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-pourquoi t'as fais ça ? Lui demandai-je

-....

-tu m'avais dit que ...

-je sais ce que je t'ai dis me coupa t-il

-alors pourquoi ?

-j'ai pas réussi ...

-t'as pas réussi ?

-elle... enfin c'est compliqué

-je vois, donc tu restes avec elle

-Bébé c'est pas ça dit-il en s'approchant de moi

-non ne me touche pas, t'es qu'un menteur lui dis-je tu m'avais promis

-je sais ... pardonnes moi je vais vite régler cette histoire reprit-il en essuyant mes larmes de mes yeux

Il me baisa le front avant de s'en aller il était tard je me demandai même comment il avait réussi à sortir si tard sans qu'elle ne pose de questions.

Après qu'il soit sortit de chez moi je me suis assise dans le fauteuil et j'ai pleuré, ma sœur avait raison, j'aurai du y aller Molo, j'avais l'impression d'avoir le cœur en mille morceaux encore une fois, il m'avait dit qu'il s'occuperait de la situation mais comment allait-il faire ça alors que Linda avait quitté sa vie à Dubaï pour venir vivre ici avec lui et il voulait me faire croire qu'il la quitterait pff foutaise.

Les semaines qui suivirent, je décidais de ne plus me préoccuper de lui, lorsqu'il venait voir Darren je les laissais dans le salon et je montais dans ma chambre, je l'ignorai complètement, plusieurs fois après qu'on ai mit notre fils au lit il avait tenté de m'embrasser mais je ne voulais plus être cette fille là, la « maîtresse » ou la nana illégitime de qui que ce soit je méritais mieux que ça.

Ça faisait maintenant trois mois qu'ils s'étaient installés en France, et « l'histoire en question n'était toujours pas réglé » Linda faisait des aller-retours entre Paris et Dubaï pour ses affaires, Eddy lui jouait son rôle de père à merveille mais en se qui me concernait, il était quasi inexistant enfin c'était ce que je voulais qu'il croit, ça l'énervait que je l'ignore.

-c'est quand que t'arrêtes de faire ta gamine ?

-...

-tu ne m'aimes plus ? Me dit-il en se positionnant en face de moi

-...

-Je vais me séparer d'elle Tracy je te le jure




j'avais l'impression qu'il était a l'aise dans cette situation, il fallait que je lui fasse ouvrir les yeux j'étais certes amoureuse de lui, mais qu'il ne s'y trompe pas les hommes me désiraient toujours et ça il s'emblait l'avoir oublié. Un soir j'avais invité un collègue infirmier de mon cabinet à manger à la maison, on s'entendait très bien lui et moi et c'est vrai que de son  côté régnais une certaine ambiguïté, je ne dirais pas qu'il en pinçait pour moi mais s'il se passait quelque chose entre nous ça ne le dérangerait pas. mon fils était chez ma sœur, nous nous étions fait un petit apéro pour commencer, de l'alcool pour lui et du jus pour moi avec toutes sortes d'amuse gueule.

The lies wounds, the truth kills. [TOME 2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant