L 'esclave des shinigamis ( fanfiction bleach)

Et aprés

Je ne vois presque plus Aïko. Quand je la croise, elle est toujours accompagnée d'un chaperon. Elle me fait néanmoins parvenir une lettre.

La lettre:

Iori, mon amie. Je suis tellement désolé pour toi, pour nous. J'ai agis égoïstement car je savais les risques que tu prenais. Mais ta compagnie est tellement douce.
Même si je suis jeune, je sais. Je sais ce que mon père te fait subir. Les servantes parlent. Je suis tellement désolé, je le hais. Si seulement il était mort à la place de maman.
Je ne veux pas te mettre en danger mais un jour quand je serais forte je te libérerai.
Je t'aime.
Aïko.

Je pleure en lisant la lettre.

Cinq ans plus tard :

Aïko, ma douce Aïko a bien changé. Elle est aujourd'hui une adolescente rebelle. Son père a eu beau lui payer des écoles, des percepteurs ... elle se rebelle, elle est en colère. ( look gothique, fume de herbe et peut-être plus ... traîne avec des mauvais garçons).

Moi j'essaye d'arranger les choses.
Ma situation a un peu changé. Je suis la favorite. Je travaille encore mais le capitaine me veut auprès de lui. Nous avons presque une vie de couple. ( un peu particulière je vous l'accorde. Mais je ne suis plus battue depuis longtemps).
J'essaye de jouer les médiateurs. Il me dit souvent sévèrement que cela n'est pas mon rôle.

Un jour  pourtant, je vais beaucoup trop loin. Je le sais, je le sent directement.
Il se lève, le regard fermé. Il revient avec un itani.
Je panique, je me jette à ses pieds. Pardon pardon.

Capitaine Kutchuki : « j'ai été trop clément et laxiste avec toi. Je dois te rappeler quel est ton rang ».
Je pleure. Pardon. J'aime votre fille, je veux que tt ...pardonnez mon erreur. Je le regarde implorant.

Cela fait au moins 3 ans qu'il ne m'a plus battue.

Je me lève et l'embrasse. Mon but est clairement de l'amadouer.
Il me plaque violemment sur le lit. Il commence à me pénétrer violemment. Je pleure. Il se retire pour me sodomiser à sec.  Ahhhh J'ai mal.
Il m'ordonne de rester sur le ventre. Nonnn, ne me battez pas avec votre itani. Pitié pitié, pas ça, maître pitié.
Tais-toi et écoute. ( il s'approche de mon oreille, sa voix est grave et menaçante).
Tu as de la chance, j'ai bcp d'affection pour toi. Mais tu mérites une correction.
Il saisit une lanière de cuir et m'en assène dix coups.

Il me retourne et plonge son regard dans le mien.
( son regard est froid . Il ne m'avait plus regardé comme cela depuis si longtemps. Ce regard me rappelle tant de choses douloureuses. Quand j'étais battue presque chaque jour).
J'ai peur.
Capitaine Kutchuki : « ne me manque plus jamais de respect. Tu es ma favorite, mais sache que tu pourrais perdre très vite tes privilèges ».

Je hoche la tête et demande une dernière fois pardon.