Chapitre 7

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Pourquoi est ce que je sent monter en moi comme une urgence? Un sentiments de panique. 

C'est alors qu'une boule se forme dans ma gorge est je sent monter la bille. Je me mort la lèvre inférieur si fort que le gout du sang empli ma bouche. 

L'homme assit a coté de moi tourne des yeux interrogateurs dans ma direction. Mais je les balais de la main, les larmes me montent aux yeux puis, il se détourne de moi.

Je ne trouve rien de mieux a faire que ressentir la douleur physiquement. En me mordant jusqu'au sang, mon esprit se libère. Je ne pense plus qu'a cette douleur vive qui me tiraille la bouche. Et plus rien, le bourdonnement sourd qui emplie mes oreilles s'arrête. 

J'ai réussi a faire disparaitre les doutes et la colères qui me ravage l'esprit depuis le début du trajet, depuis des jours. 

Mes heureusement le trajet est plutôt courts. C'est fini. Je peut descendre. 

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Je sort du train a toute hâte, et me dirige vers la sortie. 

L'homme assit a mes coté durant le trajet court a toute vitesse a travers la foule. Et je sais. Je sais qu'il rejoint la femme sur le quai. Je ne reste pas pour le voir. Ce n'est pas la peine.

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Je marche en direction de la maison de mes parents. 

"Encore 20 minutes de marche et je serais chez eux ! ouf "

Je vais pouvoir penser a autre chose que ces rêves. Ces étranges songes qui me tiennent au corps comme du poison tiens aux veines.

J'arrive enfin dans l'allée de la maison de mes parents.

Le portail s'ouvre et libère la beauté du domaine. Je marche dans l'allée, une fine couche de gèle s'étend gracieusement sur le jardin.

Un vent lègé fait bouger les branches des pins dans le park et je me sent chez moi. En traversant l'allée je me sent deja mieux. Ici tout va mieux. Je peux enfin respirer.

Je rêve parfoisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant