Chapitre 4

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j'entends la porte s'ouvrir....

- tu as besoin d'aide? 

je me retourne et voit que c'est Antoine. Je n'avais même pas entendu toquer

- tu peux me passer les compresses s'il te plait 

-oui tien  il me passe le tas de compresses 

- merci  et tu peux faire le pansement dans le cou car je n'ai pas de miroir s'il te plait 

- oui ne bouge pas , je vais te le faire

La balle dans le cou m'avait juste frôler, j'avait eu de chance mais je devais quand même désinfecter pour ne pas que cela s'infecte. Celle de la jambe avait transpercer mon mollet en n'endommageant rien et à l'estomac pareil elle n'avait rien toucher de vital. Le médecin m'avait dit que c'était un miracle que j'ai eu si peu de dommages avec trois balles alors que l'on se fessait bombarder par des balles. J'avait sauver Simon et protéger mon équipe c'est tout ce qui m'intéresser et le prix en valait le coup. En vrais, j'avait été blesser il y a une semaine au combat et je devait retire les points de sutures dans 2 semaines. Je n'avait pas prévenu mon père avant car il se serai trop inquiète et sera venu me chercher, vérifier que je vais bien, alors que maintenant je tien debout en boitant un peu mais tranquille. Antoine avait fini de désinfecter et met le pansement. Il s'assoit en face de moi

- tu sait ton père s'inquiète juste pour toi, c'est tout 

-je sais mais je ne suis pas en sucre. Mon  métier est dangereux mais je suis préparée à ça. Et quand on est en mission, on ressent de l'adrénaline et on est fière de défendre son pays. Un peu comme vous avec le foot. 

- oui on est pareil quand on est sur terrain à défendre les couleurs de notre drapeau, on ne veut pas décevoir les Français  mais comprend le il a juste peur pour toi. Toi il y a plus de danger que nous. Tu te bats avec des armes dans des pays étranger, en zones des guerres et nous on joue au ballons dans des stades sécurisés.

- oui c'est vrais mais je suis entrainée à ça. J'ai apprit à me défendre et tirer avec les armes. Lorsque j'arrive sur le terrain, je ne doit pas pensée qu'a moi mais aussi à mon équipe et à leur familles qui les attends à la maison. Leurs vies sont entre mes mains, si je fait un faux pas cela peut être fatal.  On compte sur moi et je ne peux pas faire de faux pas.

- Je comprends mais fais attention à toi. Tu sais ton père nous a déjà parler de toi avec tellement fierté. Il est fier de toi et pense qu'a ta sécurité et que tu rentres à la maison en un seul morceau. C'est le rôle de parents de s'inquiéter pour leurs enfants.

-je sais mais c'est le risque du métier. Et je suis fière de lui aussi. 

- sinon tu veut venir jouer avec nous a Fifa, on n'a pas entrainement cette après midi?

- C'est gentil mais je vais aller dormir un peu je suis fatiguée avec le voyage et tout. 

- okay bonne sieste 

- merci 

Il sorti et ferma la porte. Je me couche dans le lit habillée juste d'un débardeur et d'un short pour être confortable. C'est partie pour une sieste bien mériter.

Après la sieste 

Je me réveille en sursaut  à cause d'un  cauchemar enfin plutôt de souvenir douloureux. Je regarde mon téléphone, il est 16H20, j'ai dormie presque 3h. Cela fessait longtemps que je n'avait pas aussi bien dormie. Je décide de descendre sans me changer. Je n'ai pas beaucoup de vêtements mais bon j'ai l'essentielle, la moitié avec des motif militaire que je kiff. Je m'assoit sur le canapé et regarde la télé mais il n'y a rien d'intéressent . Mon père vient me rejoindre et s'assoit à côté de moi 

Le soldat et le footballeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant