Chapitre 11

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Sam semble apprécier ce que je lui fais si j'en crois ses gémissements. A chaque fois que ma langue s'approche de son anus, elle frémit et tente de m'en faciliter encore l'accès en se penchant un peu plus vers l'avant, écrasant l'une de ses joues contre l'oreiller, serrant le drap-housse de ses deux poings solidement serrés. Elle se cambre de toutes ses forces et écarte ses jambes afin d'être bien ouverte. Mes mains s'occupent de ses seins et, comme elle aime que je le fasse, l'un est effleuré et caressé avec douceur, l'autre est pincé parfois un peu plus fort que ce que l'on penserait supportable. Je me dis qu'une troisième main ne serait pas de trop pour s'occuper de son clito aussi. Et encore une autre pour me caresser par la même occasion tant la situation m'excite.

– Vas-y Alex.... Oh putain c'est bon...

Je lui réponds en lui faisant un petit bisou sur l'anus et en introduisant ensuite ma langue sur le bord de sa rondelle. Elle lâche un petit cri de satisfaction et ajoute :

– Viens, on bouge, je veux qu'on se voie tous les deux dans le miroir.

Au bout de mon lit, un grand miroir horizontal barre le mur. Je l'utilise la plupart du temps pour vérifier que tout est en ordre le matin, une fois lavé, habillé et prêt à partir. La proposition de Sam est plus que bonne. Nous pivotons de manière à nous retrouver en oblique sur le lit. Ainsi, je peux contempler le visage de Sam et la voir réagir au traitement que je lui procure. Et je sais qu'une fois que je me serai introduit en elle, le spectacle de la sodomie et de ses effets sur chacun de nous augmentera notre excitation respective. Le fait de ne pas être tout à fait face au miroir offrira une perspective plus qu'intéressante sur nos deux corps soudés.

C'est aussi le moment que je choisis pour m'appliquer un peu de lubrifiant sur le majeur et l'index. Je frotte ces deux doigts l'un contre l'autre pour bien appliquer le produit et je commence, tout doucement, à en introduire un dans l'anus de Sam. Quelques petites circonvolutions à l'entrée d'abord, pour bien continuer le travail de dilatation avant une progression plus en profondeur. Je tourne mon doigt sur un axe de 360 degrés afin de bien recouvrir l'intérieur de son conduit anal en préparation de la visite imminente de ma queue au même endroit.

– Aaaaah, ce truc est génial, ça chauffe. Ca chauffe même fort... Mmmm c'est super agréable.

Et en effet, cela se ressent au niveau de ses sphincters qui se relâchent de plus en plus. Décidemment, les gays sont les maîtres du plaisir, à cet endroit en tout cas. Je chasse rapidement cette idée naïve de mon esprit. Non seulement parce que c'est totalement bête de réduire les homosexuels à la sodomie et aussi parce qu'il faut que j'arrête de penser à Kevin quand je couche avec ma copine. J'ai beau avoir fait un choix et décidé de ne plus me consacrer qu'à elle, ces fantasmes et le rêve de cette nuit n'ont de cesse de contredire ma raison.

J'arrive à présent à entrer sans aucun souci un deuxième et même un troisième doigt dans le cul de Sam. Je leur fait encore subir quelques rotations et décide que le moment est venu de m'introduire en elle.

J'extrais encore quelques gouttes de ce liquide magique mais sur ma queue cette fois. Je réalise quelques mouvements de masturbation sur celle-ci afin de bien appliquer la substance sur toute la longueur et je jette le flacon un peu plus loin. Je devine dans l'extrême droite de mon champ de vision qu'il roule sur le sol, vers la porte d'entrée. Si j'étais ce flacon et que je levais les yeux vers le haut, j'en croiserais une autre paire qui ne perdent pas une seconde du spectacle. Mais c'est mon sexe que je contemple aux portes de l'intimité de ma copine. Au moment où je le colle contre l'anus de celle-ci, je relève la tête pour nous voir dans le miroir et ne rater aucune réaction de Sam. J'avance un peu et pousse mon gland qui n'a aucune peine à s'introduire en elle. Je ne sais pas si je glisse si facilement du fait de la poussée que j'exerce sur mon membre ou si ce sont les muscles de Sam qui me gobent littéralement la queue. Une chose est sure, le lubrifiant est d'une efficacité redoutable et très rapidement, alors que j'essaie de la pénétrer tout en douceur, je me retrouve complètement en elle. Nous poussons tous les deux un râle de bien-être. Elle pour le plaisir d'être remplie et soumise qu'elle doit ressentir, moi pour cette sensation exquise d'être profondément et chaudement serré dans son anus. La pression est très forte sur ma queue et je dois d'abord me stabiliser un peu tant la situation est excitante. Je me penche en avant pour embrasser Sam dans le dos et descendre mes mains à nouveau vers ses seins. Pas de pause pour elle, je veux que chaque seconde qui passe lui soit synonyme de plaisir. Tout en lui massant la poitrine, je colle ma joue contre l'arrière de son cou et je lui murmure :

Ma copine me manque mais je veux rester fidèleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant