Chapitre 11

1.5K 34 1
                                    

PDV de Lyse

Mon avion d'atterrie en Russie il y a moins d'une heure et je prends directement un taxi en direction du stade rejoindre l'équipe en espérant de ne pas être en retard. 

Je vous explique vite fais ce qui s'est passé pendant ces dernières semaines. Il y a eu un bombardement sur le village ou je fessait un tour de garde. Je n'aurai pas dû me retrouver là mais je m'était porter volontaire ce soir-là, je devais reparti le lendemain midi. avec mon équipe pour rentre au pays.  Pendant le bombardement je fus m'éjecter contre le mur. La seule chose que je me souviens c'est un groupe de cinq hommes est venu me prendre et m'enferma dans le coffre d'une voiture. Lorsque je me réveiller quelque heure plus tard, j'étais dans une cave et torturer pour des informations pendant plus de deux semaines. La torture était autant physique que psychologue, je sais que je vais en faire des cauchemars encore longtemps. 

Après un séance de torture, deux des hommes parlant entre eux mais ils ne savaient pas que je comprenais car j'ai appris leur langue ( l'arabe) . J'ai appris que je me trouver dans la base secrète du groupe terroriste que nous combattons depuis plus de deux ans. C'est l'un des bases principales. Je me suis dit que c'était une bonne occasion de les faire exploser de l'intérieur. Ils m'ont kidnapper car ils m'ont remarquer lorsque j'ai sauvé Simon et veulent obtenir des informations. Ils penser avoir plus résultats avec moi que avec les garçons car je suis plus gradé. 

J'ai décidé d'agir la nuit car c'est là que j'étais le moins surveiller, après avoir réussi à défaire mes liens, j'ai mis mon plan an action. J'ai placer des charges explosifs contre les murs du salon , la pièce principale, ils sont cons de les avoirs laisser aussi facilement d'accès. Ne jamais me sous-estimer. J'ai attendus que le plus de monde soit présente dans la pièce et fit exploser les charges. Je fis projeter au sol malgré que je mettais mise loin des charges, j'ai atterrie plus loin avec les débris de la maison. Un groupe de soldat me retrouva dans les débris, heureusement que j'avais mes plaque pour m'identifier. Ils avaient entendus l'exposition alors qu'ils patrouiller dans la zone alors ils étaient venu inspecter les débris pour faire un rapport. Je n'ai pas eu de blessures majeurs juste de entailles dû à la torture, une entorse au poignet droit et une grosse entaille un niveau de la gorge mais qui n'avait rien perforer avec chance. On m'ordonna 24h de repos avant de bouger, malgré ça je n'ai pas réussi à fermer l'œil, impossible pour moi.

Le colonel me remercia du risque que j'avais pris pour l'explosion mais qu'il était fière de moi aussi. Dans l'explosion j'ai réussi à éliminer les principales chefs du groupes mais dommage pour nous il n'avait pas le chef principale mais son second.  Ils sont tous décès dans l'explosions mais il manquer un homme pourtant j'étais sure qu'il était dans la maison avec nous. 

J'avais eu l'autorisation de rentrer deux jours après , je voulais faire une surprise à l'équipe des bleues et à mon père. Une fois mes blessures soigner, j'appeler Simon pour le prévenir que je suis en vie. Il fu tellement contente que je l'entendis pleurer au téléphone, il m'as dit qu'il viendra me chercher à mon retour.

Donc me voilà au bord devant le stade avec mon uniforme car je n'ai pas eu le temp de me changer. Simon a pu me récupérer un badge pour rentrer avec lui, on monte dans la loge des familles. Dès que je rentre les femmes de joueurs me sautent dessus en pleurent. J'avoue que je me suis beaucoup attachée à elles. Je leur dit que les garçons ne sont pas encore au courant, je vais leur faire la surprise après le match

Mon uniforme cache mon bandage au cou ducoup on ne le voit ^pas trop ni mon attèle au poignet. Les joueurs sont à la mi-temps en train de boire et te parler avec mon père. Je regarde le match recommencer , Antoine est très concentré tous comme les autres.

La fin du match vient d'être siffler, ils ont gagné, 4-2 contre la Croatie . Tellement d'action et d'émotions pendant le match. Ils pleurent de joie comme tout le monde au stade, je prends les filles dans mes bras. ça va être le moment de la surprise. Je descends me mettre au bord du terrain alors que les joueurs sont entrain de soulever la coupe tous réunies au centre du terrain. La musique se coupe et une voix parle, c'est Simon. Le calme a du mal arriver dans le stade mais après quelques minutes c'est bon on va dire

Le soldat et le footballeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant