetté deux jours de suite par le cuisinier. Autant vous dire qu'il n'y alla pas de main morte. 😰

Il se prit aussi la liberté de me faire chanter. Quand nous étions seule dans la cuisine, il m'obligeait à lui faire des petites gateries. Si je ne me soumettais pas, il me menaçait d' inventer des bêtises et de les rapporter au maître.
Je me retrouvais donc régulièrement sous la table à le sucer pendant qu'il épluchait les légumes ou faisait la vaisselle. Il n'osait pas me violer par respect pour le capitaine mais utilisait volontiers ma bouche à pipe, ma bouche de suceuse de bite presque chaque jour. ( terme utilisé par Huru).

Yoko mît fin à cette ignominie et le menaça de le balancer. Huru qui était un lâche stoppa immédiatement.

Le capitaine se montra lui aussi particulièrement brutal lors de notre « rendez-vous nocturne ».

Au début du chapitre, je vous ai expliqué être en charge du pain. Il faut le pétrir  aux aurores et le cuire.
J'étais tellement épuisée par les derniers événements que je me suis rendormie. Le pain 🍞 dans le four. Catastrophe... je me suis réveillée quand Yoko la gouvernante est entrée en catastrophe alarmée par l'odeur de brûlé.
Yoko:
« petite idiote , tu ne peux pas faire attention. Le capitaine ne va pas apprécier petite ».
Ces simples mots évoquèrent immédiatement la menace pour moi. Des images mentales de gifles, de sodomies, viol ....il allait me défoncer....( dans tout les sens du terme).
Assez pour que je craque complètement et me jette  aux piedsYoko pour la supplier de ne rien dire.

Yoko me regarda et me dit :
« ok,  je vais trouver une solution. Tu as assez dérouillé depuis une semaine.
Je vais faire des oeufs, riz, miso ... petit dej traditionnel japonais. Pas de pain.  ( idée géniale).

Je lui dis 10000 fois mercis.

Mouches toi et reprends toi me dit elle.

Mais le capitaine était plus futé que cela. Il flaira le mensonge et débarqua dans la cuisine.

Capitaine Kutchuki :
« je n'aime pas  être pris pour un  imbécile  . Je veux la vérité »
Un silence lourd planait dans la cuisine. Tête baissée, j'osais à peine respirer.
Yoko, vola à mon secours.
« j'ai  brûlé le pain . J'ai demandé à Iori  de nettoyer les salles de bain à la place de la cuisons... »
Silence !!!
Tu oses me mentir Yoko..
Il regarda Haru le cuisinier.

Haru, ce salaud souriait. Il nous avait balancé.

Le capitaine m'attrapa par les cheveux pour m'emmener dans une pièce sombre.
Il m'enferma. J'attendis seule, apeurée, longtemps, une éternité.
La porte se déverrouilla.  Il entra une espèce de cravache à la main. Je reconnu aussitôt cet objet.  Un itami( signifie douleur en japonais). ( objet qui permet de concentrer le reitsu et de torturer une personne avec, une personne ayant moins de reitsu. ) . La douleur qu'il provoque est horrible, atroce).

A sa vue, je ne pu que gémir.

Le capitaine : « tu as essayé d'empoisonner Haru, tu encourage Yoko à me mentir. Tu n'es qu'une fouteuse  de merde. Mais quand j'en aurais fini avec toi , tu me mangera dans la main ».

Je restais paralysé, ne pouvant que fixer l'itami.
( j'avais déjà subi ce supplice, mais il m'avait été administré par un shinigami beaucoup plus faible . Vu que la douleur était proportionnelle à la puissance de celui qui l'administre. ).
J'étais super mal 😰😨😱.

Le premier coup me coupa littéralement le souffle.
J'hurlais sans arrêt, je ne pouvais que hurler. La douleur était atroce. J'allais mourir . J'aurais presque voulu mourir rien que pour  que la douleur s'arrête.
Quand il eu fini, je gisait sur le sol, inconsciente.

Le lendemain, la gouvernante Yoko me trouva brûlante de fièvre. Ma. respiration était très faible.

Elle courut prévenir la division 4. Je me retrouvais hospitalisée pour quelques jours.

L 'esclave des shinigamis ( fanfiction bleach) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant