[Terminée]
Félix et Jisung sont nés le même jour et au même moment. Malheureusement, Félix est né dans une famille aisée quand à Jisung, sa famille était beaucoup plus pauvre.
Un jour, les deux jeunes hommes se rencontrent et découvrent des tas de p...
Plusieurs jours sont passés et c'était le calme total. C'était même un peu trop calme, ce qui inquiétait Jisung.
Il avait un pressentiment que son père préparait quelque chose et il ne voulait en parler à personne. Inutile de les alarmer si ce qu'il récent s'avère être faux, il les aurait fait paniquer pour rien.
Les parents de Félix étaient partit depuis quelques jours à l'étranger, ce que Jisung trouvait ça bizarre. Pourquoi partir maintenant, quelques jours après que leur fils soit revenu ? Il n'en savait rien et même Changbin, à qui il en avait parlé, avait trouvé ça bizarre.
C'est deux jours plus tard que son pressentiment s'avérait être juste. Au moment où il était sortit de sa chambre, qu'il partageait toujours avec Félix, Chan était venu vers lui en courant complétement affolé.
Jisung : Chan ? Qu'est-ce qui se passe ?
Et c'est que quand ce dernier tendit sa main vers lui qu'ils vit un lettre. En voyant cette lettre, son regard devint noir. Il savait très bien de qui elle venait, il s'en doutait.
Chan: Qu'est-ce qu'on fait, Jisung ?
Jisung n'avait pas su répondre. Pour la première fois, il ne savait pas quoi. C'était peut-être parce que ça concerné son père, mais à ce moment là, il ne pensait qu'à tuer l'homme qui avait tuer sa mère.
Chan: Jisung...ne fais rien de stupide..
Jisung : T'en fais pas...pour l'instant n'en parlons à personne et attendons ce qu'il passe
Chan avait alors fait demi tour en lui promettant de ne rien dire. Quand à Jisung, il regardait vers la direction où Chan était partit avec un regard désolé. Pour la première fois, il venait de mentir à son meilleur ami.
Il avait déjà prit sa décision, depuis un bon moment, et il ne reviendrait pas dessus. Alors discrètement, il ré-entra dans la chambre où Félix dormait encore.
Il était encore tôt donc personne n'était encore levé, sauf lui et apparemment Chan aussi. Il alla jusqu'au placard où il prit des vêtements sombres et discret tout en regardant de temps en temps que Félix ne se réveille.
Il savait que le fait qu'il parte comme ça comme un voleur allait blesser Félix mais il n'avait pas le choix. C'était à lui de s'occuper de cet homme.
C'est alors le coeur lourd qu'il quitta la chambre mais sans compter sur Chan qui l'attendait adossé au mur en face de la chambre.
Chan: Alors tu vas vraiment y aller tout seul ? Je sais que je ne peux t'empêcher d'y aller mais s'il te plaît, soit prudent
Non, Chan n'avait pas l'intention de l'empêcher, ça blesserait plus Jisung qu'autre chose. Jisung lui en était reconnaissant.
Jisung : S'il te plaît, prend soin de lui...
Et là Chan comprit, il ne faisait pas ça pour lui mais pour protéger Félix, ce qui lui fit sourire.
Chan: Tu l'aimes ? C'est pour ça que tu fais tout ça ?
Cette question avait surprit Jisung. Évidemment, il fallait s'en doutait que Chan allait le deviner, c'était le seul qui le comprenait.
Jisung : Oui... j'ai... j'ai pas envie qu'il lui arrive du mal...
Chan: Soit prudent, je prendrai soin de lui, tu as ma parole
Jisung lui fit alors une accolade d'au-revoir mais qui avait un goût d'adieu, mais Chan espérait qu'il se trompe, il avait confiance en Jisung.
Jisung finit par quitter la villa sans un bruit. Au moment où Chan allait retourner dans ses appartements au côté de Changbin, la porte en face de lui s'ouvrit.
Félix : Chan ?...
Chan: Déjà levé ?
Félix: J'ai attendu parler...je voulais savoir ce qu'il se passe
Chan: Ne t'inquiètes pas, tu ne crains rien ici
Chan lui avait fait un sourire rassurant et bizarrement, Félix se sentent à l'aise avec le plus vieux, il était bienveillant mais si au premier abord il avait l'air froid, un peu comme Jisung enfaite.
Félix finit par retourner dans sa chambre, trop fatigué pour réfléchir à ce qu'il se passait. Derrière la porte, Chan soupira de soulagement. Il finit enfin par retourner auprès de Changbin, il avait besoin de lui parler, de se livrer.
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