Chapitre 15

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{point de vue Marcos}

Nous nous activons à mettre en place le plan Alcatraz. Palerme, Rio et moi sautons dans les flaques d'eau, pour faire croire aux policiers que nous nous échappons grâce au micro qu'ils m'ont implantés dans le corps. Rio chute dans l'eau, je rigole et Palerme aussi.

Moi : « pressé de partir Rio?! »

Palerme : « Bon Santiago, où est ta petite copine hein? »

Moi : « Elle est aux fourneaux, elle termine de fondre l'or ! »

Palerme : « On arrête là ! Va la prévenir ! »

Moi : « D'accord! »
Dis-je en prenant avec moi le micro et la puce GPS.

Je cours pour le faire croire pendant cinq bonnes minutes, avant de m'arrêter face à Nairobi.

Moi : « Mon amour, arrête de fondre, on s'en va ! »

Nairobi : « Maintenant là?! On allait dépasser notre nombre de base ! »
Dit-elle le sourire aux lèvres.

Moi : « On s'en fou! Aller viens! »

Nairobi : « C'est parti pour la liberté ! Récupérons de quoi manger et boire pour le voyage ! »
Dit-elle avant de m'embrasser.

Nous courons rejoindre les autres avec des boissons juste pour se rafraîchir un peu.

Nairobi : « Tenez ! J'ai terminée aux fourneaux! »

Palerme, Berlin, Helsinki, Rio : « Merci Nairobi! »

Stockholm arrive, accompagné de Denver, Bogota et Tokyo.

Denver : « On va enfin sortir de cette merde ! »

Tokyo : « Ouais! »

Nous installons ma puce GPS dans une mini combinaison rouge préparée pour Sofia, le furet de Marseille. Je fais du bruit avec une clé à molette, pour faire croire à un bruit de wagonnet. Quelques secondes après, Stockholm lâche Sofia dans les caniveaux. Elle s'en va en courant. Tandis que je continue à faire du bruit avec la clé à molette. Quelques minutes après, nous cassons le micro. J'arrête de faire des bruits.

Berlin : « Ils vont être fous ! Remontons en haut! Je dois parler au professeur. »

Moi : « Je viens avec toi. »

Berlin : « Non, toi tu restes avec les autres. Tu surveilleras les otages ou tu iras aider Nairobi aux fourneaux. »

Moi : « Pourquoi ça ? »

Berlin : « Ne recommences pas. »

Moi : « Je dois savoir si papa va bien. Et m'excuser de vous avoir emmener ici. »

Berlin : « Tu le feras quand on sortira tous d'ici. »

Je souffle et décide de me plier aux ordres de mon oncle. Nous montons en haut. Je parle avec Denver et Rio.

Moi : « Alors comme ça tu as un fils avec Monica ? »

Denver : « Oui. C'est le bébé qu'elle a eu avec Arturito... tu sais, quand elle voulait avorter car monsieur la faisait chanter avec ça... »

Moi : « Ouais enfin, c'est toi son père. Ce pauvre gosse ne mérite pas d'avoir un père comme Arturo. »

Arturo : « Qu'est-ce que tu as dis fils de pute?! »
Dit-il en se levant et en venant sur moi.

Moi : « Que le fils de Denver et Monica à la chance d'avoir comme père Denver et pas toi p'tite merde. »

Arturo : « Moi?! Moi je suis une merde? »

Moi : « Ouais. »

Arturo : « Dès que je serais sortit d'ici, et vous en prison ou même mieux, tous morts, je récupérerai mon fils! Et toi Denver, tu pourriras dans ta prison, si tu n'est pas mort avant haha! »

Denver : « C'est ça ouais. »

Arturo : « Et toi? T'es bien le fiston au cher professeur hein? Haha! Dire que ta mère t'as abandonné hein ?? Tu m'étonnes ! Elle voulait pas rester avec un mec comme ton papa chéri ! Elle a eu raison, ce type est un enfoiré. Et elle ne doit pas avoir de regrets de pas t'avoir garder, quand elle a vu comment à fini son fils ?! »

Comment il sait tout ça ? Cet espèce de fils de pute.

Arturo : « T'as la rage parce que môman n'étais pas là quand tu étais petit ? Qu'elle ne t'as pas changé tes couches ? Qu'elle t'as laissé avec papa et tonton Berlin? Moi j'ai grandi avec ma mère ! Et mon père ! »

Moi : « FILS DE PUTE! »

La rage m'envahit, je saute sur Arturo et commence a le frapper. Plusieurs fois. Denver et Rio m'attrape et me tire en me collant contre un mur.

Denver : « Calme toi! LAISSE LE! SANTIAGO! C'est un abruti. N'use pas tes forces pour un tocard pareil! »

Je finis par me calmer, Arturo saigne du nez et d'une de ses lèvres, mais il continue à me chercher. Palerme arrive avec Helsinki.

Palerme : « Une femme enceinte approche avec une peluche ! C'est quoi ce merdier encore ?! »

Moi : « C'est Sierra... la nouvelle inspectrice... c'est elle qui m'a torturée avec les autres flics. »

Palerme : « Qu'est-ce qu'elle vient foutre devant la banque avec une peluche ?! »

Moi : « Je ne sais pas... »

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~Days Like This~ {TOME2} SERQUEL/LCDPOù les histoires vivent. Découvrez maintenant