CHAPITRE XI

737 32 0
                                    

| Le Labyrinthe |

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.






| Le Labyrinthe |






| Le Labyrinthe |

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.




.......


–Continue de courir ! M'ordonna Newt.

Je soufflais, mon bras me faisait un mal de chien. Nous cherchons cette sortie depuis maintenant longtemps, trop longtemps. On s'était vite perdus. Ni lui ni moi ne parlais et c'était devenu très gênant.

–Faut que je m'arrête. Je dis.

Newt ne discute pas et hocha la tête me voyant souffrir. Il me pris le bras et m'amène jusqu'à une petite pièce remplie de cartons poussiéreux.

Je le remercie discrètement et viens me poser près d'un mur. Je passa la main sur mon front. Celui-ci était trempé, j'essuyais la transpiration abondante et soufflait un bon coup. Je sortie de mon sac la gourde que Newt m'avait passé et je bu une grande gorgée économisant le plus possible l'eau qui restait. Voyant le regard de Newt sur la gourde je lui tendis.

–T'en veux ?

Il me remercia et bu une petite gorgée avant d'essuyer le coin de sa bouche. Je le regarda s'asseoir près de moi. Personne ne parlait ni ne bougeait juste le rythme saccadé de nos souffle se faisait entendre dans la petite pièce.

–Tu fais ça tous les jours ?

Je le regarde ne comprenant pas se qu'il me voulais dire.

–Tuer des fondus.

Je souffla énervée qu'il remette ça sur le tapis. Il ne pouvait pas arrêter ?

–T'as quoi avec moi exactement ? Je t'ai fais quoi ?

Newt tritura ses main en baissant la tête, je le vis fermer les yeux et mettre ses doigts sur son arête de nez.

–Rien. M'avoua-t-il.

–Bah pourquoi t'es aussi insupportable avec moi ?

Il releva les yeux vers moi.

–Tu, je ne te fais pas confiance. Tu caches un truc et ça me fais rager de voir tout le monde te faire confiance comme si on se connaissait depuis des années alors que ça ne fais a peine une journée, ça me rend dingue ! Vraiment. Tu mens quand on te pose des questions, ton bras ! Merde ton bras ! C'est vraiment dur ok ? Je ne veux pas que mes amis se retrouvent dans une mauvaise histoire car tu nous auras tous berner.

Paolina : Le labyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant