CHAPITRE XX

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| Le Labyrinthe |

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On marchait, depuis trop longtemps. J'en pouvais plus et Newt non plus. Il faisait maintenant bien sombre et on s'était installé prêt d'un entrepôt abandonné.

Assis autour d'un feu aucun de nous deux ne parlait.

Parler on n'avait fait que ça. Maintenant j'étais juste fatigué de tout. À quand ça se terminerait ? J'avais l'impression que c'était interminable. J'en pouvais plus.

–Ça va ? Demande le blond.

Sa voix me fit sursauté.

–Oui, enfin si on veut. Je m'arrêta. Et toi ?

Il ne cessait de regarder ses mains.

–Pareil.

Je hoche la tête.

–On a plus rien hein ? Il continue.

–Non plus rien. Je soupire.

On n'avait plus une seule goute d'eau ni un seul morceau de nourriture. Espérons qu'on arrive bientôt.

Du coin de l'œil je vis Newt se rapprocher, il s'assis près de moi, je sentie son épaule frôler la mienne et de nombreux frissons me parcoururent. Je n'y prête pas attention et posa ma tête sur son épaule dans un long soupire.

J'avais mal à la tête, très mal à la tête. Je sentie mes paupières se fermer petit a petit mais avant que je m'endorme définitivement un grand crie résonna dans tout l'entrepôt. Je relève vite ma tête et la tourne machinalement vers Newt qui avait lui même sa tête vers moi.

Il mis son doigt devant sa bouche et m'intima de me taire. Il se relève et me tend sa main que je pris sans hésitation. Une fois sur nos deux jambes. Nous marchâmes doucement en nous dirigeant vers la sortie. On n'avait–ni lui ni moi–envie de se battre contre des fondus à l'heure qu'il était.

Paolina : Le labyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant