Les oubliés

Le marteau et le scalpel

Je descendit en bas, et Tom m'interpelle.
"-Pierre! Louise ma demander te t'accompagner, je connais bien mon chemins par les souterrains, je saurais te guider. Les chemins sont comme dans les rues, il suffit de connaître les rues ou allez et bingo."
Il avait l'air assez confiant.
-Dac.

J'attache mon pistolet à mon holster de cheville et mis une lame dans accrocher à ma taille, ou une simple palpation ne suffira pas à la détecter.
-T'es prêt Tom? Je préfère partir maintenant.
-T'es sûr? Tu veux pas dire au revoir au autres?
-Oui j'en suis sur, je ne veux pas de scène d'adieu, j'y penserais trop, je préfère avoir l'esprit libre."

Nous nous mettons donc en route, et en passant près d'une route je remarque des affiches placardées au murs. Elles sont récentes. Je montre du doigt les affiche a Tom qui prends un air perplexe. Je m'approche pour les lire.
C'etait signé par le président et le chef des armées.
-En cette période tragique, le virus a anéantis 95% de nos forces armées et politiques. Curieusement, les jeunes français sont les seuls à être immunisés contre l'épidémie. Mais malgré la tragédie certain de nos concitoyens on décidera de s'armer, et de causer des dégâts en plus de ceux déjà commis. C'est pourquoi, des la semaines prochaine, une loi martiale sera appliquée. Nos forces armées sont autorisées à tirer si vous ne coopérer pas. Vous êtes invité a rejoindre des zones de triage, illuminé la nuit, et notamment au stade rennais. Puis serait envoyé dans des camps ou nourritures soins et protection seront fournis, en échange vous pourrez aidez à reconstruire notre belle nation. Je sais que ses mesures paraissent disproportionnées mais notre avenir y dépend. Chaque personnes aperçues avec une arme à feu cœurs le risque d'être abattue à vue.
Vive la france.
President E.Macron
Chef de l'état-major F.Lecointre.

L'armée a survécu. Je sais pas si c'est un bonne nouvelle, ça pourrait conduire à une guerre civile. De ce que j'ai compris, les adolescents français sont les seuls à avoir survécu, partout dans le monde les jeunes mourrait aussi.
Je fit signe à Tom de repartir.

Nous arrivons enfin sous la mairie.
Tom me brief une dernière fois.
"-Au dessus se trouve la cave à vin, tu rentre et tu te comporte comme l'un d'eux. Bonne chance.
J'ai déjà connus mieux comme encouragements mais ça fera l'affaire.
Je sortis dans la cave et remonte sans problème.
J'arrive dans le hall et pris mes repères.
Je devais allez au 2eme étages. Je pris donc les escaliers et arrive au deuxième étage. Curieusement une certaine agitation y reignait.
Je compris par les bribes d'information que leurs chef était en pleine discussion pour savoir si il fallait combattre l'armée ou s'y soumirent.
J'entendis des voix crier à l'intérieur et un coup de feu. Le silence se fut.
Enfin le chef, couvert de sang sorti.
"-J'ai besoin de quelqu'un pour nettoyer le bordel que cet enculer a mis.
Je m'avance en fesant comme ci on m'avait pousser en avant.
Il me regarda avec ses yeux persans.
-Bien. Vient avec moi.
Je ne pensais pas avoir l'occasion de le rencontrer si vite, cet mission pourra peut-être se finir plus vite que prévu.
J'arrive dans la salle et une odeur de sang me pris à la gorge. Un cadavre avec un trou à la place d'un œil.
-T'attends quoi? Au boulot.
-Ouais
-Tu te rends compte? Mon propre lieutenant voulait se rendre à l'armée... Comme si ses encule en avait quelque chose à faire de nous. Ils nous enfermeront juste dans des cages à leurs disposition.
Il tenait son pistolet à la main, le doigts sur la gâchette, l'air encore crispé par la conversation avec son ex-lieutenant. Je ne pouvais rien tenter, le temps que ça me prendrait de dégainer il aurait le temps de me tuer 3 fois. De plus il gardait un œil sur moi pendant son monologue.
-J'arrive toujours pas à croire que une bandes de morveux m'ont ridiculisé, ils vont le payer. L'un des survivant de l'attaque va venir et nous donnez leurs nombres et stratégies. C'est le seul à avoir survécu.
Et merde. Ce gars avait vu mon visage, et l'avait probablement retenu.
Je m'efforce de ne pas tressaillir. Il me reste peu de temps. Je finis de rouler le corps dans la bâche et me retourna. Je m'approche du chef ma main sur ma lame.
-Ecoute, si ta besoin d'un lieutenant,  je suis ton homme.
Je m'approche comme pour mettre ma main sir son épaule.
J'etait a 2 mètres de lui quand la porte s'ouvrit. Le survivant et 2 gardes s'approchent.
-Chef. Il est la.
-T'est qui toi?
Instinctivement je me retourne. Grosse erreur. A peine retourner que le visage du gars pris une expression d'horreur. Il se mit à hurler.
-C'EST LUI IL A TUER NOS HOMMES!
Les 2 gardes me mit immédiatement en joue. Je lève les mains lentement en l'air. Je ne peux rien faire.
Il m'embarque et m'attache à une chaise. J'attends plusieurs heure avant que leur chef daigne se montrer.
-Je dois avouer, t'es sacré bon acteur. Tu sais, ça fait longtemps que j'ai pas pu m'amuser, dit-il en survolant une multitude d'outil, dont certains avait l'air très menaçant, je veux donc te remercier, sa main s'arrêta sur un marteau et un scalpel, je vais pouvoir encore m'amuser un peu.
Il abattit le marteau sur mes doigts.
Je l'entendit rigoler alors que la douleur me prit au tripes. Ma vue se brouilla.
-Sale encu... , une deuxième coup coupa ma phrase, et ma vu devint noir, encore plus noir...