Chapitre 4

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Deux mois. Deux mois que je n'avais pas vu un autre décor que cette chambre. Deux mois que je ne parlais plus à personne à pars à mon kidnappeur. Deux mois que je buvais ces sales drogues. Deux mois que j'était porter disparue, pour les gens. Je n'avais même pas le droit de regarder la télé, je pouvais juste regarder les rediffusions du journal où l'on parle des différents meurtres de mon cher et grand maître adoré, et seulement en sa présence. Je peux vous dire que j'en ai marre, que je voulais partir, que je veux fuir. Mais tout ça est faux, je suis bien dans cette chambre où je vois chaque soirs le seul être dont j'ai vraiment besoin. Une partie de moi disait que c'est faux que je dois partir et fuir, mais mon corps n'écoutait que l'autre partie qui aimait Deku, et qu'il ne voulait que l'obéir à jamais. Maintenant, je suis sûre à 100% que ce sont ces drogues qui font effets. Depuis que je l'ai vu dans ma chambre la dernière fois, je ne fais que regretter de ne pas avoir crier pour que l'on vienne l'arrêter. Si j'avais fait ça, je serais libre et je serai en train d'étudier, de me faire de nouveaux amis, et je serais au près de ma famille. ais toute manière, Deku dit que si ma famille et mes amis m'aimait, ils seraient déjà venue me chercher, Il était ma famille mes amis et mon petit ami en même temps. Le meilleure de tous. Je me contredit tout le temps dans ma tête mais c'est la partie droguée qui gagnait tout le temps, et j'étais devenue une poupée, une marionnette. Je ne savais même plus utilisé mon alter, je ne savais plus marcher seule, je ne bougeait jamais de ce lit à pars quand Deku m'emmène faire mes besoins aux toilettes. Je regardais le vide tout les jours jusqu'au soir. quand il revenait, il m'expliquait ses journées pendant qu'il me donnait à manger, c'était intéressant d'écouter des histoires de dehors. Des fois ça me manquait d'être dehors, mais j'étais tellement mieux et en sécurité dans cette chambre. Je n'avais jamais vraiment visiter toute la maison, je connaissait juste la chambre et vaguement la route des toilettes car j'étais souvent à ma dernière phase de drogué quand il m'y emmenait. Les jours passaient, et plus je me passait  plus de mon maitre adoré. Je ne voulais que  personne ne vienne nous séparer, c'était un amour parfait. C''était tellement un amour de confiance qu'il m'a promis de me faire sortir un peu une prochaine fois. J'allais revoir le monde extérieure à condition que je reste sage et que j'obéissais toujours. C'était une super nouvelle ! Je continuais à combler tous ses désirs, même les plus fous, et lui me donnait une portion moins élevée de drogue, je ne dormais pas directement, je pouvais être dans état plus au moins normal. La relation ne faisait que s'améliorer. 


Etait-ce vraiment un paradis comme T/p le décrivait? Allait-elle continuer à lui obéir comme ça?        

Je ne peux pas vivre sans toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant