KSID MERCI POUR L'IDÉE Izukuuu JTM <333
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25 janvier,
Il marchait d'un pas lent, à vrai dire il n'était absolument pas angoisser, impatient ou même exciter à l'idée de découvrir l'élu(e) avec le/laquelle il passera le restant de ses jours, la personne avec qui son âme était liée.
Après tous, la probabilité qu'il voit soudainement apparaître ce fameux fil rouge qu'il le reliait à son âme-sœur dans le pauvre lycée dans lequel il étudiait depuis maintenant deux années sur des milliards de personnes sur Terre était de quoi, environ même pas un pauvre pourcent de chance.
Ce qui lui avait décrocher un faible sourire en se réveillant le matin même était de savoir qu'il était désormais majeur et qu'à sa plus grande surprise, d'innombrables messages s'affichait sur son écran lui souhaitant un joyeux anniversaire.
Mise à part ceux des jumeaux Miya, de ses coéquipiers et de sa famille, aucun des autres messages n'avaient réussis à attirer son attention.
Il ne s'était donc pas donner la peine de lire ces messages débordant d'hypocrisie.
En soit, il considérait cette matinée comme les autres, les mêmes difficultés à se réveiller, les mêmes cours que les semaines passées, la routine se répétait juste continuellement. Il prenait juste une année de plus et ce ne serait certainement pas le jour même qu'il découvrira la personne détenant la seconde partie et la fin du fil rouge enrouler autour de son petit doigt. Pour l'instant, il était seulement capable de distinguer le fil se prolonger devant lui, sans jamais y voir de terme.
Après quelques minutes de marche supplémentaire, le brun se trouvait à son emplacement habituel où il attendait les deux Miya. Certaine fois, les jumeaux pouvaient le faire attendre longtemps, l'un n'ayant pas entendu son réveil, l'autre enchaînant bêtise sur bêtise, ce qui prolongeait leurs retard et l'attente interminable qu'ils faisaient subir au brun.
Sa vie serait réellement fade et sans couleur sans ces deux jumeaux. Il les aimait tous comme certaine fois il ne pouvait plus supporter la voix stridente d'Atsumu hurlant après son frère, lui procurant après coup des acouphènes.
Il ne faisait généralement pas de préférence, mais il devait bien avouer en pincer un peu plus pour le Miya gris.
Plus calme, plus provocateur malgré ce qu'il en avait penser au début, plus correspondant à sa façon de voir les choses, plus ce qu'il aimait, en gros.
Atsumu savait que quelque chose se tramait entre ces deux-là, et n'avait aucune retenue pour en leur faire témoigner son avis, mais aucun des deux ne prenaient réellement au sérieux leurs relations quelque peu ambiguë.
Après tous il n'y avait qu'une chance sur des milliards qu'ils soient âmes-sœurs, ils ne prévoyaient donc pas d'officialiser quoi que ce soit.
Ils savaient combien ils tenaient l'un à l'autre et pour rien au monde ils ne se feraient du mal mutuellement.
Après une longue et périlleuse discussion sur comment se déroulera l'avancée ou la mise à terme définitive de leurs relations, ils en conclurent que si l'un d'eux venait à rencontrer son âme-sœur, ils couperaient les ponts afin de ne pas blesser ou déçevoir l'autre.
En attendant ce jour avec beaucoup d'appréhension, ils se montraient à leurs façons affectif l'un envers l'autre;
il arrivait que quelques fois un baiser soit échanger, de chastes étreintes, des mains entrelaçées soigneusement cacher à la vue de tous, des regards attendris voir niais du point de vue d'Atsumu, et enfin des mots, dont eux seuls en comprenaient l'ampleur et la réelle signification.
Et Suna comptait bien continuer sur cette lancée jusqu'à ce que lui ou Osamu trouvent leurs véritable amour, signifiant l'arrêt définitif de leurs relation. Il en avait mal d'avance. Peut-être devraient-ils en discuter une seconde fois ? Peut-être avait-il la capacité de changer ce qui les attendaient prochainement, de ralentir la gigantesque vague d'atroce sentiments dans laquelle il se noiera lorsqu'il apprendra par un blond en colère qu'Osamu avait trouver son âme-sœur avant lui, que c'était inadmissible et que lui aussi la trouvera dans quelques heures avant de repartir d'un pas déterminer et débordant de défis. Et tous se terminera, il sera déjà aux oubliettes, ne sera plus qu'une ancienne et inutile partie de la vie du grisé.
Cette pensée le fit frissoner d'effroi, pourtant il n'y avait qu'un seul scénario leurs étant destiner et il en était bien conscient.
