Chapitre 9

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J'eus l'idée de sortir par la fenêtre. Je suis rentré dans une chambre et j'essayais s'ouvrir la fenêtre, mais cette dernière était bloqué par un cadenas. Je n'en pouvais plus, ne devais sortir. Il chantait et sa voix se rapprochait toujours. Je cherchais partout, sous le lit, dans les tiroirs et même dans la salle de bain. J'avais un dernier espoir, c'était le placard. J'ouvris les portes lentement, mais dedans, il
N'y avais rien. Comme sa voix était beaucoup trop proche, je suis mise en même temps dans le placard. J'avais raison car quelques instants plus tard Deku était dans la chambre entrain de chanter:
« - Mon petit chiot, s'il te plaît répond moi. J'ai tellement envie de te voir. Si tu savais toutes les choses auxquelles je pense faire avec toi, tu n'es pas prête.
-...
- Pourquoi tu ne me répond pas, ou bien c'est ton surnom qui ne te plaît pas?
-...
- tu sais que je peux entendre ta respiration si forte à travers ce meuble de bois. Cela m'excite tellement envie de toi. SORS! » il était devenu fou il ruait de coups le placard. Je ne comprenais même pas pourquoi il n'ouvrait juste pas les portes. Mais j'avais trop vite parler . Il ouvrit les portes du placard jusqu'à même les cassées. J'étais devant lui, sa figure faisait si peur, il souriait jusqu'aux oreilles et ses yeux étaient verts luisants. Il me regarda puis il me prit par le bras pour me coller à lui, il me regardait et il paraissait si rassuré du fait que je ne sois pas partie:
« - Tu sais que jamais personne ne pourra nous séparés, on resteras ensemble. D'ailleurs j'ai une surprise pour toi mon chiot.
-S'il te plaît laisse moi, laisse moi ! Laisse moi ! Laisse moi psychopathe !
- Tu sais que ça me fais beaucoup de mal quand tu dis ça, tu n'as même pas vu la belle surprise que j'ai faite pour toi.
-Je ne veux rien faire avec surprise de merde!
- Je sais pas si tu te rappelle, quand je t'ai dit que tu vas payer le prix cher si tu n'es pas sage
-Mes parents ! Dis-je en tombant devant lui
- Non, je ne pourrai pas me permettre de te faire autant de mal, je n'ai juste fais qu'un avertissement.
-avertissement ?
-Notre cher ami, ou devrais-je dire notre défunt ami.
-à qui tu as fais du mal?
- Notre cher ami colérique
-Bakugo !
- oui, je le trouvais trop proche de toi. Ça m'étonne qui n'est rien tenter avec toi durant ces dernier mois. Il était totalement malade, il avait je ne sais quoi à notre ami d'enfance. Pourquoi ? Ce gars était tellement fou je n'en pouvais plus de ce psychopathe, je n'en peux plus. Je devais partir de cet endroit. 
-Tu sais, ma chérie, je ne sais pas ce que je ferai si tu n'étais pas là pour me distraire au tant. Il disait tout en levant la tête de T/p a l'aide de son menton.
-Laisse-moi! Je vais m'en allez un moment ou autre, je ne peux même pas encore me dire que j'ai coucher avec toi. Dis-je avec tant de mépris
-Oui, moi aussi je ne peux toujours pas croire que je l'ai, c'était tellement, tellement je ne sais pas comment décrire ce bonheur. Vraiment je pense qu'on devrai faire plus de jeu comme ça, c'était si excitant, sauf que ma récompense sera  toi ma poupée et toi si tu gagne tu aura ta liberté. » Je ne pouvais pas le croire, je suis devenue un jouet pour lui. Je ne pouvais pas croire que mon jeune ami si innocent et gentil puisse devenir la personne que je déteste et appréhende le plus, je devais fuir à tout pris. Encore une fois dans ma chambre il faisait nuit, je n'avais pas de moyen de connaître l'heure ou encore la date, je comptais les jours, et je pouvais seulement savoir combien de mois j'étais là. J'étais assise sur le lit et je ne voulais pas dormir. Je priais tout les jours pour demander si un jour j'allais sortir, quand soudain on frappa à la porte. Je ne voulais pas répondre parce que je savais très bien qui était derrière,

Je ne peux pas vivre sans toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant