{point de vue Sergio}
Je ne cesse de repenser à tout ça. J'appelle Marseille.
Marseille : « Oui professeur? Que se passe t'il ? »
Carlos : « PUTAIN SERGIO QU'EST-CE QUE VOUS AVEZ FOUTU?!! POURQUOI VOUS AVEZ BOMBARDEZ LES BLINDÉS?! ÇA PASSE À LA RADIO! »
Moi : « FERME LA CARLOS! »
Carlos : « ON AVAIT DIT QU'ON ÉVITAIT D'AGIR AVEC LA VIOLENCE PUTAIN?! ON FAIT PASSER QUEL MESSAGE LÀ EN BOMBARDANT DES MECS ?!! CE SONT SÛREMENT DES PÈRES DE FAMILLE! DES MARIS ! DES FILS!DES NEVEUX! »
Alors qu'il allait continuer sa liste de merde, je le coupe.
Moi : « ET ALORS?!! JE M'EN FOU ! JE M'EN CONTRE BALANCE ! CES MÊMES CONNARDS LÀ QUE TU ES ENTRAIN DE PLAINDRE, ON COLLÉ UNE BALLE À TON NEVEU! À MON FILS! IL PERD ÉNORMÉMENT DE SANG ! ILS SONT ENTRAIN DE LE PERDRE ! ET TA BELLE SŒUR! LA FEMME QUE J'AIME, CELLE QUE JE VOULAIS ÉPOUSER DÈS QU'ON SORTAIT DE CE PUTAIN D'ENFER A ÉTÉ TUER DE TROIS PUTAINS DE BALLES CAR ELLE N'A
PAS VOULU ME BALANCER AUX FLICS! À CES CONNARDS DE MERDE ! ALORS TU SAIS QUOI ? JE ME CONTRE FOU QUE CE SOIT DES PÈRES DE FAMILLE, DES FILS, DES FRÈRES, DES MARIS OU JE NE SAIS QUOI! ILS ONT EU AUCUNE PITIÉ DE TUER UNE MÈRE DE FAMILLE D'UNE PETITE FILLE DE 8 ANS, UNE FEMME, L'AMIE DE BEAUCOUP DE GENS, ET DE TIRE AVEC UN SNIPER SUR UN JEUNE, UN FILS! UN NEVEU, UN GRAND FRÈRE ! »
Dis-je en hurlant et pleurant en même temps, de rage, de colère, de tristesse, de peur.Ni Carlos ni Marseille ne parle. J'entends seulement un bruit, comme quelqu'un qui vient de frapper contre quelque chose.
Carlos : « Je vais les tuer. Je vais les assassiner. »
Marseille : « NON! CARLOS ! NE FAIT PAS ÇA ! RESTE LA! »
Carlos : « Lâche moi Marseille. LÂCHE MOI! »
Marseille : « NON! »
Moi : « Qu'est-ce qu'il se passe?! »
Carlos : « JE VAIS ALLER À LA BANQUE D'ESPAGNE AVEC MON FLINGUE ET JE VAIS LES TUER ! TOUS! DANS LEUR PUTAIN DE TENTE ! »
Sa voix est mélangée de tristesse, de sanglots, de haine, la rage.
Marseille : « Et tu te feras tuer en suivant hein? TU CROIS QU'ON A BESOIN ENCORE DE LA MORT DE QUELQU'UN LÀ ?! »
Moi : « FERMEZ LA! Venez me chercher à l'endroit prévu s'il vous plaît. Plan Hamelin Marseille. »
En attendant l'arrivée de mon frère et Marseille, je décide d'aller me cacher là où les flics ne me trouveront pas, je saute par dessus une espèce de clôture en béton et tombe nez à nez avec un taureau, je décide de courir le plus vite possible vers un espèce de grand bac en bois et de me cacher en dessous. J'appelle la tente, avec une haine énorme.
Sierra ne cesse de me répéter pour les blindées, que nous sommes les potes d'Al Qaïda. Espèce de salope.Moi : « Vous avez ordonnez l'exécution de Raquel Murillo. Vous avez tuez ma femme. Vous avez tuez la mère d'une gamine de 8 ans! »
Sierra : « Il fallait y penser avant professeur! C'est de votre faute si elle est morte, et si cette pauvre petite enfant n'a plus de maman! Elle retournera avec son père, qui s'occupera bien mieux que sa mère ou son cher beau papa. »
Moi : « JAMAIS. Vous m'entendez ?! Paula ne retournera jamais chez son fils de pute de père. C'est moi son père maintenant. C'est moi qu'elle appelle papa. Je l'aime comme si elle était de moi. Je vous jure, et j'en fais la promesse car je le dois à Raquel, que je prendrai soin de Paula jusqu'à la fin de ma vie. »
Sierra : « Bien sûr... aussi bien que vous vous êtes occupez de votre fiston... parlons en... mon petit doigt me dit qu'il est pas en très grand forme... vous savez ce qu'il lui arrive? Une peine de cœur peut-être ? Ou une bronchite... ha les poumons... ou alors mal à l'épaule ? À vrai dire je n'ai pas bien vu là où il a eu bobo... à cause du reflet du soleil sur la fenêtre... »
Moi : « Vous lui avez collé une balle de sniper ! Vous êtes un monstre ! Je vous jure que je vous tuerai de mes propres mains si mon fils ne s'en sort pas! C'est pour quoi je réclame les meilleurs médecins d'Espagne à entrer dans la banque pour le sauver. »
Sierra : « OUPS! ERREUR PROFESSEUR! Je ne fais pas rentrer de médecins là dedans. C'est de votre faute... votre fils mourra très vite et cela vous hantera toute votre vie. Et oui, fallait y réfléchir avant... votre fils, dans ces derniers moments de vie est entrain de vous haïr. »
Dit-elle avant de raccrocher.J'hurle de toutes mes forces, de colère et de tristesse.
Marseille et Carlos arrivent, je ne sais pas combien de temps je suis resté là, mais je suis tout engourdi de partout. Ils m'aident à me lever et nous devons une nouvelle fois nous sauver du taureau. Nous allons à un garage là où nous avons caché quatre motos. Une pour Carlos, une pour Marseille, une pour Raquel... Raquel... je te vengerai mon amour. Et une pour moi._________________________
Que pensez-vous de ce chapitre ? Sergio? Carlos? Marseille? Sierra ?
VOUS LISEZ
~Days Like This~ {TOME2} SERQUEL/LCDP
FanfictionTOME 2 Je précise que si vous n'avez pas vu la saison 4 ou même la 3, ne lisez pas car j'utiliserais des scènes des deux dernières saisons pour le bien de l'histoire. TOME 2 Et si Sergio avait un fils d'une précédente relation? Marcos âgé de 20 qui...