Je ne peux pas vivre sans toi

Chapitre 10

Le lendemain soir, j'étais prête. Physiquement j'étais prête à encaisser les coups, mais mentalement se serai la deuxième fois que je ferais cet acte avec une personne que je n'aime pas,, La nuit était tombée. Comme à son habitude, il vient toquer à ma porte:

"-T/p, mon chiot tu est là?

-Je suis là maître.

-C'est nouveau ça, depuis quand tu m'appelle comme ça mon chiot

-C'est juste que...Que...

-Continue

-Je vais aller droit au but, j'ai eu un fantasme avec toi. Alors je me suis dit que comme je suis coincée avec toi, pourquoi ne pas en profiter?

-Un fantasme tu dis 

-Oui, je n'en peux plus d'attendre, je n'ai qu'une seule envie et c'est la suivante. Je vient à son oreille pour lui dire une chose qui le fit rougir légèrement. 

-Je pense ne pas...Il n'avait pas finit sa phrase que j'étais déjà sur le lit avec lui

-Arrête de parler et détends toi juste, laisse moi faire. Je retirais son pantalon et je fit de même pour son sous-vêtement. Quand j'étais face à son cher engin, j'ai commencer à le caresser

-tu....T-tu...Tu ne devrais pas....

-Juste tais toi et profite. Il se mit à rougir et il ne faisait que ce contrôler afin de ne pas gémir ça se voyait. Moi je continuait à le caresser de plus en plus vite et lui ne pouvait plus se contrôler, il se mit à faire de petits grognement 

-Vous appréciez Maître?

-Mmmmh...O-oui...J'appré...J'apprécie. Tout un coup je lâcha son engin, car je savais que c'était trop, et je me suis mise à l'embrasser. Là où j'avais enfin le contrôle, il me plaqua contre le lit

-Pourquoi tu t'es arrêtée, c'était si bon, donc c'est à mon tour de te faire plaisir. Il commença à retirer tout doucement le lacet de ma nuisette, et me fit des bisous dans le cou. Ensuite, il me regardait droit dans les yeux, il transpirait et respirait fort.

-Je...Je..(petit gémissement). Il avait mis un coup, et bizarrement je n'avais pas trouvé ça désagréable 

-Je vois que ça apprécie. Je l'embrassait et lui continuait de me donner des coups. ON pouvait entendre dans le silence de la chambre des claquements de hanches et des gémissement étouffés. Plus on continuait plus il allait plus vite. Je ne pouvais plus me contrôler, je gémissait de toutes mes forces et lui donnait tout. Tout était présent les coups, il m'embrassait des fois et la plus part du temps il me suçait le bout des seins. Ses mains se baladaient un peu partout sur mon corps, et certaines parties, il les appuyait. Je ne voulais pas aimer ce que je faisait mes je ne pouvais pas ne pas prendre plaisir à ce jeu. L'intensité ne cessait de monter et moi j'agrippait son dos pour pouvoir lui faire sentir que c'était beaucoup trop intense. Mais lui il continuait on ne pouvais plus l'arrêter, alors je suis rentrer dans son jeu, je pris mes mains pour le caresser et je montais jusqu'à ces cheveux, je ne voulait plus le quitter, mais lui avait fini ce qu'il avait à faire. Je me suis levée pour aller dans la salle de bains, mais il attrapa mon bras, et se remis à embrasser mon cou. Si je le repoussait maintenant, il allait s'en rendre de mon plan je devais faire comme si j'aimais ça, et juste sourire et faire semblant d'être amoureuse

-Ne me laisse, j'ai besoin de te sentir près de moi. Après cette phrases il me tira vers lui, et m'enlaçait. On était tous les deux sur le lit, l'un avait fermé les yeux et l'autre qui voulait quitter le lit. J'essaya quelque chose

-Maître, pouvais vous me laisser pour que je puisse aller au toilette?

-Oui, mais ne dure pas, je ne peux plus passer une seule minutes sans toi maintenant. Tu n'aimerais pas avoir des fantasmes plus souvent. Je n'avais rien répondu à cela, car je savais que la fatigue l'avais drogué. En posant mon pied par terre, quelques chose me piqua. C'était un trousseau de clé, je voulais crier mais il pourrais le reprendre alors, je le poussa vers le bas du lit, ensuite je suis partie dans la douche, pour prendre ma drogue quotidienne, car maintenant je ne peux plus dormir sans, et je suis revenue me coucher. Pour le récompenser de sa naïveté, je me suis bien collé à lui pour cette nuit.