kuroro x OC {why him}

chapitre 8

Alors que je rentrais à la maison, je ne pus faire comme si de rien ne s'était passé....j'ai quand même embrassé un criminel...enfin c'est lui qui m'a embrassé...

J'ouvris alors la porte de l'appartement pour y entrer, mais c'est là que la catastrophe a eu lieu....

Amai : Hiro ?! Tu fais quoi ici ?! Sort tout de suite de chez moi !

Hiro : c'est chez toi ici ? Je crois que tu devrais dire "chez kurapika"

Je m'énerva de plus en plus...plus il parlait...plus je m'énervait. Je courue alors vers lui et lui attrapa les bras pour faire en sorte de le bloquer. Puis je lui donne un coup dans son ventre avec ma jambe. Ce qui lui fit vomir du sang.

Hiro : vas y...tue moi...met toi dans un problème comme ça il n'y aura que toi qui es fautive.

Je m'énerva encore plus, alors j'activa mon Nen et lui explose la face ce qui le rend plus faible.
Je commença à l'attaquer beaucoup plus fort jusqu'à ce que je sens plus de chaleur sur son corps.
Je l'ai tué ? Tant mieux....

ATTENDS....JE L'AI TUÉ ?! MAIS QUAND ? COMMENT ? OÙ ?
Qu'est ce que je vais faire du corps maintenant....l'enterrer ? Ou le brûler....

Je decide de le brûler ce que je fis aussi rapidement pour en finir. Puis je rentre dans ma chambre pour me détendre un peu.
Je m'allongea sur mon lit fatiguée de tout. Puis j'aperçois Hisoka devant la fenêtre.
Il est toujours là au moment où je vais pas bien...

Hisoka : alors ? Tu te sens mieux après avoir tuer ce mec ?

Amai : comment tu le sais-

Hisoka : je sais tout ma chérie~

Amai : j'aurai dû m'en douter...

Hisoka : sinon tu veux que je te prépare quelque chose à manger ?

Amai : non ça ira.

Hisoka : bon bah, je crois que je peux t'aider à trouver Kurapika...

Amai : COMMENT ?!

Hisoka : je l'ai trouver près d'une rue ce matin.

Amai : quelle rue ?

Hisoka : j'ai oublier comment elle s'appelle, par contre je peux t'y emmener !

Amai : OUI ! TOUT DE SUITE !

On descend de mon appartement et je monte dans sa voiture.
Après des minutes de routes, je vois Kurapika trainer dans une ruelle, alors je sors de la voiture et me précipite pour aller lui parler.

Amai : Kurapika !

Kurapika : Amai ? Que fais-tu ici ?

Amai : écoute je suis désolée, je vais tout t'expliquer et on redeviendra amis !

Kurapika : tu ne peux pas me laisser tranquille désormais ?

Amai : bien sûr que non ! T'es comme un frère pour moi...

Un silence s'installa où on se regardais sans lâcher l'affaire.

Kurapika : *soupir* très bien, explique...

Amai : faut que tu comprennes, que c'est pas parce que je parle avec eux ou parce que je les fréquente que je vais leur ressembler ou les aider. Loin de là, je serais toujours de ton côté quoi qu'il arrive !

Kurapika : qui sait peut-être que tu monte un plan avec eux contre moi.

Amai : tu penses vraiment que je suis capable de faire ça ? On se connais depuis tout petit et tu ne me fais pas assez confiance ?

Kurapika : si...mais je te connais, tu t'attache vite, finalement tu vas pas me laisser tuer l'araignée et accomplir ma mission.

Amai : Kurapika...

Je commença à verser quelques larmes et je commençais à perdre espoir, quand Kurapika me prit dans ses bras, alors je le serra fort contre moi.

Il me caressa la tête et me sourit tendrement.

Kurapika : rentrons....

On rentra alors chez nous et on regarde un film ensemble pour se changer les idées.

Le lendemain

Je me réveilla de bonne heure. Un peu près à 6h du matin, pour sortir dehors et voir le levé du soleil en respirant l'air frais pour me calmer.

Quand un Kuroro sauvage se join à moi

Kuroro : ah bah encore toi ? Le destin fait bien son taffe...

Amai : ouais...

Il s'assoit à côté de moi et on contemple le dégradé dans le ciel ensemble.

Kuroro : c'est magnifique n'est ce pas ?

Amai : c'est vrai...mais bon, je dois y aller...

Kuroro : ne fait pas comme si de rien n'était.

Amai : de quoi tu parles ?

Kuroro : je parle de ce qui s'est passé la dernière fois qu'on s'est vus.

Un long blanc s'installa entre nous, et je rougis et baissa la tête ne sachant pas quoi dire.

Kuroro : tu t'était laissée faire ?

Amai : non, je ne savais pas quoi faire.

Kuroro : t'en ai sûr ?

Amai : ouais, bien sûr...

Je rentra chez moi en vitesse en m'éloignant de lui, et je ferma la porte derrière moi pour pouvoir me recoucher, mais quelque chose m'en empêche, c'est comme si j'avais des papillons dans le ventre, c'est agréable mais aussi malaisant.
C'est quoi ce sentiment ? Je sens du plaisir dans tout mon corps, et je ne sais pas pourquoi mais je me sens contente...je n'ai jamais ressenti ça avant

À suivre