Un homme descendit l'escalier pour rejoindre les cachots, il s'agissait bien sûr de Sadaharu Ôtsutsuki, il allait rejoindre les réceptacles avec une bouteille de vin à la main, étonnant. Mais, ce n'était pas la seule chose d'étonnant chez lui. Déjà il n'était pas blanc, au sens où il portait autre chose que du blanc. Il portait un yukata de couleur violette avec une ceinture rouge, il y avait quelques motifs représentant un dragon.
Il était plutôt de grande taille, il y avait une petite barbichette au niveau du menton et chose qui sort de l'ordinaire pour un Ôtsutsuki, il était blond. Il était visiblement d'assez piètre humeur avec sa mine sévère un peu comme sa femme quand elle se fâcha. Au niveau des cornes, elles étaient petites, guère plus développées que Madara Uchiha en mode Rikudô.
Il finit par arriver devant le mur qui fait office de porte d'entrée, il ouvrit. À l'intérieur, il vit Boruto assis à l'endroit où il était après que Roland et Kimia se sont calmés, il portait toujours son manteau (ou plutôt celui de Sasuké) et finissait son gobelet. En face de lui, il avait Young-Jae qui avait fini son gobelet depuis un bout de temps. Roland était retourné au lit et il faisait face au mur. Kimia faisait la même chose sur le sien, et, enfin In-Soon était assis à côté de Roland pour veiller sur lui.
Young-Jae et Boruto se levèrent. : « Bonjour Seigneur Sadaharu. » Dit Young-Jae.
Sadaharu ne répondit pas et regarda avec attention Boruto, il eut alors un sourire comme si Sadaharu était agréablement surpris. : « Donc, c'est toi le réceptacle de Momoshiki ? »
Boruto avait repris son rôle de serviteur soumis et dévoué, cependant, il fut un peu déconcerté par le sourire de Sadaharu. : « Oui Seigneur, je m'appelle Mujina Hoori enchanté. »
« Enchanté. Dis-moi tu dois avoir faim, non ? Tiens prends ça. » Sadaharu Ôtsutsuki sortie d'une petite bourse accrochée à sa ceinture une petite pilule de couleur rouge foncé.
Boruto plus que surpris. : « Un fruit du chakra ? »
Sadaharu toujours avec le sourire. : « Tu sais donc ce qu'est un fruit du chakra. »
Boruto. : « Le Seigneur Momoshiki m'en a montré, il affirme que c'est pour en récolter qu'il est venu sur ma planète. »
Sadaharu. : « Je vois, il t'a parlé de ça ! Mais, non, ce n'est pas un fruit du chakra, c'est juste une pilule nutritive. Nous nous en servons pour nous nourrir quand nous n'avons pas le temps pour un vrai repas, mais elle peut aussi soigner les blessures légères. Je voudrais te parler avec ce beau visage en parfait état. »
Boruto n'était plus seulement déconcerté par ce type, il le mettait quasiment mal à l'aise. Surtout, il craignait que cette pilule soit un poison ou pire un sérum de vérité. Mais, comment faire pour trouver une excuse pour ne pas la manger ? : « Merci, mais c'est à cause de moi si les autres n'ont pas eu à manger, cela m'ennuierait de manger quelque chose alors qu'ils en sont privés. »
Sadaharu. : « Je vois, tu es quelqu'un qui pense aux autres, ou alors tu as peur que ce soit empoisonné. Rassure-toi tu n'as rien à craindre. »
Young-Jae confirma. : « Il nous arrive de recevoir ses pilules, le Seigneur Sadaharu te dit la vérité. Tu peux en manger sans craindre. »
Sadaharu. : « Si tu veux une preuve supplémentaire. » Il avala la pilule et il sortit une autre de sa bourse.
Boruto était un peu rassuré, mais comment en être 100 % sur quand même. : « Je voudrais vraiment que les autres puissent en profiter alors, c'est vraiment à cause de moi s'ils ont été privés de repas. »
Sadaharu. : « C'est bien généreux de ta part, heureusement que c'est à moi que tu dis ça, car même quand il s'agit d'être sympathique avec les réceptacles, les membres de ma famille ne supportent pas de recevoir ce qui semble être un ordre, surtout quand cela vient d'un être inférieur. »
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L'Errance du ninja à l'œil immaculé tome 1 : BORUTO : LA FIN DU DÉBUT
General FictionBoruto se réveille à l'hôpital à la suite d'un cauchemar. Il ne se souvient pas de comment le combat contre Isshiki Ôtsutsuki c'est fini. Mais il se souvient qu'un moment Momoshiki avait pris possession de son corps. Pourtant malgré ses crises d'ang...