XVII¹⁷-

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"Miya, vient chercher ton fils chez moi. Faut qu'on parle"

Ça s'annonçait mal, très mal. Le paternel Suna les avais puérilement démasquer.
Alors que celui-ci aurait du faire son retour au logis familial dans les alentours de vingt-trois heures, il semblerait qu'il en ai finalement décider autrement.

Pourquoi était-il déjà de retour à vingt-et-une heure ?

"Tu es mon fils Rintarou, tu sais que je t'aime. Mais tu joues à ça sous mon propre toit après tous ce que j'ai sacrifier pour toi ? Pense à ta mère comme elle doit être déçue"

La tête baisser, le regard fixant le carrelage, humilier et honteux, il acquiesa.
Son père l'avait toujours manipuler de cette façon, et cette habitude ne semblait pas vouloir le laisser choir.
Et il semblerait que sa non-réponse lui déplut promptement.

Sa joue témoigna d'une violence soudaine, inébranlable et préméditer, le faisant serrer les dents quant au spectacle auquel son bien-aimé était forcer d'assister.

"Tu me fais honte"
Cracha-t-il afin de bien accentuer l'humiliations qu'il purgeait.

Ce fut quelques secondes plus tard que débarqua en furi la mère Miya, inquiète et quémandeuse de réponses sur le coup de fil soudain qu'avait passer son voisin concernant son fils.

"Tous va bien ?"
Fut la seule phrase qu'elle put articuler dans cet appartement à l'ambiance éléctrique.

"Assieds-toi bien, tu risques de tomber de bien haut"
L'avertit le père Suna.

-

"Alors ton fils et mon fils..."

"Ils baisent ensemble quand on est pas là"
Mentit-il.

"On était pas entrain de-"
Intervint Osamu.

Il se coupa seul lorsque la main du brun vint à la rencontre de la sienne.
Il lui demandait silencieusement de ne pas intervenir, cela ne ferait qu'aggraver leurs cas.
Leurs doigts s'entrelaçèrent fougueusement, comme un dernier contact amoureux et douloureux. Dans une dizaine de minutes ils seront déjà si loin l'un de l'autre, probablement entrain de subir les conséquences de la colère de leurs acendants.

Osamu n'était pas encore abscent, pourtant il lui manquait d'ores et déjà.
Des 'je t'aime' incessants se dissolurent entre les hurlements stridents de leurs parents, engandrant de nombreuse fissures navrées et odieuses, brisant leurs ventricules.
Les pleurs du grisé l'achevèrent pitoyablement, tandis qu'un mal-être insupportable prit ses aises au creux de son estomac.

C'était injuste.

-

|tu me manques

Il le lui avait expédier ce message il y a de ça quelques semaines.
Son père lui avait sûrement confisquer son téléphone, se rassurait-il.

Il avait beau l'attendre en bas de son bâtiment, il ne semblait plus sortir non plus.
Il l'avait probablement priver de sortie, se rassurait-il.

"Tu pourrais faire ça pour moi ?"

"Bien-sûr"

Ils allaient enfin pouvoir reprendre contact. Même si c'étais par l'intervalle d'Atsumu et Sakusa, il aurait de ses nouvelles.

Recueil Os OsasunaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant