Footballeuse pour la vérité

le message

"Drrrrriiiinnnnggggg"

A peine la sonnerie retentit, je courues hors de la salle en direction des escaliers. La journée venait de se terminer,  avec le cour le plus ennuyant du monde "vie de classe".

Mr Migaud nous parlait du prochain conseil de classe; Clarisse et Morgane se plaignaient du manque de miroir dans les toilettes et Louis insulta Anthony pour l'avoir regardé.  Quand à moi, j'entendais seulement des voix.  Je ne pensais qu'à Martin, seul à l'hôpital,  dans le coma, entre la vie et la mort.

Je descendis les marches 2 par 2 et arrivais au rez-de-chaussée.  En haut, une personne hurla mon nom ;  c'était Simon , le meilleur ami de Martin.

Je levais les yeux aux ciel et vit qu'il était toujours au 2ème étage.

- Tina, attend moi..

Je ne comprenais rien à se qu'il disait. Entre les cri de certains et les bousculades des autres, pour comprendre quelque chose, et bien bon courage...

Simon arriva à ma hauteur.  Il avait quelques mèches qui lui passaient sur le front , lui donnant un côté "bad boy " qui était très flatteur. Ses beaux yeux bleus se posèrent dans les miens. Sa voix , d'une douceur, était la plus belle à entendre.

-Alors tu viens avec moi ?  Me dit il le sourire aux lèvres ?

- Euh ?  Venir où ? Lui demandais je surprise.

-Ah !  Tu n'as pas du m'entendre... Il commençait à rougir.
Je viens de recevoir un message du docteur , celui qui s'occupe de Martin. Il a une bonne et une mauvaise nouvelle à me dire... son sourire disparut soudainement.

Je sursautais. Martin était-il réveillé??  Et qu'elle était cette horrible nouvelle ?  Cependant le fait d'être un moment avec Simon ne remplie de joie.

J'ai appris il y a peu de temps qu'il avait des vus sur moi. Nous nous étions rencontré par ami commun, Martin, qui était au courant que Simon m'aimait. Lui et moi étions devenu très proche,  et je dois avouer qu'il me plait beaucoup aussi.

- Je viens avec toi, mes parents sont partis un mois à Miami, alors pour les prévenir, ça risque d'être compliqué...
A force de parler, nous étions arrivés devant le lycée . De nombreux élèves aller en bus, tandis que d'autre cherché leurs parents. Simon alla chercher son scooter gris dans le local à vélo. C'était un petit bâtiment à quelques pas du lycée, fermé par une grille à digicode.  Les surveillants ouvraient seulement à 8heures et 17heures.

Simon souleva l'assise du scooter et sortit un casque qu'il me tendit. Un assez sobre,  noir avec des écritures blanches. Il mis le cale et alla chercher le sien dans le bureau de la logeuse. Son casque était plus flashy, avec des initiales inscrite au marqueur bleu sur fond blanc.

- Prête ?

Je lui fit un grand sourire. J'enjambais le scooter, passa mes mains des deux côtés de sa taille et le sera de toutes mes forces. A travers ses vêtements, je pouvais entendre son cœur qui battait à la chamade. Je souris et nous partîmes en direction de l'hôpital.