Ça fait un mois que Kurapika est parti...Et ça fais un mois que je ne suis pas sortie. Je suis restée à la maison, sous ma couhette, avec des friandises. Depuis que Kurapika est partis, je n'ai parler à personne, je ne suis sortis de la maison, et j'ai arrêté de manger sainement.
En gros, je déprime.
Je ressois un message mais je l'ignora, plusieurs sonneries de notification le suivèrent. Vue que ça ma fais chier, j'ai pris mon téléphone pour savoir qui m'envoie tout ça.
C'était Hisoka
"Amai ? Ça fais un moment que je t'es pas vue, tes volets sont fermés je ne peux pas rentrer par la fenêtre"Je lui envoie un message lui disant d'attendre devant la porte.
Alors je me dirige doucement vers la porte et l'ouvre sans aucune énergie.
Quand Hisoka me vois il se vige.
En même temps je ressemble à rien, j'ai les cheveux en bataille, je ne me suis pas douchée, les cernes énormes sous mes yeux, ma grimace assez déprimante, le tout suivie de la couhette que j'ai traîner avec moi.Hisoka : wow....t'es en sale état. Tu veux en parler ?
Amai : peut-être...
Hisoka : très bien, allons nous asseoir alors.
Je lui raconta tout ce qu'il s'est passé, il a alors tenté de me rassurer et de me dire des mots doux qui me soulagent de plus en plus.
Hisoka : aller pars prendre une douche et moi je te prépare un petit truc à manger.
Amai : d'accords...
Je pars vers la salle de bain, mais avant de me déshabiller, je check mon téléphone, et je trouve une montagne de messages reçue de Kuroro, je souris en voyant ça puis je lis ses messages.
"Amai ?!"
"Ça va ?!"
" Hiro ma dit ce qu'il a fait"
"Tu veux que je t'aide ?"
"Ça fais un mois que je t'es pas vue"
"Réponds à mes appels je m'inquiète là"Et encore plusieurs messages comme ça. Je décide de ne pas lui répondre pour le moment et de me plonger dans mon bain chaud.
1h plutard
Je sors de la douche puis je m'habille d'un pijama, et me sèche les cheveux pour les brosser juste après.
Puis j'entends la voix d'Hisoka derrière la porte de la salle de bain.Hisoka : le repas est prêt, ta finie ?
Amai : oui c'est bon j'arrive.
J'ouvre la porte et me dirige vers le salon où je trouve Hisoka avec un tablier rose, et la meilleure c'est que y'a écrit "Cuisinière forever" sur le tablier.
Amai : le tablier te vas à merveille....
Hisoka : booon bah écoute, j'ai pas trouver un autre tablier chez toi ok ?!
Il enlève ce tablier et le remet à sa place, puis je me dirige pour prendre place devant la table où il y a posé plusieurs types de nourritures. Il y a d'abord une salade, puis un steak avec une sauce blanche et des frites, et pour finir un petit gâteau fait par le grand chef Hisoka !
Amai : ça a l'air bon tout ça !
Hisoka : bien sûr puisque c'est moi qui l'a cuisiné ! Alors vas y sert toi !
Amai : je vais pas manger tout ça seule ? prends une bouchée aussi !
On mangea en discutant et en rigolant. C'est vrai qu'il a vite réussit à me remonter le moral.
Amai : dis, tu sais où peut se trouver Kurapika ?
Hisoka : désolé, mais j'en ai aucune idée...
Amai : très bien...
Je repense à ce que j'ai fais, et me rend compte que si Kurapika acceptait de me pardonner...je ne pourrais plus parler à Hisoka...pourtant je ne peux pas choisir entre eux...
Amai : Hisoka ?
Hisoka : ouais ma belle ?
Amai : tu ferais quoi si je te trahissais ?
Hisoka : ça dépend...si tu l'as fais d'une manière grave je serais obligé de te tuer. Et si c'était un truc banal je vais sûrement plus jamais te reparler.
Amai : d'accord...
Hisoka : tu compte pas le faire j'espère ?
Amai : non ! Bien sûr que non !
Je me retrouve alors perdue....déjà que je devrais essayer de me faire pardonner. Mais je dois aussi règler un compte avec Hiro, et essayer de convaincre Kurapika de me laisser parler avec Hisoka...ça va être dûr...
Hisoka fini par sortir à cause de son travail, alors que moi je pars me balader dehors prendre l'air en pensant à ce que je vais faire...jusqu'à ce que je bouscule quelqu'un, puis je tombe.
Je leva alors les yeux pour voir la personne que j'avais bousculé, et c'était belle et bien Kuroro.Kuroro : Amai ?! C'est toi ?! Non mais je t'envoie des messages depuis 1 mois et toi tu me laisse des vues ?
Amai : au lieu de gueuler aide moi à me relever et on en parlera.
Il me tendit la main pour m'aider à me relever, mais quand je la saisie je sens la chaleur de son corps traverser le miens tellement sa main est douce...
Kuroro : alors, tu me racontes ce qui t'arrive ?
Je lui décris alors la réaction de kurapika.
Kuroro : tu tiens vraiment à lui ?
Amai : bah oui...on se connais depuis l'enfance et on a traverser des tas de choses toujours en unissant nos forces...c'est comme un frère pour moi...
Kuroro : je comprends...
Soudain, il me prit le menton par le bout de ses doigts et fais tourner la tête pour que je puisse le regarder en face.
Kuroro : tu devras faire un choix, c'est comme ça que la vie marche.
Amai : je préfère encore crever que de choisir entre deux êtres proches.
Kuroro : alors tu devras vivre un enfer, crois moi ça ne va pas être facile...
Amai : merci Kuroro je ne suis pas conne...
Kuroro : je suis sérieux Amai, si tu veux faire comme tu le veux, tu devras d'abord souffrir...
Amai : tout effort a une récompense !
Kuroro : pas toujours...
Je tourna ma tête frustrée, sachant que je ne vivrai pas des événements faciles ces jours là....
Kuroro : fais pas cette tête, si tu t'y accroche tu pourras peut-être y arriver !
Mon regard vide se transforma en regard lumineux et plein de vie.
Kuroro : tu change vite d'humeur....
Amai : on me le dit souvent....mais bon tu vas m'aider n'est ce pas ?
Kuroro : .....
Amai : N'EST CE PAS ?!
Soudain il s'approche rapidement et dangereusement de mon visage, puis posa vite ses lèvres sur les miennes alors que j'ai les yeux écarquillés par son geste.
Mais quand ses lèvres se décolèrent, il disparut en un clin d'oeuil......il s'est passé quoi là ?
À suivre
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kuroro x OC {why him}
Fanfictiontu es une fille de 20 ans appelée Amai Kagarri, ton meilleur ami est Kurapika, tu le connais depuis qu'il était petit, alors vous êtes très proche, tu es au courante de ce qu'est devenue sa famille y'a 4 ans. La brigade fantôme, une des brigades les...